La Technique Accroit Elle Notre Liberté

? 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. Sommes-nous en démocratie ? La culture du narcissisme Les illusions du progrès technique Nucléaire : jusqu'ici tout va bien L'agriculture de destruction massive Les argumentocs Réinventer les médias REPRODUCTION ET DIFFUSION Vous êtes libres de modifier, reproduire et diffuser toute ou partie de cette brochure à condition que les libertés énoncées dans ce paragraphe s'appliquent sans restriction à ce que vous en faites. Si vous modifiez cette brochure

* L'idée de richesses créées et de produit net préfigure la notion de valeur ajoutée : c'est une avancée considérable par rapport au mercantilisme qui assimilait la richesse à la monnaie. Les physiocrates avancent également que l’investissement accroît la création de valeur ajoutée, lorsqu'ils soulignent que l'utilisation de produits manufacturés augmente la productivité agricole (exemple: la charrue.). B - Le circuit économique * Le Tableau économique de F. Quesnay (1758) F. Quesnay (1694-1774)

l’extérieur ne les empêchait pas de préconiser le libreéchange à l’intérieur, surtout à partir du XVIIe siècle. Colbert dira que «la liberté est l’âme du commerce» ; Coke, mercantiliste anglais, écrit en 1621 : «Freedom of trade is the life of trade». Ce n’est que vers la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle qu’apparaissent les premières traces d’un plaidoyer pour la liberté des échanges sur le plan international. Davenant, un auteur connu en Angleterre, écrit en 1710 : «Il n’est pas sage de produire

problématique : protectionnisme ou libre-échangisme. Voici donc un panorama des théories économiques qui ont essayé de démontrer la suprématie de l’un sur l’autre : A. les théories libre-échangistes : Il correspond à une doctrine économique qui préconise la liberté du commerce entre les nations et la suppression de toutes les entraves aux échanges (droits de douane, contingentements…) Le commerce international est le résultat d’une division du travail qui s’opère à l’échelle du monde L’échange est nécessaire

essentielles de nos sociétés modernes : salariat, concentration des entreprises, production de masse… Formidable moyen d’accroître la production et de favoriser la croissance économique, la division du travail a bien sûr évolué, les conditions techniques et sociales de sa mise en œuvre ne sont plus comparables, mais des interrogations demeurent : - Quel est le prix social et humain de l’efficacité économique ? - Le division du travail : facteur de bien-être ou d’asservissement pour l’Homme ?

l’École socio-technique Emery et Trist ont fondé un institut à Londres, le Tavistock Institute, dont l’objet est de réfléchir sur l’organisation du travail et la nature de l’entreprise. Ils vont se référer à ce qui existe, le taylorisme et l’École des Relations humaines. Ils vont poser comme principe que si l’entreprise est entièrement taylorisé sans aucun soucis du social, elle ne pourra pas fonctionner mais inversement si elle ne s’intéresse qu’au social en négligeant la technique, elle ne pourra

LA LIBERTÉINTRODUCTIONAvant de s’engager dans un débat sur la liberté, cherchons à la définir. Pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté nous ne pouvons en donner qu’une définition négative : elle est absence de contrainte. On parle alors de libertés au pluriel, car il y a autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Par exemple, on parle en physique d’un corps qui tombe en chute libre, c’est à dire indépendamment de toutes les forces autres que la pesanteur, en politique

[pic] Technique d’expression française [pic] Plan I) la définition du mot corruption 1-introduction (la corruption autour de monde) 2-les déférentes définitions de corruption 3-les déférentes formes de corruption II) la corruption et l’éthique 1-introduction 2-les critères éthique pour juger la corruption 3-la corruption dans la religion III) la corruption dans notre pays (Maroc) et un autre européen (Allemagne). 1-au

du 11 avril 1980 sur la vente internationale de marchandises » (1999) 3 R.D.A.I. 354. Henri Battifol, « La loi appropriée au contrat » dans Le droit des relations économiques internationales. Études offertes à Berthold Goldman, Paris, Librairies techniques, 1982, 1 à la p. 15. Convention des Nations unies sur les contrats de vente internationale de marchandises, 11 avril 1980, 1489 R.T.N.U. (entrée en vigueur : 1er janvier 1988) [Convention de Vienne]. Sur cette convention, voir Peter Schlechtriem

optimale caractérisée par une certaine durée de travail et un niveau de revenu. Quant à la demande de travail des entreprises, elle est déterminée à partir du produit marginal en valeur du travail. C'est-à-dire à partir des conditions techniques de production. A partir de ces indictions et conformément aux résultats de l’analyse micro-économique, dont nous allons préciser les fondements ci-dessous, les courbes d’offre et de demande de travail sont généralement représentées comme respectivement