La Superstition Est Elle Déraisonnable Spinoza

incapable de justifier sa croyance autrement que par tautologie : c'est comme ça parce que c'est comme ça. On comprend que la plupart des superstitions aient disparu avec les progrès techno-scientifiques. Cependant, elles n'ont pas disparu toutes, loin s'en faut. De toute manière, l'essentiel est de comprendre leurs raisons d'être. II. Antithèse : les superstitions ont leurs raisons que la raison connaît L'irrationnel qui ne se comprend pas lui-même peut être compris par la raison. Il y a en effet une

Texte: Si les hommes avaient le pouvoir d'organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile, qu'ils ne savent plus quelle résolution prendre; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballotte misérablement entre l'espoir et la crainte, ils sont en général très enclins à la crédulité. Lorsqu'ils

Devoir de Philosophie Terminales TMA. Texte: Si les hommes avaient le pouvoir d'organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile, qu'ils ne savent plus quelle résolution prendre; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballotte misérablement entre l'espoir et la crainte, ils sont en

THEME : LA SUPERSTITION Exposants : DAKISSA MARTHE DELAJOUX CAROLINE ZIZI YOUSRA Sous la direction de : Mme HIHI SOMMAIRE INTRODUCTION I/-DEFINITION II/- LES DIFFERENTES FORMES DE SUPERSTITION III/-LES ORIGINES DE LA SUPERSTITION IV/-LES CONSEQUENCES DE LA SUPERSTITION V/PLACE ET IMPORTANCE DE LA SUPERSTITION VI/-LA SUPERSTITION AU MAROC CONCLUSION INTRODUCTION La superstition est une croyance

Si l'on associe généralement la notion de croyance à l'irrationnel ou au manque de raison, il faut également prendre en compte le fait que la raison ne soit pas seulement ce qui est rationnel. Effectivement, un excès de raison peut s'avérer déraisonnable. De même, l'irrationnel n'est pas simplement ce qui est opposé à la raison car il peut y être parfaitement étranger, extérieur et donc incomparable. Le sujet invite donc à réfléchir sur le fondement des croyances, rationnelles ou irrationnelles

du sens se trouve-t-elle au cœur de la religion ? I] LE FONDEMENT PASSIONNEL DE LA RELIGION. 1) religion et superstition. - explication du texte de Spinoza. « Si les hommes avaient le pouvoir d’organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile qu’ils ne savent plus quelle résolution prendre ; en outre

croyances traditionnelles ? Comment « adhérer » à l’absurde, au merveilleux, à l’imaginaire ? Pourquoi finalement s’y résoudre ? Foi ? Mauvaise foi ? Reformulation : Existe-t-il des causes explicatives du besoin de croire ? INTRO : I/Superstition • a) Sens 1 : Croyance religieuse non fondée • b) Sens 2 : Actes objets annonçant ou attirant la chance ou la malchance T°= II/Tradition • a) Transmission • b) Rites et rituels T°= III/Absence de savoir/Ignorance • a) Croyances compensatrices

gnosis). - Monothéisme / Polythéisme. - Dogme : Proposition de foi, doctrine religieuse révélée. - Foi (du latin « fides » = confiance). - Mystère : dogme incompréhensible, relevant de la foi et de la Révélation (mystère de la sainte Trinité). - Superstition : crainte respectueuse qui attribue à certains actes ou certains objets une influence bénéfique ou maléfique. Mentalité irrationnelle souvent considérée comme une forme archaïque de religiosité. - Transcendance : ce qui s’élève au-dessus de toute

pratique » (§10), médecine de l’âme surtout, et méthode du bonheur (§1 & 2). Elle permet d’assurer la « santé de l’âme ». Par analogie à la médecine qui soigne les corps, la philosophie soigne les maladies de l’âme, cad ses troubles (craintes, superstitions, opinions, désirs vains). Comme toute médecine, elle propose des remèdes. La philosophie consiste, pour Epicure, dans un quadruple remède (le tetrapharmakon, énoncé au début des maximes capitales ) : « les dieux ne sont pas à craindre, la mort

nombreuses différences sont à noter. Même si le terme a d'abord désigné la religion de l'Etat romain, comme l'atteste son origine latine, cad. le christianisme, excluant les autres croyances religieuses du champ de la foi ou les ravalant au rang de superstitions (cf. ethnocentrisme), dans la réalité des faits, les religions sont multiples, et dans le temps et dans l’espace. Toute religion est un fait de culture, est une composante de la culture, au même titre que la langue ou l'organisation sociale