La Terre vaine

convenue pour représenter le roi, et La Fontaine l’utilise ici pour louer les actes et les succès de Louis XIV en Europe. Texte 6 : « Le lion et le moucheron » Le Lion et le Moucheron. Va-t’en chétif insecte, excrément de la terre. C’est en ces mots que le Lion     Parlait un jour au Moucheron.     L’autre lui déclara la guerre. Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de Roi     Me fasse peur, ni me soucie ?     Un bœuf est plus puissant que toi ;     Je le mène à ma fantaisie

Petit Prince, ses livres ne parlant pas des choses importantes dans la vie, car il est « trop important pour flâner ». En revanche, il conseille au Petit Prince d'explorer la Terre, planète à la « bonne réputation ». Rencontres diverses donc, mais avec un point commun: tous sont profondément seuls. Le voilà donc sur la Terre. Rien de nouveau à ses yeux, au premier abord; la solitude semble être la même sur cette planète. De même, personne ne porte attention aux choses essentielles de la vie. Il

Frédéric II de Prusse sur la Saxe, oppose la France, l’Autriche, la Suède, la Saxe, la Russie et l’Espagne à l’Angleterre, la Prusse et le Hanovre, aussi bien en Europe quand dans les colonies. Cette guerre enflamme toute l’Europe. Le tremblement de terre à Lisbonne va aussi marquer cette période : plus de 30 000 personnes sont tuées par le séisme, ce qui remet en question toute l’idée du paradis, et de la promesse d’Eden de Dieu. V. Résumé Chapitre 1 : Candide, un jeune garçon qui vivait

l’adverbe « davantage » à valeur temporelle de futur de « plus longtemps », montrant la nécessité de rompre avec le passé pour un avenir meilleur. Les sacrifices consentis doivent amener les mineurs à poursuivre leur lutte de peur qu’elle ne soit vaine, afin d’éviter les « révoltes » de la « faim » et de nouveaux bains de sang. Enfin, l’exclamative « [n]on ! » (18) annonce le rejet violent des conditions inacceptables auxquelles le « capital » soumet les mineurs, payer, ce que nous montre le champ

dans sa lecture, retrouver par le mystère de l’auteur, ses propres sentiments car «il est inutile de parler d’amour à qui n’a pas aimé. L’amour, c’est un paysage qui ne se raconte pas. On aime lorsqu’on est soi-même les champs, les arbres, la terre.» Il n'y a pas d'amour heureux Rien n'est jamais acquis à l'homme ni sa force Ni sa faiblesse ni son cœur et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange

domaines technologique, scientifique et commercial. C’est ce que l’auteur justifie en ces thèmes : «  les sciences et leurs progrès ont permis la multiplication et le perfectionnement des moyens des communications. Ils ont réduit les dimensions de la terre à celle d’un village planétaire » (page15). Outre ces progrès, l’organisation et fonctionnement au sein de ces relations mondiales est d’une très grande qualité. Elle disposait également d’un très grand et dynamique service de renseignement qui lui

pastorale ds île exotique. Dépaysemt, chch à ns familiriser av cette nature. Ile de France = Ile Maurice. Préfère abonder ds description de sa luxuriance que celle des paysages calcinés. Nature qu’il connaît et qu’il a observé : y a vécu. En fait une terre virginale. Lieu roman = un îlot ds l’île : bassin protégé d’arbres et de rôchers.terre ingrate marécageuse ou désertique selon saison rendue luxuriante par travail Paul et serviteur : sanctification du travail et frugalité : héros ne chch ps à recréer

« Maître, nous venons vous prier de nous dire pourquoi un aussi étrange animal que l’homme a été formé. — De quoi te mêlestu ? lui dit le derviche ; est-ce là ton affaire ? — Mais, mon révérend père, dit Candide, il y a horriblement de mal sur la terre. — Qu’importe, dit le derviche, qu’il y ait du mal ou du bien ? Quand Sa Hautesse envoie un vaisseau en Égypte, s’embarrasse-t-elle si les souris qui sont dans le vaisseau sont à leur aise ou non ? — Que faut-il donc faire ? dit Pangloss. — Te taire

mettent au monde, vers 1726, Virginie et Paul. Mme de la Tour, avec sa fille Virginie, et Marguerite, avec son fils Paul, sont aidées par un couple de noirs, Marie et Domingue. Les deux femmes unissent leur détresse et leur pauvreté et exploitent la terre. Leurs deux enfants grandissent comme frère et sœur : "Ainsi ces deux petits enfants, privés de tous leurs parents, se remplissaient de sentiments plus tendres que ceux de fils et de fille, de frère et de sœur, quand ils venaient à être changés de

mettent au monde, vers 1726, Virginie et Paul. Mme de la Tour, avec sa fille Virginie, et Marguerite, avec son fils Paul, sont aidées par un couple de noirs, Marie et Domingue. Les deux femmes unissent leur détresse et leur pauvreté et exploitent la terre. Leurs deux enfants grandissent comme frère et sœur : "Ainsi ces deux petits enfants, privés de tous leurs parents, se remplissaient de sentiments plus tendres que ceux de fils et de fille, de frère et de sœur, quand ils venaient à être changés de