La Théorie De Gestion De Portefeuille

la réalisation du présent rapport. C’est avec un grand plaisir que je me permets d’exprimer ma vive et respectueuse reconnaissance à Mme. Khadîdja ANGADE, enseignante chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion d’Agadir, qui m’a encadrée et orientée avec ses pertinentes remarques. Ces dernières m’ont été très utiles lors de l’élaboration de cette mémoire. Mes vifs remerciements s’adressent également à Mr BENAAZOUZ, directeur de la régie Autonome

méthodes ? La Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) est une institution financière, créée sous forme d'établissement public par le Dahir du 10 février 1959. Elle a pour rôle central de recevoir, conserver et gérer des ressources d'épargne qui, de par leur nature ou leur origine, requièrent une protection spéciale. La CDG centralise l'équivalent de 35% du stock de l'épargne institutionnelle et totalise près de 100 milliards de dirhams en actifs sous gestion. Elle est le principal investisseur en

Idées tirées du recueil de Mme St-Pierre, José(1999). « La gestion financière des PME théories et pratiques ». Nous avons souvent tendance à comparer les PME aux grandes sociétés en pensant qu’elles ont le même style de gestion financière, et donc les mêmes problèmes. Malheureusement ce mythe est non seulement faux, mais il est aussi difficile de regrouper les PME dans un seul ensemble homogène qui nous permettrait de les mettre dans une seule catégorie (métaphore de la chenille et du papillon)

technologie serait les deux principaux facteurs façonnant les relations internationales. Tout ce passe comme si le monde entier était une entité unique, les firmes vendent la même chose, de la même manière, partout. Le terme s’applique surtout à la gestion des firmes multinationales et s’applique surtout aux échanges internationaux. * * *Deuxième définition : Dans les années 90, cette notion est étendue à l’ensemble des chaines de valeurs des firmes multinationales (Ingénieure rie, marchandisation

au sein des banques ont contribué à faire converger les méthodologies sous-jacentes à ces deux concepts. Ainsi, le nouvel Accord de Bâle vise à obtenir une mesure du capital réglementaire davantage sensible aux risques inhérents à chaque type de portefeuille, qui s’apparente, en de nombreux points, à la façon de mesurer le capital économique au sein des banques. Dans un environnement à la fois plus risqué et plus concurrentiel, l’objectif d’une meilleure solvabilité du système bancaire, pour les régulateurs

choix d'une structure de financement optimale est une question fondamentale en matière de gestion financière. Qui a fait l'objet de nombreux développements contradictoires dans la littérature financière internationale. Dans un premier temps Modigliani et Miller étaient à l’origine de plusieurs recherches sur les combinaisons optimales de financement, à la fin des années 1950, ils ont porté une théorie de neutralité entre valeur de l’entreprise et structure de financement, et ce dans le cas

la stratégie SI: l’impératif de cohérence …………………12 II- Paramètres des systèmes d’information …………………………………………………………23 1- Bases de données de l'entreprise, et Progiciel de gestion intégré (ERP) …………………23 2- Gestion de la relation client (CRM) « Customer Relationship Management » …………28 3- Gestion de la chaîne logistique (SCM) « Supply Chain Management » …………………..36 4- Systèmes de stockage et dispositifs de sécurité des systèmes d’information …………38 CONCLUSION………………………………………………………………………………………………………………

niveau du bilan des banques puis les opérateurs financiers exposés aux risques de taux d’intérêt et enfin les swaps et leurs risques liés aux taux d’intérêt. Deuxièmement nous verrons les risques de taux d’intérêts au niveau politique avec la théorie de l’éviction par le taux d’intérêt et les risques de la politique monétaire et budgétaire liés au taux d’intérêt. Troisièmement nous parlerons des risques du taux d’intérêt au niveau économique dans laquelle nous ferons une analyse des risques

TD 20/10/2011 PREMIER DOSSIER : LA GESTION DE PRODUIT I. L’offre produit On estime que l’offre produit est une création de valeur. L’offre produit est composée d’un bien et/ou d’un service et de ses attributs qui peuvent être fonctionnels (ses composants technique, sa forme, son utilisation), symboliques (son image, sa qualité) et commerciaux (sa marque, son conditionnement, sa beauté, son prix etc. Cette offre produit est construite et mise sur le marché de façon à y être remarquée, achetée

GENERALE                                                                                                                                                                                                                            Partie I - ELEMENTS DE THEORIE POUR L’EVALUATION DU RISQUE                                    DE CREDIT ENTREPRISE                                                                                » CHAPITRE I      Approches conceptuelles du risque de crédit entreprise