La Superstition Conséquence

mélancolie en elle-même mais le résultat qui vient combler le besoin créé. De ce fait, le sage homme qui est gouverné par la raison et dans la quête du Bien ne peut concevoir prendre du plaisir car ce dernier à toujours un revers de médaille, des conséquences ou des contraintes. Voilà les ouïe-dires de coutume que dénonce Spinoza auteur Hollandais du XVII siècle (1632 – 1677) dans son Ethique en ce qui concerne l’opposition de plaisir et sagesse. en effet Est t’il nécessaire de dissocier radicalement

en soutenant que ces deux hommes faisaient figure de sauveurs aux yeux du peuple ; et, en effet, les consolations apportées par Épicure sont chantées par Lucrèce comme des dons divins, propres à régénérer l'homme tourmenté par les passions, les superstitions, la peur des dieux, etc. C'est pourquoi certains philosophes, tels que Nietzsche, n'hésitent pas à voir en cette pensée une sorte de christianisme païen6, i.e. une pensée rédemptrice mais sans la notion de péché propre à cette dernière religion

de la physique qui est la nature. On peut développer cette comparaison entre mathématiques et sciences de la nature et montrer en quoi la mathématisation des sciences a pu contribuer à leur progrès. Dans un second temps, Descartes tire les conséquences de cette distinction : Les mathématiques sont les sciences les plus faciles (il suffit de raisonner avec rigueur) et les plus claires (compte tenu du caractère « pur et simple » de l’objet c’est-à-dire non empirique). Il est donc impossible d’y

effet, ce flambeau fait écho à la démarche des Lumières, il représente la connaissance et la raison. De plus, les hypothèses qu’il émet ne sont basées que sur du concret : tout au long du texte, on retrouve des similitudes de construction, de cause/conséquences telles que « pour…ce qui est » que l’on peut lire de la ligne 17 à la ligne 20 par exemple. Enfin, ce savant accepte la critique et sait qu’il peut se tromper, en effet il « comprend le sentiment qu’il rejette, avec la même étendue et la même

Chapitre 6 : L’auto-da-fé I. L’art du Récit. 1/ Les circonstances de l’événement 2/ Les « héros » et le déroulement 3/ Les conséquences II. Tonalités de l’Ironie. 1/ Une attitude et une décision valorisée 2/ Une Fausse logique 3/La présentation esthétique de la cérémonie III. Les différentes Cibles de Dénonciation. 1/ La dénonciation de la superstition 2/La dénonciation de l’intolérance 3/La dénonciation de l’optimisme Autre plan pour ce chapitre : I. Un récit vif et imagé

apparente rationalité, les décisionnaires sont des « sages », la décision est appuyée par des instances sérieuses : « l’université de Coïmbre », le mot université renvoie bien sûr au règne de la raison et du savoir. Présence du connecteur logique « en conséquence ». • Efficacité assurée, ton de la certitude : « moyen plus efficace »/ « secret infaillible ». • Lexique religieux (spécialisé) : « san-benito », « mitres », « procession », « sermon », « faux-bourdon », « prêché », « absous », « béni ». • L’événement

théorique), est alors rationnel ce qui a pour origine un savoir véritable et certain, savoir en rupture avec la sensibilité (qui fait intervenir la relativité des sens), avec la foi (qui fait intervenir la croyance ou la connaissance révélée) ou avec la superstition (qui fait intervenir les préjugés ou l'ignorance). Mais la raison, c'est aussi la capacité à bien agir (dimension pratique), à discerner le bien et le mal. Ainsi est raisonnable celui qui pense et agit d'une manière qu'on ne peut blâmer, en ce

Saint-Lambert. Il finit par revenir à Paris en 1778, à l'Académie et à la Comédie Française, mais il y meurt peu après, drainé par son succès.Enfin, Voltaire donne la priorité à la compréhension intellectuelle et scientifique sur les croyances et les superstitions prescrites par le clergé. Il défend également le mouvement des Lumières et condamne l'injustice et la bigoterie religieuses. II. Résumé de l’ouvrage:Ce conte suit Zadig, un jeune homme fortuné. Il est pourtant à la recherche

présence ne s'impose pas dans un monde idéal, il est juste considéré en tant que créateur de toutes choses. Son message reste incompréhensible pour l'homme. C’est donc l’établissement d'une nouvelle religion « universelle », au-delà des sectes et des superstitions. L'absence de médiation entre l'homme et Dieu est importante (pas d'Eglise, ni d'institution quelconque). La quête du bonheur est au centre de l’esprit utopique. Peu importe sa vie dans l'au-delà, l'homme doit d’abord donner un sens, un but

l’individu moderne comme un homme qui travaille et dont la vie est l’ultime repère 1er) « A l’avènement de la vita activa, le rang le plus élevé des capacités de l’homme a dû revenir à l’activité de travail » (H. Arendt) Selon H. Arendt, la conséquence spirituelle des découvertes de l’époque moderne (voir I) est l’inversion des rangs de la vita contemplativa et de la vita activa dans l’ordre hiérarchique. En effet, l’homme moderne ne peut atteindre la vérité et la connaissance que par l’action