La Théorie D Héraclite

l’astrologie perdit ses liens avec les superstitions et la magie pour s’affirmer en tant que science. C’est à cette époque qu’apparurent les premiers horoscopes individuels. Héraclites établit à travers la théorie des contraires que chaque signe du zodiaque contient des éléments positifs et négatifs. Platon formula la théorie du rapport entre les éléments cosmiques et les phénomènes terrestres. Aristarque de Samos pressentit le mouvement de révolution et de rotation de la terre. C’est à lui aussi

l’hilarité. Le point d’accent de l’analyse est de placer sur le rieur et non sur l’objet comique. Pour Descartes, il y a une absence de lien de nécessité entre la joie et le rire. Bergson Le rire. Essai sur la signification du comique. Il donne la théorie du comique comme raideur rapportée à la souplesse du vivant. Ce qu’il y a de comique : « une certaine raideur de mécanique là ou l’on voudrait trouver la souplesse attentive et la vivante flexibilité d’une personne. » Il y a donc un lien entre le

imiter les dieux 2) Ils conçoivent les dieux à leur image Anthropomorphisme : anthropos = humain, morphé = forme (grec) Poète grec : Homère, Hésiode Chaos primitif : état chaotique avant la naissance d’un univers ordonné, donc avant cosmos – théorie Big Bang Faut distinguer un mythe d’une fable et une allégorie Le mode de pensée rationnel Les présocratiques (premier philosophe) délaissent l’explication mythique de l’univers pour lui substituer une explication rationelle. Ils renoncent aux

débat fondateur nous fait remonter aux philosophes présocratiques, en particulier à l'opposition entre Héraclite, pour qui le changement est l'essence de l'Être toujours en mouvement et en conflit entre les figures des éléments matériels, le feu en particulier, et Parménide, pour qui l'Être est permanence sous l'apparence des changements. Cette opposition radicale traverse les théories du changement. Elle est au coeur du changement dialectique* de la pensée allemande du XIXe siècle (de Hegel

philosophe de la Grèce antique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d’élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique et l’éthique, la philosophie de l’art et la politique. Diogène Laërce dit de lui qu'il est de six ans plus jeune que son ami Isocrate[2]

-C., mort en 348-347 av. J.-C.1) est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Diogène Laërce dit de lui qu'il est de six ans plus jeune que son ami Isocrate.2.

Travail de lecture sur Héraclite et Parménide Être : 1) Le fait d'être, l'existence. http://www.le-dictionnaire.com/definition.php?mot=etre 2) Objet de pensée sans référence dans la réalité objective. http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/visusel.exe?41;s=952596105;r=2;nat=;sol=1; 3) Se montrer, se comporter, dans des circonstances particulières, dans ses relations avec autrui. http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/visusel.exe?41;s=952596105;r=2;nat=;sol=1;

terre il y a 4 millions d’années grâce à des éléments essentiels tels que : l’eau, l’atmosphère et le soleil. La vie est embryonnaire et beaucoup de bactéries se développent. Les 4 éléments : l’eau, la terre, le feu et l’air sont une toute autre théorie. C’est le début de la création. Plusieurs millions d’années plus tard, le primate va apparaître. Nous ne descendons pas du singe, mais le singe est l’un de nos cousins. Une ligne va donner les singes et une autre ligne va donner les hommes. Les mammifères

PARMENIDE (515-450) Rien ne change Aucune chose ne peut devenir autre chose que ce qu’elle est Nos sens perçoivent que tout change Mais notre raison corrige Naissance du RATIONALISME Ephèse (colonie grecque d’Asie Mineure, Turquie actuelle) : HERACLITE (540-480) Παντα ϱει : tout s’écroule (nos sens sont fiables) Met l’accent sur les oppositions entre le bien et le mal (elles font l’équilibre du monde) Idée de dieu ou λοϒος (logos) => raison : qui englobe le monde entier (le bien contre le mal)

J.-C., 347 - 346 av. J.-C.[1], est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, est d'une grande richesse de