La Stagflation

d’intérêt en fonction de l’objectif de change. - Ecole monétariste : remise en causes des principes keynésiens. Pour Friedman l’action des banques centrales est la cause de l’inflation. Cette inflation va de pair avec une hausse du chômage  stagflation III. Enfin, la crise des années 70 et la crise des subprimes nous amènent à redéfinir le rôle des banques centrales. A. L’inflation au cœur des préoccupations - L’inflation est la cible, la stabilité des prix est l’objectif : Anticipations

Phillips : Relation entre taux d’inflation et taux de chômage. Quand le chômage augmente, il existe d’avantage de concurrence entre les salariés, et donc les salaires baissent. Si le chômage baisse, les salaires montent, et il y aura inflation. Stagflation  existence simultané d’un taux de chômage élevé et d’une forte inflation. 4 – Les agrégats monétaires La masse monétaire : Ensemble des moyens de paiements existants dans une économie sous forme de pièces, billets, monnaie scripturale

se tourner vers d’autres obstacles visibles de la croissance brésilienne tels que le coût du travail et la qualité des infrastructures. En effet, le Brésil à tendance à être considéré comme le dernier au classement des BRICS. Pour remédier à la stagflation brésilienne il faut attendre les résultats des réformes concernant l’éducation et la qualification des employés. Conclusion : Même si le taux de change a fortement évolué ces dernières années avec une trajectoire instable, il faut noter que

rise to inequality of countervalues and deferment in time of exchange. Further, related to the abolition of interest are the prohibitions on speculation and wasteful consumption: riba can be responsible for unemployment, inflation, recession, stagflation and concentration of welath, which are strictly against the Shariah. Hence, riba is repugnant to Islam. However, it is possible to avoid riba and its prohibition with halal transactions, such as Bai al inah.

subissent les chocs pétroliers de 1973 et 1979 et connaissent un fort ralentissement de la croissance accompagné d'une explosion de l'inflation qui dépasse les 10 % au début des années 80. C'est une période que l'on identifie sous le terme de "stagflation". de 1986 à 1991 : phase de forte reprise de l'activité économique engendrée d'une part par le contre-choc pétrolier de 1986, et poursuivie ensuite grâce à la réunification allemande de 1990 qui soutient la demande en Europe occidentale. Ce

développement du chômage qui a régulièrement dépassé le seuil des 10% de la population active dans certains pays. Le secteur secondaire a été la plus touché (particulièrement dans l’industrie lourde et dans le textile). Tous ces évènements ont aboutit à la stagflation en 1975. En 1978, la révolution éclata en Iran. Elle se termina en 1979 par la fin du régime du Shah et ce qui instaura une République islamique. Ce régime fragilisa l’Iran par ses actions contraires à la politique du Shah. En effet, il réduira

d'allocation des ressources par le moyen des prix relatifs, alors que la macroéconomie étudiait la production globale et le niveau des prix. Les deux voies des années 1980 - 1990[modifier] Écornée par l'échec des keynésiens à prévoir et à enrayer la stagflation consécutives aux chocs pétroliers, la macroéconomie de la fin du XXe siècle présentait un double visage. Raffinement de la modélisation[modifier] D'une part, on assista à la construction de modèles de plus en plus complexes et élaborés, construction

La plus grande difficulté de la Banque centrale est de savoir doser le plus possible.! ! ! ! ! ! ! La politique budgétaire et la politique fiscale :! Si l’Etat diminue ses dépenses cela va aussi provoquer la hausse du chômage. ! 6) La stagflation" C’est la combinaison entre l’inflation et un ralentissement de la croissance économique et un taux de chômage important. ! C’est difficile à résoudre comme problème car si on pense que l’inflation est plus important alors on aura une politique

l’Ecole de Chicago (Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker) ou encore les monétaristes (Milton Friedman). L’école néoclassique fut la principale école de pensée jusqu’à la crise de 1929 (bien qu’elle redevient dominante après la stagflation des années 1970) et l’avènement du keynésianisme que nous allons étudier dans une troisième et dernière partie. Les critiques apportés par Keynes et Marx Le krach boursier de 1929 ainsi que la crise qui s’en suivit a mis en évidence les

à court terme, et au prix de perturbations majeures. Ce courant fait de la neutralité de la monnaie à long terme une partie de son analyse et cela sera confirmé à la suite de la situation de stagflation qui prévaut dans les années 70 à la suite des politiques keynésiennes d’expansion monétaire. La stagflation ainsi énoncée, décrit  une situation économique dans laquelle se côtoient l’inflation et le chômage. Par conséquent, pour une action efficace de la politique monétaire qui est l'action par laquelle