La Tirade Des Reproches

sein d’une famille. L'auteur nous raconte l'histoire de Louis qui retourne dans sa famille après plusieurs années , pour annoncer , à son frère Antoine , sa sœur Suzanne , sa mère ainsi que sa belle sœur Catherine , sa mort prochaine mais les reproches , les non dits , les souvenirs ressurgissent et Louis repartira sans leur apprendre le drame qui l'attend irrémédiablement , sa mort . Un critique définit la

théâtral - Œuvre intégrale : 1° (I, 1) : scène d’exposition, les différents comiques. 2° La préface de Tartuffe, Hatier p.279 (contexte de la pièce, ambitions comiques de Molière, une comédie sérieuse et satirique) Tartuffe 3° (I, 5) : tirade contre l’hypocrisie de Cléante à Orgon (portée argumentative, le blâme, double énonciation) 4° (V, 7) : Dénouement (coup de théâtre –deus ex machina-, éloge du roi) Etude sous forme de tableau. Documents complémentaires - Biographie de

faveur de la reine, est devenu duc dOlmedo, chevalier de la Toison dor, secrtaire universel et premier ministre. Son amour lui donnant du gnie, il tente de rgnrer lEspagne. Dans une tirade vhmente (Bon apptit messieurs ), il apostrophe durement les ministres prvaricateurs qui se partagent les profits de lempire, leur reproche leur corruption. La reine la entendu sensible tant de grandeur et de puret, elle, que dlaisse son poux, sprend de Ruy Blas et lui fait laveu de son amour. Mais Don Salluste est

l’exprime le plus. Antoine est tendu dès l’arrivé de Louis, la tension augmente crescendo dans la pièce. Le petit frère effectue une longue tirade dans la scène trois de la deuxième partie, il exprime ce qu’il ressent par rapport à son frère et ses années d’absences. Le cadet se laisse submerger par la colère. La mère ainsi que la sœur font également des tirades pour se plaindre du comportement de Louis. La tension ne fait qu’augmenter dans la pièce. L’accumulation des crises, des plaintes envers Louis

peuple vis-à-vis de la politique actuelle (monarchie constitutionnelle) : « Eh bien ! Monsignore, [...] les peuples de Naples sont-il heureux ? Le roi est-il aimé ? ». Il pense que Fabrice est ému et il espère que sa réponse lui donnera matière à reproche, mais là encore, il se trompe. Fabrice répond avec aisance (cette courte intervention du narrateur nous le confirme : «[...] répondit Fabrice sans hésiter un instant [...] »). Ernest IV ne peut qu'approuver les réponses du jeune homme qu'il qualifie

distance (cf. motif des cartes postales qu’il envoie, avec leurs « phrases elliptiques », pp. 64-65). - Suzanne est dans le reproche (« Je te fais des reproches et tu m’écoutes ») mais cette parole est en même temps contrariée par la construction commune par Antoine et la mère d’une image inattaquable de l’aîné qu’elle-même a intégrée : « Nous n’avons aucun droit de te reprocher ton absence ». D’où l’ambivalence d’une parole qui exprime en même temps l’attachement et le manque, la frustration. Petit

| |Tartuffe | | | |3° (I, 5) : tirade contre l’hypocrisie de Cléante à Orgon (portée argumentative, le blâme, double énonciation) | | |

de succès sans cesse recommencés. Le voici libre de se lancer dans une nouvelle "entreprise amoureuse" : il s'agit d'enlever une belle, au cours de la promenade en mer que lui offre son fiancé. Mais survient Elvire, douloureuse et indignée. Elle reproche à Dom Juan sa trahison et lui demande des comptes. Dom Juan se réfugie dans une impudente hypocrisie et lui répond avec le cynisme le plus odieux. Elvire appelle sur lui la punition du ciel et le quitte en le menaçant de sa vengeance. Dom Juan

de phrases sans rapport, il décide d'écrire une pièce absurde intitulée l'anglais sans peine. Ce n'est qu'après un lapsus, lors d'une répétition, que le titre de la pièce est fixé : l'acteur qui jouait le pompier devait parler, dans une très longue tirade, d'une institutrice blonde… et au lieu de dire "une institutrice blonde" a dit "une cantatrice chauve" qui devint le titre de la pièce. Ionesco s'inspire de la méthode Assimil, mais dans Notes et contre-notes, il explique que l'absurde est venu se

de Napoléon Bonaparte sur lequel il dit, vouloir prendre exemple, après avoir étudié diverses façons de pouvoir diriger la France. Va s'en suivre une longue éloge faite à son oncle et tout ce qu'il a apporté ; une éloge accompagnée d'une tirade lourde de reproches faites à la révolution et aux révolutionnaires. Celui-ci insiste sur l'évolution apportée par son oncle et à l'opposé, sur ce que la révolution a détruit dans la société française. I- Un président de la république qui commence à introduire