La Syndication Bancaire

organisent ce pouvoir des consommateurs : - Les agents intelligents : les logiciels de recherche (pour obtenir le prix le plus compétitif) - Les sites de ventes aux enchères où c’est l’acheteur qui fixe le prix - Internet facilite la syndication d’acheteurs avec les sites d’achats groupés, et favorise la communication entre les « cyber-consommateurs » via des forums de discussion, … d) Un puissant instrument de personnalisation de la relation distributeur-consommateur Le e-commerce

taille et le degré de maturité, tandis que d’autres pays, notamment en Italie, un tel marché décollait, dynamisé par un nouveau cadre réglementaire et des incitations fiscales. Avec l’avènement de l’euro et l’accélération des concentrations bancaires, les années récentes ont connu un accroissement du recours à la titrisation ainsi qu’une augmentation de la diversité des actifs titrisés, et une sophistication des méthodes utilisées. Dans ce contexte, il apparaît utile de mener une réflexion

contribué au développement des pays. Il s’agit aussi d’une entreprise qui réunit des moyens financiers, techniques et technologiques afin de jouer convenablement son rôle d’intermédiation financière. D’après l’article 1 du premier chapitre de la loi bancaire du 6 juillet 1993, la banque est un établissement de crédit qui exerce d’une façon habituelle les opérations suivantes : * La réception des fonds du publique ; * La distribution des crédits ; * La mise à la disposition de la clientèle de

permet, pour les établissements de crédit, d’soulager fortement leur bilan et donc d’améliorer leur structure financière et d’accroître leur compétitivité. La titrisation s’inscrit donc dans la continuité d’une logique de marchéïsation des bilans bancaires. Une réelle nécessité commence donc à se faire sentir. Les tentatives de cessions de créances publiques ou privées le prouvent. Les premiers cris viennent de l’état français. Depuis la guerre, le financement des emprunts immobiliers était pris

préféré des • 38 % consultent des blogs et la moitié d’entre eux Français, puisqu’il représente 37 % de la consommation (20 %) possède ou a possédé un ou plusieurs blogs média hebdomadaire, mais également le premier • 12 % sont abonnés à un flux de syndication (RSS) moyen de communication avec 37 % des communi- • 64 % sont inscrits sur au moins un site communautaire cations entre Français, devant le téléphone mobile (32 %) • 17 % ont déjà écouté au moins une émission en et le téléphone fixe (31 %). baladodiffusion

s Département : Techniques de Commercialisation Et de Communication Filière : Marketing Bancaire et Financier Encadré par : Mr HAMMOU AHMED Réalisée par : Année universitaire : 2011/2012 Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique de l’école supérieur de technologie et les intervenants professionnels responsables de la formation.   Je tiens à remercier tout particulièrement et à témoigner toute ma reconnaissance aux personnes suivantes, pour l’expérience

I] AUDIT EXTERNE A) historique du marché bancaire Depuis l’expansion bancaire du XIXe siècle, le monde a connu de nombreuses phases, parfois à surmonter. Le secteur bancaire a été détruit par les deux guerres mondiales ainsi que par les crises de 1929 et de 1973 qui n’ont pas été favorables à son expansion. Ce n’est qu’à partir de la fin des années 1970 avec le développement du crédit, et surtout dans les années 1980 que la finance connaît son plus grand essor. Avec le début de la libéralisation

modules préprogrammés comme la météo, un compte de messagerie électronique, etc. RSS signifie selon les versions Really Simple Syndication (RSS 2.0), RDF Site Summary (RSS 0.9, 1.0 et 1.1) ou encore Rich Site Summary (RSS 0.91). Ce format de syndication permet d’extraire automatiquement d’un site web ou d’un blog du contenu régulièrement mis à jour. On parle de syndication web lorsqu’un site met son contenu à disposition pour qu’il soit exploité par des tiers. Un fil RSS est un simple fichier texte

sur internet qui permettent un certain nombre de choses. Ces fichiers en format XML et qui est utilisé pour la syndication du contenu web : un bout d’un site internet est rendu disponible à un autre site. Cela donne un fichier .xml vers lequel on peut faire un lien. Pour qu’un flux RSS fonctionne, il faut un agrégateur : un logiciel qui permet de suivre un ou plusieurs fils de syndication en même temps. Concept pull : le client va chercher sur le serveur (différent de push où le serveur « pousse »

optimisation pour moteurs de recherche pages vues --> coût au clic « screen scraping » --> services web publication --> participation système de gestion de contenu --> wikis arborescence (taxonomie) --> tags ("folksonomy") rigidité du contenu --> syndication de contenu Et la liste pourrait encore s'allonger... Mais cela ne nous dit toujours ce qui fait qu'une application ou un concept est web 1.0 et un autre web 2.0. (La question est particulièrement pressante dans la mesure où le terme « web 2.0