La Surpopulation Carcérale Les Cause

sanctions, des tarifs, équivalents a l’agression : par exemple on a volé dans le champs du voisin : on répare en travaillant gratuitement pour le voisin, l’une des première peine est donc le travail gratuit. Les communautés ne remettent jamais en cause ces pratiques. De nos jours il y a encore de nombreuses communautés qui pratiquent la peine de cette façon en Afrique, Amérique du sud, Inde par exemple le génocide du Rouanda (: ¼ de la population tue un autre ¼ de la population) les juridictions

France, en pleine croissance économique, voit la génération du baby-boom d’après-guerre remettre en cause les valeurs et les normes dominantes d’avant 1945. Les français, en quête d’émancipation, prônent l’anticonformisme et défendent de nouvelles valeurs, centrées sur l’autonomie et la valorisation de l'individu, impliquant le refus des règles traditionnelles de la société et la remise en cause de l'autorité. Les comportements sociaux évoluent profondément : la pratique religieuse et les mariages

. . . . . . . . . . . . . . . . .11 Le cas particulier de l’enseignement et de la formation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13 Le nouveau contexte politique face à la réalité carcérale d’aujourd’hui . . . . . . . . . . . . . . . .15 Conclusions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

de la peine. 1 – La dispense d’exécution de la peine Le juge peut prononcer une dispense de peine, article 132-59 du Code Pénal. La première condition de la dispense de peine est que le reclassement du coupable paraisse acquis. Le dommage causé doit être réparé. Le trouble résultant de l’infraction doit avoir cessé. Elle date de la loi du 11 juillet 1975. La dispense de peine a créé un certain nombre de polémiques. Certains se sont affolés de voir que désormais, c’est moins le libre-arbitre

La peine et le châtiment ont une valeur éliminatrice : ils permettent de se préserver du danger représenté par le criminel ( en mettant celui-ci en prison ). Mais on pourrait « éliminer » momentanément sans punir, sans faire subir des conditions carcérales souvent très difficiles. Faut-il en outre se contenter d’éliminer ? Ne faut-il pas aussi rééduquer, soigner et savoir pardonner ? La peine aurait une valeur intimidatrice : elle ferait peur et dissuaderait le criminel potentiel… Seulement, il ne

années 40 mais c’est surtout depuis les années 80 que les recherches sur le sujet se multiplient. En effet, dans le contexte actuel où les taux d’incarcération augmentent dans la plupart des pays et où le système carcéral se trouve souvent à la une des médias à cause de la surpopulation carcérale , les recherches sur la réinsertion et sur le désistement ont toutes leurs raisons d’exister. Actuellement ses recherches sont menées par des chercheurs comme Shadd Maruna, Fergus McNeill, Stephen Farall, Chris

l’étude des interactions et des multiples rouages de l’univers carcéral. Loin de nier l’intérêt des recherches centrées sur les détenus, l’objet présent est le fruit d’une volonté de se situer dans un autre sillage, encore peu investigué, de la politique pénitentiaire : celui de la réinsertion. En effet, peu d’études se sont spécifiquement concentrées sur les surveillants, encore moins sur les travailleurs sociaux en milieu carcéral, le personnel technique et administratif ou encore les intervenants

d’incarcération et le respect du secret médical. L’ensemble de ces facteurs permet de considérer que la réforme de janvier 1994 a eu des effets globalement positifs sur la prise en charge sanitaire en milieu carcéral, en dépit de problèmes de fonctionnement liés aux contraintes de la vie carcérale… Cependant, deux difficultés majeures sont liées à l’organisation même du dispositif :  la permanence des soins n’est pas assurée de façon satisfaisante pour garantir la sécurité de la population détenue

conditionnelle de M. Martin) : Deux opinions peuvent être dominantes dont le laxisme de la justice et le fait que la justice n’accorde pas assez d’importance aux victimes. On entend aussi que les conditions de vie en prison sont inhumaines : la surpopulation dans les prisons, la violence, les trafics, la prison est un facteur qui augmente les risques de récidive, etc… => échec de la prison. Les prisons sont un échec car le système pénal connait certaines faiblesses. Ces idées circulent depuis deux

a-t-il : 1 homicide parce qu’1 seul acte ? 12 homicides parce que 12 victimes ? 2 homicides parce que 2 auteurs ? Il est tout de même possible de comptabiliser plus facilement certaines infractions comme les homicides ou les cambriolages (à cause des assurances) et d’analyser avec un œil critique la criminalité dans le temps et dans l’espace. Il en ressort que le nombre de cambriolages et d’homicides reste stable, que les jeunes commettent plus d’infractions que les âgés et les hommes plus