La Théorie De Socrate

des penseurs qui, dans la Grèce Antique, ont participé aux origines de la philosophie et ont vécus du milieu du VII ème Siècle avant J.C jusqu'au VI ème avant J.C, ie pour la plupart avant Socrate (470 / 399 avant J.C). Certains penseurs considérés comme pré-socratiques étaient tout fois contemporains de Socrate, comme les atomistes et certains sophistes. Leurs réflexions, qui relèvent en grande partie de ce qu'on appela ensuite « Philosophie de la nature » (astronomie, origine et reproduction de

Introduction : La République de Platon (427-347) est un dialogue qui traite des théories de la cité parfaite. En effet, une bonne gouvernance qui requiert justice (livre I) doit se pratiquer dans une cité parfaite (Livres II – IV). Platon donne les caractéristiques, l’organisation et les qualités que doivent avoir les dirigeants de cette cité. (Livres (V – VII). Les livres (VIII et IX) présentent les maux qui peuvent conduire cette cité à la ruine. Le livre (X) est consacré à la destinée de

matière de connaissance, chacun peut induire et déduire et ainsi se forger une opinion Déduire des choses voilà une action que l’on doit à Aristote qui en tira son célèbre syllogisme : Tous les hommes sont mortels Socrate est un homme donc Socrate est mortel Socrate est mortel voilà la certitude car les 2 premières affirmations sont sûres, vérifiables. C’est ainsi qu’Aristote initia une pensée rationnelle basée sur le syllogisme qui lui permit d’affirmer que ses idées étaient cohérentes

Platon Si la philosophie est pensée comme recherche de l'être vrai, du fondement, des premiers principes, au moyen de l'intelligence, l'objet d'art qui nous apparaît par la sensibilité est de fait éliminé du champ de la recherche philosophique. La théorie des idées platonicienne, surmontant la désillusion causée par Anaxagore, nous signifie clairement la première que la pensée ne peut penser que de l'intelligible. Dans ces conditions, l'objet d'art qui se présente avant tout comme un objet sensible

LA JUSTICE OU DE L'INJUSTICE SELON SOCRATE IV. EVALUATION ET INTERET V. Evaluation VI. Intérêt CONCLUSION Lexique Sources Observations INTRODUCTION De toutes les figures si éminentes qui ont su marquer allègrement l’Histoire de la philosophie de la Grèce Antique, s’inscrit en droite ligne Socrate. Ce dernier à sans doute influencé ses successeurs immédiats : Platon et Aristote partisans de la rhétorique et artisans du bon sens. Socrate qui nait vers 470 avant Jésus-Christ

philosophie permet-il de justifier l'art de vivre de Montaigne ? LECTURE DU TEXTE On peut découper cette extrait de la façon suivante : l 1 à l 15 Montaigne hédoniste l 16 à l 27 Une critique de l'épicurisme l 27 à l 46 L'évocation de Socrate : Un Montaigne Stoïcien Montaigne hédoniste Obéissance et piété envers Dieu et la nature qu'il a créé fondent le trait hédoniste de l'existence vécue selon Montaigne, qui est de faire l'usage le plus étendu de tout ce que comporte la condition

PHILOSOPHIE – TEST 1RÉSUMÉPlaton, Ménon : Partie 1 – une définition, pas des exemples…Platon a reporté les dits de Socrate. Dans ces extraits, Ménon interroge Socrate sur la provenance de la vertu, si elle s’enseigne, est innée ou autres. Vertu qualité d’une personne liée à la morale. Ex : tolérance, courage, prudence, tempérance, justice, solidarité, etc… Socrate ne répond pas directement à la question, il y répond en posant d’autres questions afin de pousser son interlocuteur à réfléchir et parvenir

comme un discours théorique (même si ce dernier ne saurait être ignoré, naturellement) ce qui est particulièrement frappant chez un Socrate, un Diogène ou chez les Stoïciens. Les deux autres grands domaines de la recherche des penseurs antiques sont d'une part la cosmologie et la physique (ce qu'on a longtemps nommé philosophie naturelle), d'autre part la théorie de la connaissance parfois liée à la logique. Ainsi, la question fondamentale qui occupait les philosophes présocratiques était la question

23 - Le regard des gens « normaux » sur les handicapés de centre : Dans le livre, Socrate observe qu’Alexandre revient sans cesse sur les notions de « norme », de « normalité » et lui demande de préciser ce que cela signifie pour lui. Pour Alexandre, être normal, c’est être « conforme à la majorité ou à la moyenne », comme, par exemple, « pour un enfant de douze ans…marcher, parler, lire, écrire ». Socrate lui demande ce qu’il pense « des gens de l’extérieur ? » Alexandre ressent douloureusement

Pour éviter une pensée uniforme - Pour aborder les choses sous différent angles/savoir les définir - Pour se construire/faire évoluer les idées/apprendre à penser par soi-même - Pour grandir/devenir plus mature/sage - Pour comparer différentes théories (économiques, politiques, scientifiques, …) - Pour savoir hiérarchiser les problématiques de l’existence - Pour repenser notre contact/rapport à l’environnement Qu’est-ce qu’un monde ? Questions relatives à la