La Théorie Des Couts De Transaction

LES THEORIES DU MANAGEMENT Sources : - BARABEL M. et MEIER O., Manageor – Les meilleures pratiques du management, Dunod, Paris, 2006, p. 11 et s. - TILLOY I. Polycopiés de cours Section 1 : Les théories traditionnelles du management 1. L’école classique Les auteurs de « l'école classique du management » ont en commun la volonté d'énoncer des règles rationnelles[1] et générales de conduite des organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence

principalement fondée sur des critères de savoir-faire techniques et d’exploitation optimale des capacités disponibles. En outre, on a assisté également à un passage d’une économie tirée par la demande, dont l’avantage compétitif dépend de la maîtrise des coûts et des prix bas, vers une économie poussée par l’offre, dont le facteur clef de succès dépend, en plus de la maîtrise des prix, de la qualité des produits offerts et aussi de la capacité d’innovation. Certes, il est clair aujourd’hui, qu’il est impossible

............................. 5 INTRODUCTION ................................................................................................................................. 6 PARTIE 1 – PARADIGME STRUCTURE – COMPORTEMENT – PERFORMANCE (SCP) ET THÉORIE MICROÉCONOMIQUE ............................................................................................ 7 1. MODÈLE DE BASE .....................................................................................................................

permet une meilleure utilisation des ressources. 2. Les coûts de transaction : Les coûts de transaction : liés à une transaction économique , essentiellement dans le cadre d’un échange sur le marché. Ils regroupent donc l’ensemble des coûts liés à un achat (Exemple : les coûts de recherche d’informations techniques, du bon fournisseur…) L’entreprise, en décidant de fabriquer elle-même certain produits, réduit ses coûts de transaction. Préférer l’organisation au marché : l’entreprise comme

actions si l’entreprise est une SA. 22-L’utilité du marché secondaire Le marché secondaire est le marché sur lequel des titres déjà émis changent de main. S’il est organisé il s’agit du marché boursier. Il n’est plus ouvert aussi aux PME. La théorie de l’efficience des marchés financiers Un marché financier est dit efficient si et seulement si l’ensemble des informations disponibles concernant chaque actif financier coté sur ce marché est immédiatement intégré dans le prix de cet actif L’efficience

Sociologie des organisations Prof : M. Denis : n’aime pas le terme de « sociologie des organisations » mais préfère « théorie des organisations » → représente mieux le cours. Introduction Monde = monde d’organisations, il est essentiel de comprendre le fonctionnement de ces dernières. Société = organisation non naturelle (≠ famille par ex). Organisation = gens qui se retrouvent ensemble pour faire quelque chose (existence d’une organisation dès 2 personnes) F. Taylor : premier théoricien

Chapitre 2 La demande de monnaie 1- L’APPORT DE LA THEORIE 1- L’ANALYSE CLASSIQUE 1- La monnaie n’est qu’un moyen de transaction 2- La monnaie n’influence pas l’économie réelle : la monnaie est neutre 3- Le volume de monnaie en circulation peut influencer les prix 1.2 - L’APPORT KEYNESIEN 1.2.1 - Les nouveaux motifs de la détention de la monnaie. 1.2.2 - La monnaie est active 1.3 - L’APPORT DES MONETARISTES 1.3.1 - La monnaie a comme

LA THEORIE NEO-CLASSIQUE INTRODUCTION Théorie dominante dans les économies capitalistes, celle qu’on enseigne beaucoup dans les universités. Courant crée dans les années 1870. Théorie améliorée (notamment quand il était manifeste qu’un des éléments n’était pas sérieux) 2 grands théoriciens l’ont notamment améliorée dans les années 1910/1920 : Alfred MARSHALL (Cambridge) et BOHM-BAWERK ; Cette théorie NC, après la deuxième Guerre Mondiale a perdu de son influence au profit de la théorie

LES MARCHES FINANCIERS SONT ILS EFFICIENTS ? Sommaire : I. Efficience des marchés financiers : limites et ouverture A. Théorie de l’efficience des marchés financiers B. Remises en causes empiriques de la théorie de l’efficience II. Régulation et marchés financiers A. Modalités et objectifs d’une taxe sur les transactions financières B. Remise en cause de la globalisation financière Introduction : • Jean Claude Trichet, Ex-président de la BCE dans un Entretien au Monde du 18 novembre 2009:

La monnaie est-elle neutre ? La monnaie est un instrument d’échanges permettent l’achat immédiat de biens et services sans coûts de transaction ou coûts de recherche, et qui conserve sa valeur entre deux échanges. Mais comme à chaque fois, les économistes s’opposent, et un passionnant débat sur la qualité de la monnaie s’ouvre alors à nos cerveaux ébahis… La monnaie est-elle « neutral » comme dirait van Damme ? Est-elle endogène ou exogène à l’activité économique ? Ou encore, pour