La Surpopulation Carcérale Les Cause

car les établissements pénitentiaires connaissent une surpopulation avec plus de 55 000 détenus. De la condamnation de Jeanne d’Arc au bûcher en 1431 aux audiences de l’Affaire Elf en cours, les Français se sont toujours passionnés pour les grands procès, ceux où la recherche de la vérité mène au plus profond de l’âme humaine. Dossier réalisé par Corinne Dupuis I HISTORIQUE LE SYSTÈME JUDICIAIRE LES MÉTIERS DE LA JUSTICE L'UNIVERS CARCÉRAL LA PEINE CAPITALE LES GRANDS PROCÈS DE LA JUSTICE

définition peut être la suivante : « l’anticipation et la projection dans le futur des rapports normant un lien social, la confiance communicationnelle, toutes choses qu’implique la réinsertion apparaissent illusoires dans le cadre de la réalité carcérale ». Le terme le plus convenable serait l’insertion des détenus car la plupart d’entres eux n’étaient pas insérés avant leur incarcération. Le processus de réinsertion sociale se fait en trois phases (phase criminologique, phase pénitentiaire, phase

peine ne peut être prononcée que par une juridiction de jugement après une procédure spécifique respectant la présomption d’innocence et le droit de la défense. Une peine est une décision grave. Or, ce schéma traditionnel est aujourd’hui remis en cause car une mesure, voire une peine, peut être décidée contre une personne sans intervention d’une juridiction de jugement et sans ouverture d’une PP. Cette évolution correspond à l’apparition des procédures alternatives = procédures de la troisième voie

décomposition constituent une source d’alimentation pour les chiens errants, les rongeurs, les mouches et autres animaux vecteurs de maladies contagieuses. Elles obstruent les caniveaux, d’où les inondations lors des périodes pluvieuses. Elles sont cause également d’odeurs fétides, de pollution de la nappe phréatique et des eaux superficielles. En effet, ces déchets ont tous des durées de vie, c’est à dire le temps qu’il faudra pour qu’ils puissent se décomposer et disparaître sous terre. Figure

a été écrite après le décès de Gladys Swain par son compagnon Marcel Gauchet qui rend hommage à son courage de pionnière en qualité de psychanalyste dans un univers masculin mais aussi à Michel Foucault, par l’intensité de son travail, mais met en cause les sources initiales qui l’on dévoyé. L'un des apports majeurs de Swain et Gauchet sera de mettre à jour ces liens de filiation existant entre le traitement moral et les propos précurseur des thérapies à venir. 4 - La vision historique de Michel

l’enfant. Au cours de plusieurs témoignages, on a même pu constater que les mamans semblent « plus attentives sur l’enfant qu’à l’extérieur avec les aînés », la psychologue Françoise Dolto, a même remarqué que les enfants élevés dans le milieu carcéral auront « une intimité presque meilleur que beaucoup d’enfant qui vivent chez eux du fait que la maman a vraiment du temps à consacrer à son enfant et qu’elle n’est pas toute seule dans les moments difficiles, en raison du personnel spécialisé »(cf

peines actuelles», a estimé le ministre dans le courrier qu'il a envoyé à François Hollande fin juillet. Et de résumer clairement: «Cette mesure nous paraît manquer sa cible, à savoir la prévention de la récidive et la réduction de la population carcérale…» Les syndicats de policiers sont plus partagés: si Alliance rejette d'emblée une «énième peine de probation purement symbolique», Unité SGP Police FO estime que «notre société ne peut être impitoyable avec la délinquance et le crime que lorsqu'elle

de détention et encourage la prise en compte du niveau de santé des détenus dans les établissements. C'est 1994, l'année de la première lois de bioéthique, qui marque un tournant dans la politique de santé en milieu carcéral : la loi du 18 janvier fait entrer la population pénale dans le système de santé général. Elle dispose la nécessité d’une prise en charge complète « somatique et psychologique, curative et préventive »

présentes, maliennes ou étrangères, nous verrons que la sanction moderne pour les criminels doit être une peine de prison certes, mais réformée. Cet ouvrage s’appuie donc sur les ouvrages de références des grands auteurs de la question pénale ou carcérale, mais aussi essentiellement sur les rapports des institutions démocratiques africaines ou européennes, sur les études récentes menées par les Organisations Non-gouvernementales qui se préoccupent du sort des prisonniers, (Ligue des Droits de l’Homme

l’image d’une personne menottée ou entravée, qu’elle soit ou non identifiable, ne peut se faire sans son consentement. Sont interdits : la réalisation, la publication, le commentaire d’un sondage portant sur la culpabilité d’une personne mise en cause à l’occasion d’une procédure pénale ou civile et sur la peine qui pourrait être prononcée. Il est désormais plus facile de réparer les atteintes à la présomption d’innocence : le délai pour exercer un droit de réponse passe de huit jours à trois mois