La Terminologie Arabe

étrangères comme l’anglais ou l’arabe. En effet, si la langue française utilise le terme « droit » pour désigner deux concepts différents, la langue anglaise oppose le terme « Law » (droit objectif) au terme « Rights » (droits subjectifs). Dans la langue arabe, on oppose le terme « Qanun » (droit objectif) au terme « Haq » (droits subjectifs). Cette distinction est donc plus claire que dans la langue française. II. Le fondement du droit subjectif Etudier le fondement des droits subjectifs veux dire

scientifique UNIVERSITE ABOU-BAKR BELKAÏD - TLEMCEN Faculté des Lettres des Sciences Humaines et des Sciences Sociales Ecole doctorale de français Pôle ouest Antenne de Tlemcen Thème tel-00496990, version 1 - 2 Jul 2010 L’alternance codique arabe dialectal/français dans des conversations bilingues de locuteurs algériens immigrés/non-immigrés Thèse de doctorat de sciences du langage (Option : sociolinguistique) Présentée par : Mohammed Zakaria ALI-BENCHERIF Sous la co-direction de

commun Appliquant des prérogatives exorbitantes Etat et Nation o Il n'y a pas nécessairement une coïncidence entre les deux notions L'Etat est parfois composé de plusieurs nations : URSS Une nation peut aussi s'étendre sur plusieurs Etats : nation arabe o Problème du " Principe des nationalités " Retenu par le Congrès de Vienne (1815) Ecarté par la Charte de l'OUA (1963) : uti possideti juris LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE L'ETAT : 1. Le territoire : o Pour qu'il y ait Etat, il faut qu'il y

premier. La « faiblesse » de l’économique dans le monde arabe et dans le Maroc du XXe siècle « Vers la décrépitude de l’Etat néopatrimonial ? » Clientélisme politique et corruption : deux modes de régulation du social Des politiques économiques interventionnistes fortes : absence des bourgeoisies nationales dans le monde arabe Le « capitalisme d’Etat » et la « bourgeoisie d’Etat » au Maroc Tentative de définition de l’« entrepreneuriat » arabe Chapitre II. Une lecture sociologique des politiques

civilisations parmi d'autre : La Chine : grande civilisation qui possède les sciences et les techniques, des arts puissants et raffinés L’Inde : connaissance développées et très nombreuses, philosophie en plein essor, université florissante Monde arabe : développement très poussé de la médecine, des mathématiques et de l'algèbre, de la métaphysique, prolongement et perfectionnement de tous les savoir hérités des Grecs. Puissante civilisation Aztèques et Incas en Amérique, aborigènes d'Australie

| |appliquée | |4.4.1 Exemples | |d'applications | |5 Terminologie de | |l'informatique | |6 Le marché de | |l'informatique | |6.1 Histoire | |6.2 Marché du matériel | |6.2.1 La loi de Moore | |6.2.2 L'offre en matériel| | | |6.3 Marché du logiciel | |6.3.1 Terminologie de la | |distribution de logiciels| | | |6.3.2 L'offre générale en| |logiciels

Chapitre IV : Interférences linguistiques..........197 Mots étrangers au français..................200 Emprunts....................................208 Enoncés en graphie arabe....................232 35 PARTIE II : NOMINATIONS, ENONCIATIONS, PERSONNAGES..250 Chapitre I : Nominations I : Altérations et poéticité du nom arabe...........................253 Anagramme...................................255 Le déploiement d'un texte à partir des noms. Un nom-clef : Fass..........................272

trait fondamental du judaïsme qui semble remonter aux origines de celui-ci69. Dieu dans les religions monothéistes[modifier | modifier le code] Judaïsme[modifier | modifier le code] La Mishnah Torah. Au Moyen Âge, sous l'impulsion de la pensée arabe et grecque, la pensée juive élabore une théologie d'où ressort, entre autres, un principe énoncé par Saadia Gaon : « la pensée humaine, don de Dieu, est valide et source de vérité à l'égal de la Révélation ». Dès lors, la rationalité pour appréhender

solution des problèmes posés, on fait appel à deux autres sources complémentaires de règles normatives, qui sont le consensus et l’interprétation. 2- LES SOURCES COMPLEMENTAIRES DU DROIT MUSULMAN a- IJMAA OU ASSENTIMENT DE LA COMMUNAUTE : Le mot arabe Ijmaâ signifie le consensus sur un temps juridique de toutes les théologies juridiques. Les conditions de l’Ijmaâ/consensus doivent réunir un ensemble de conditions qui se résument comme suit : -L’existence de plusieurs vivants à l’époque ou des cas

et se complètent en phraséologie : - phraséologie et lexicographie unilingue ou plurilingue, - phraséologie dans les textes et discours spécialisés : dimension textuelle des phrasèmes, fonction des phrasèmes dans les textes de spécialité et en terminologie etc. - phrasèmes de la langue orale et/ou écrite, - approches pragmatiques s’intéressant aux « pragmatèmes », « formules de routine », « actes de langage lexicalisés ou stéréotypés » ou aux « structures figées de la conversation ». Les analyses