La Tête contre les murs

travaille avec plus de trente laboratoires différents et vend majoritairement du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, etc.), qui soigne entre autres les maux de tête. D'ailleurs, Valérie en aurait bien besoin avec ses clients qui, parfois, ne se souviennent ni du nom, ni de la fonction du médicament. Il lui arrive donc de devoir « entrer » dans la tête du client. ZOOM 2 Mettre la main à la pâte tout se fait automatiquement grâce à des machines. Cela me procure un gain de temps énorme ! Boulanger

regarder autour de lui il n’a pas le temps Un cri, «tourne vite non, pas par-là vite! rejoins les autres, quels autres?» Tête basse, il suit les lignes il suit son ombre ne voyant même pas les bâtiments sur le coté Il n’entend que cette voix qui lui dit «cours, vas-y, plus vite» Le son d’acier qui frappe les murs frappe encore dans sa tête Est-ce qu’ils sont là? il ne le sait pas Il continue comme une bête c’est le renard coincé par des chiens qui veulent le déchiqueter

pas s'arrêter et toujours ce bruit de moteur derrière moi. Mince, je me cogne contre le rebords du trottoir. Ça fait mal au petit orteil et il enfle....... pourtant, je continue..... Au loin, j' aperçois une rangée de gardes noirs, ils paraissent magnifiques et terrifiants, putain, c' est la guerre des étoiles. Et toujours ce bruit de moteur derrière moi. Cela devient agaçant de courir, je ne peux pas tourner la tête en même temps. J' ai certainement un problème de coordination. J' ai envie d'ôter

petit matin, le sergent Mosté découvrit un soldat, demi-nu, tordu en travers des feuillées. Le gel qui montait de la neige l’avait empoigné à mort. Ses cuisses sonnaient au doigt comme des planches. Quatre hommes l’emportèrent. Celui qui le prit par la tête lui cassa les oreilles. Les chasseurs pyrénéens du 27e bataillon occupaient depuis deux mois le village de Vanesse, au bord de la plaine de betteraves. Ils devaient le quitter ce jour-là, pour une destination inconnue. Le caporal d’échelon Pierre Saint-Menoux

lui faire « boulanger des mottes » donc, de lui faire travailler sur la terre comme tous les autres. Le travail de la terre était un pratique très commun chez les canadiens-français, qui constituait pour eux d’une mode de vie, et un lieu de refuge contre les ennemis, les Anglais. Dans l’extrait

jeune demoiselle. J Quelles comparaisons et quelles métaphores sont employées pour décrire le vilain (p. 13) ? Que veut montrer Calogrenant ? On peut relever les comparaisons suivantes : « un vilain qui ressemblait fort à un Maure » ; « plus grosse tête que roncin ou autre bête » ; « oreilles moussues et grandes comme celles d’un éléphant ». On trouve aussi des métaphores : yeux de chouette ; nez de chat ; dents de sanglier. Calogrenant se demande si c’est un homme ou un animal. Le personnage a en

bords. Le ciel, industrieux dans sa triste vengeance, Avait à le former épuisé sa puissance. Né parmi des rochers, au pied du Cithéron[1], Ce monstre à voix humaine, aigle, femme, et lion, De la nature entière exécrable assemblage, Unissait contre nous l’artifice à la rage. Il n’était qu’un moyen d’en préserver ces lieux. D’un sens embarrassé dans des mots captieux, Le monstre, chaque jour, dans Thèbe épouvantée, Proposait une énigme avec art concertée, Et si quelque mortel voulait nous

typographiques. Il empreinte à la mythologie espagnole deux animaux :Le cheval et le taureau. Picasso représenta beaucoup de scène de tauromachie, de corrida dans ses œuvres. Au centre, on découvre le cheval blessé par une lance, il pousse un cri. Sa tête exprime la douleur, il symbolise le peuple espagnol, la souffrance, les victimes innocentes blessées à mort. A gauche le taureau impassible, le corps vigoureux, la queue flottante en bannière. Il symbolise le parti franquiste, par son regard froid

pour faire des textes de scènes et des occasions de talent. II y a bien encore, dans cet être tout idéal, des pensées qui ont dû passer par la tête de tous les condamnés, des crises de douleur qui ont dû faire trembler les membres et claquer les dents de quelque malheureux sur la paille de son cachot, des soupirs qui se sont perdus et étouffés sous les murs de Bicêtre; et ces choses-là, vivement saisies par le poète, remuent et accablent. Mais le reste fait mal et ne touche pas. L'écrivain, ce semble

Charles BAUDELAIRE SPLEEN (quatre poèmes) Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… Spleen : J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans… Spleen : Pluviôse, irrité contre la ville entière… Spleen : Je suis comme le roi d'un pays pluvieux Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit