La Tirade Des Reproches

il résume la scène 5 et le début de la scène 6 : « Le mari arrivant, il [Damis] lui conte tout. La dame avoue la vérité de ce qu’il dit mais en le blâmant de le dire. Son mari les regarde l’un et l’autre d’un œil de courroux ; et après leur avoir reproché de toutes les manières les plus aigres qu’il se peut, la fourbe mal conçue qu’ils lui veulent jouer, enfin, venant à l’hypocrite, qui cependant a médité son rôle, il le trouve qui, bien loin d’entreprendre de se justifier, par un excellent artifice

est jugé politiquement incorrect.Multiplication des parodies : N, I, Ni ou le Danger des Castilles, Don Pathos et sa pupille Parasole et un vitrier venant réparer les verres brisés. Oh ! qu’nenni ou Mirliton fatalHarnali ou la contrainte par cor On reproche à la pièce des considérations triviales qui déclenchent les rires « vous devez avoir froid », « Fais sécher le manteau ». II, 2, réflexions sur l’heure « est-il minuit ? » le théâtre ne devrait pas recevoir ces paroles prosaïques. Dénouement qui

ses maîtres initiaux pour aller vers le plus offrant. Il n'a aucun scrupule, et encore moins de dignité et d'honneur. Il prône des valeurs fourbes et perfides telles que la calomnie, ce qui le représente parfaitement, comme il l'explique dans sa tirade de l'acte II,scène 8 « La calomnie, monsieur ? ……………… Qui diable y résisterait ? ». Il ne changera malheureusement pas dans le Mariage de Figaro, toujours aussi cupide, trompeur, hypocrite et ridiculement intéressé. Figaro et lui se considèrent d’ailleurs

laisse pas le temps de parler, et ce qui est le plus marquant chez Figaro c'est art d'esquive. "Oui, s'il y avait ici de quoi se vanter … " Figaro critique directement son maitre, retourne carrément ses répliques en lui faisant des critiques et des reproches et termine par employé une proposition juxtaposée ou on y trouve une énumération aussi où il nous confirme vraimant qu'il a pris le dessus c'est lui qui a le dernier mot. Le Comte est le maitre de Figaro, quand il s'adresse à lui il le tutoie

hommes. Le théâtre repose sur des rapports de force. Pour bien parler d’une scène ou d’un acte, il faut montrer comment les affrontements entre personnages modifient la situation dramatique. Shakespeare ne pense pas le Mal en théorie. Il n’y a aucune tirade sur le Mal en tant que concept. On se demandera plutôt ce qui, dans la pièce, représente le malin (les figures surnaturelles du maléfice, l’épouse tentatrice), mais surtout la transgression. Quelles sont les lois morales que Macbeth viole ? a

et les tromperies. Done Elvire l'épouse délaissée de Dom juan fait son apparition scène 3 mais Dom Juan choisi d'abord le silence puis la cruauté en disant la vérité. • Langages : On relève des niveaux de langages contrastés, avec la tirade de l'éloge du tabac puis celle du blâme (du maitre libertin).Une authentique éloge se déploie à la scène 2 sur l'inconstance. A la scène 3 se mêlent deux registres l'ironie lorsque Dom Juan évoque le ciel et le pathétique avec la colère de Done

point mes mots ». Elle reconnait d’ailleurs elle-même son agressivité « Je vous parle un peu franc mais c’est là mon humeur ». B.) Portraits par Mme Pernelle Madame Pernelle dresse un portrait péjoratif de chaque personnage de la famille. Elle reproche Elmire d’être dépensière Elle considère que Damis est un « méchant garnement » et elle l’accuse d’être un « sot ». Cléante est présenté comme un libertin Le ton de Mme Pernelle est péremptoire: les blâmes sont introduits par des phrases affirmatives

siècle. → Époque: l'Âge classique → Structure : 5 actes → Forme : dialogue en vers → Personnage principaux : Alceste et Célimène Philinte, Éliante, Arsinoé, Oronte, Acaste, Clitande. Outil de lecture → Sonnet: Poème de deux quatrains + deux tercets → Tirade: Longue suite de parole ininterrompues → Satirique : genre littéraire utilisant l’arme du rire pour dénoncer → L’intrigue : le nœd de la pièce → Hyperbole : Exagération (ou diminution) de langage → Coup de théâtre : événement imprévu marquant un brutal

démonstration/ programme à venir / hypothèse/ début de la conjecture· marques des destinataires : pronom de second rang et injonctions (=ordre, impératif) à la deuxième personne du pluriel / discours ininterrompu par les apprenants. · Solitaire et déterminée : tirade=> Elle est celle qui a le rôle d’enseignant, cartésienne et réaliste 2. Espace de Simon · salle d’entraînement : cf didascalie « gong », « entraînement »· boxeur amateur « combat / professionnel », « frappe »· registre

l’interjection qui invoque Suzanne « ô » sa femme Suzanne à trois reprises sur le ton du reproche, de la colère puisqu’il croit qu’elle va le tromper avec le comte. Le substantif « femme » est intensifié à chaque fois d’un point d’exclamation marquant son mépris. La périphrase « créature faible et décevante » dépasse le cadre de Suzanne mais généralise les femmes. Ce discours imaginé donne du rythme à la tirade. Figaro dépasse le statut de valet traditionnel et devient philosophe en établissant