La Souveraineté Selon Jean Bodin Chapitre 8

THEORIE GENERALE DU DROIT CONSTITUTIONNEL Chapitre 1 : LE CADRE DE L’EXERCICE DU POUVOIR POLITIQUE Section 1 : L’ETAT Il y a trois acceptions (sens) courantes du mot état : * L’état désigne les pouvoirs publics (l’état est alors l’ensemble des gouvernants, eux, par rapport aux gouvernés, nous). On distingue alors l’état de la société civile. Dans ce sens, l’état exerce son pouvoir

d’autorité qui permet aux dirigeants po de gérer un État. Bernard Chantebout : « Pouvoir d’org de société en f° des fins qu’on lui suppose ». Le pouvoir po est une force d’impulsion qui déclenche et contrôle les mouvements de société en f° de ordre selon lequel est agencé l’organisme social. S’analyse comme phénomène et pouvoir d’autorité et joue un rôle social au sein de société. B./ Les différentes conceptions du pouvoir politique. 1.) Origine divine du pouvoir. Le pouvoir demande

génocide Rwandais. Il s’agit du TPIR[7]. Ces tribunaux ont offert à la communauté internationale l’opportunité de mettre sur pied un nouvel ordre mondial de lutte contre l’impunité. En effet, les événements atroces de l’ex-Yougoslavie et du Rwanda[8], ajoutée à la controverse suscitée par la création des deux tribunaux internationaux ont réussi à convaincre nombre d’Etats que la création d’une cour permanente internationale, au moyen d’une convention multilatérale, était la solution la meilleure

l’ennemi anglais. Vif sentiment d’appartenance à un état qui profite au roi à la tête de cet état. Sous le règne de Louis XI (1461-1483) on peut considérer que la France sort de la période médiévale : c’est le début des temps modernes. Chapitre 1 : La légitimité du roi LA légitimité du roi repose d’abord sur le principe d’hérédité. Depuis les temps mérovingiens se sont les liens du sang qui priment : les rois sont fils de rois et sont pères de futurs rois. Mai l’hérédité n’est pas

Première partie : théorie générale du droit constitutionnel. Chapitre 1 - Le cadre de l'exercice du pouvoir. Section 1 - L'Etat. * Trois acceptions (sens) courantes du mot Etat : - L'Etat désigne d'abord les pouvoirs publics => c'est les gouvernants (ils) pas rapports aux gouvernés (nous). Dans ce premier sens, le domaine de l'état s'oppose à celui de la société civile. - L'Etat désigne aussi le pouvoir central, par opposition aux collectivités locales (voir cours institutions

pour toutes les principes du droit politique sans les confondre avec le droit positif ou existant. La distinction entre le droit et le fait doit justement être faite avec soin quand on étudie le droit, c’est-à-dire le corps des règles officielles selon lesquelles une communauté vit, car on peut vite tomber dans l’ambiguïté. L’ensemble de ces règles est appelée « droit » parce qu’elle est censée énoncer ce qui est juste, les bonnes solutions qui conviennent à tous également pour régler la vie en

pas sanctionné par un juge . Or il semble que l'étude du droit constit ne peut pas fr l'impasse d'une part sur l'étude des phénomène juridique sanctionné par un juge , d'autre part ….. a voir Le droit constit. tend de plus en plus a fonctionner selon les schéma traditionnel . ================================ Il existe des constitution nn écrite (Israël et GB ) mais l'immense majorité des états s'est doté d'une constitution écrite , d'un texte constitutionnel. Le dvlpt des constitutions écrites

relative au gouvernement » = caractère ambiguë du gouvernement ; « l’ensemble des règles juridique qui ressortissent logiquement au droit constitutionnel ». Cette matière et relativement récente, pendant longtemps elle n’était pas étudier au motif, selon Maupeou qu’il « il serait imprudent de toucher au mystère qui concernent les maximes fondamentales de la constitution ». Ce n’est qu’en 1773 qu’une chair de droit public est créée au collège de France. En 1791 l’enseignement du droit public et généralisé

Verpeaux, Dalloz, octobre 2012 Les revues : "RDP" = La Revue du Droit Public (articles de doctrines, jurisprudences commentées) "RFDC" = Revue Française de Droit Constitutionnel "Constitutions" "Les cahiers du conseil constitutionnel" = CC CHAPITRE 1 → Le politique : le pouvoir comme fait social Le droit organise, crée le pouvoir. C’est en étudiant le pouvoir qu’on peut étudier le droit. Il faut connaître la forme juridique du pouvoir politique. Le pouvoir est consubstantiel de toute société

évidence l'existence d'une distinction entre des personnes qui exercent un pouvoir de commandement et d'autres personnes qui sont soumises à l'obligation d'obéissance. La distinction entre les gouvernants et les gouvernés prend des formes diverses selon les sociétés que l'on considère. Le droit constitutionnel a pour finalité d'appréhender ces relations entre les gouvernants et les gouvernés. Même si ce terme de droit constitutionnel paraît mystérieux la raison d'être du droit constitutionnel est