La Structure des révolutions scientifiques

pas. Vingt ou trente est pléthore. Le seuil impérial se situe entre les deux. 1  Empire 7 octobre 2015           Légendes, mythes, dieux et religions – tous sont apparus avec la Révolution cognitive. Auparavant, beaucoup d’animaux et d’espèces humaines pouvaient dire : « Attention, un lion ! » Grâce à la Révolution cognitive, Homo sapiens a acquis la capacité de dire : « Le lion est l’esprit tutélaire de notre tribu. » Cette faculté de parler de fictions est le trait le plus singulier du langage

developpement du cerveau( capacite d’abstraction). Perfectionnement continue de l’outil. (Heritage de l’humanite) -Mode de vie : Ce sont des chasseurs, ceuilleurs nomade. Se deplacent en quete de gibiers, de fruits, racines, cereales, etc. -Structure sociale : Ils vivent en petit groupe(autour de 10 a 20 individus) partage des tache, tache non specialise, notion de survie de l’espece humaine.. Cooperation entre les individus car la survie des uns passent par la survie des autres. « Tous pour

sa recherche se focalise sur le modèle de la construction de « l’entreprise moderne ». Trop souvent perçu comme le débat entre la structure de l'entreprise et ses possibilités stratégiques, cette vision, maintes fois discutée dans les travaux de stratégies, ne correspond que partiellement aux propos de l'ouvrage et de l'auteur. En effet, Stratégies et structures est, essentiellement, un ouvrage de descriptions organisationnelles. Ces études comparatives présentent quatre dimensions de l’intégration

l'architecture grecque ". En avril 1791, la Constituante ordonne la fermeture de l'église et charge Antoine Quatremère de Quincy de modifier la structure de l'édifice, à peine achevé, pour en faire un temple destiné à recevoir" les cendres des grands hommes de l'époque de la liberté française" . En 1806, les églises de France, fermées sous la Révolution, sont rendues au culte. Le Panthéon retrouve ainsi sa fonction et son appellation d'origine: église Sainte-Geneviève. Dans la période qui suit

(écriture, alphabet) Civilisations gréco-romaines : philo et sciences : miracle grec (philo, art, démocratie, littérature ; désir de perfection). Dialogue est l’idéal de fonctionnement d’une communauté scientifique. Présocratiques : opinions entre les personnes : base de la démarche scientifique * Naturalistes : pas d’intervention divine, religion = superstition (lien avec Freud qui dit que la religion = névrose de la société) Quelques naturalistes : optique géométrique de Gorgias, Voie lactée

pratique). Mais la diffusion des techniques provoque des résistances : peur du chômage et de la concurrence.   e Evolution des mentalités, des idées. Créativité intellectuelle qui s’amplifie pour déboucher début 18 sur le siècle des Lumières.   La révolution industrielle se produit en Angleterre : Angleterre devient à la veille même de sa guerre civile en 1642, le premier pays industriel d’Europe.   Période qui va du début de la Renaissance au démarrage de l’entreprise industrielle : besoin de banquiers

Le siècle qui s’ouvre aux hommes du second millénaire marque l’avènement de la science comme le triomphe de la raison sur le dogmatisme et le fanatisme du siècle et des siècles passés. La science est présente partout dans notre quotidien, elle a révolutionné la communication entre les hommes, changé la vision du monde, inauguré une mobilité humaine de plus en plus rapide et changeante. Cependant au commencement la science s’est lancée dans la compréhension du monde, du monde qui entoure les hommes

CONTEXTE LITTERAIRE ET PHILOSOPHIQUE EN EUROPE • PHILOSOPHIQUE EN EUROPE CONTEXTE LITTERAIRE ET PHILOSOPHIQUE EN FRANCE • CONCLUSION 1- INTRODUCTION Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connues sous le nom de Lumières, comme une période de progrès par rapport à un âge d'obscurantisme dans l'histoire des idées ; les lumières s'analysent aujourd'hui comme un esprit, un combat et un idéal à construire

Bibliographie Lectures obligatoires : FLECK, Ludwig, Genèse et développement d’un fait scientifique, Paris, Flammarion, 2008, coll. « Champs sciences ». En entier. JAMES, William, Le Pragmatisme, Paris, Flammarion, coll. « Champs ». En entier. JAMES, William, La Volonté de croire, trad. Loÿs Moulin, Paris, Les Empêcheurs de penser en rond, 2005. Lisez le chap. 1 : « La volonté de croire ». Pour approfondir : BERGSON, Henri, La pensée et le mouvant, Paris, PUF, 2003, coll. « Quadrige ». Le chap. VIII

François-Pierre Gingras Fondements de la recherche en science politique QUELQUES CADRES DE RÉFÉRENCE POUR LA RECHERCHE On appelle cadre de référence (ou paradigme) « un ensemble de règles implicites ou explicites orientant la recherche scientifique, pour un certain temps, en fournissant, sur la base de connaissances généralement reconnues, des façons de poser des problèmes, d’effectuer des recherches et de trouver des solutions ».1 Le cadre de référence ou paradigme se distingue de la théorie