La Tirade Des Reproches

Attitude et activité du spectateur confronté au spectacle. • RECIT : toutes les actions ne sont pas montrées sur scène.  Le résultat est qu’une pièce classique présente de nombreux récits, faits par des personnages lors de longues tirades : -  récit de ce qui précède la scène 1 de l’acte 1 (exposition) -  récit de ce qui se passe entre les actes, -  récit de ce qui s’est passé en d’autres temps et lieux,  -  récit des actions violentes où le sang est versé

d’Euphrosine. Effacement progressif. Supplication. Puis absence totale de réplique : Scène de thérapie. C] Revanche de l’esclave Enthousiasme car ponctuation et exclamation. II – Le réveil théâtrale de Cléanthis A] Une tirade dialoguée Théâtre dans le théâtre. Trivelin passe de metteur en scène à spectateur. B] La parole libératrice Le fait de pouvoir s’exprimer lui offre une revanche. C] La créativité de Cléanthis Accumulations

ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons Et, le lui reproche ouvertement (acte I, scène 2): Ma foi ! Monsieur, j'ai toujours ouï dire que c'est une méchante raillerie que de se railler du Ciel, et que les libertins ne font jamais une bonne fin. Puis à l'acte III, scène 1, Dom Juan s'en explique très clairement

telles que « faible comme le ver de terre ». Dans la partie qui suit, des animaux viennent tour à tour devant Dieu étendu à terre. Les quatre premiers attaquent Dieu verbalement et physiquement, jusqu'au lion qui refuse d'en faire autant et qui reproche aux autres d'avoir agi ainsi. Viens ensuite l'homme, qui est celui qui pousse le plus loin l'humiliation de Dieu. Trois des animaux que Lautréamont met en scène, le hérisson, le lion et l'âne, sont des figures des fables de la Fontaine et présentent

annonce que Pontagnac est amoureux de Lucienne mais qui elle, ne trompera jamais son mari (à part si lui la trompe) ; « je ne désire rien de plus, et tant qu’il n’ira pas porter ses qualités artistiques à l’extérieur… ». Pontagnac insiste avec des tirades ; « Qu’est-ce que ça prouve, le mari ? […] C’est l’artiste de l’amour. Le mari n’en est que le rond-de-cuir » alors que Lucienne ne fait que de petites répliques, on trouve aussi une personnification . Puis dans Amphitryon 38 ; Alcmène est l’épouse

il n’a cessé d’être question tout le long du premier acte, apparaît enfin en personne. Il correspond bien au portrait in absentia dressé de lui par les différents protagonistes : c’est lui qui détient le pouvoir et il le fait savoir. Sa première tirade se développe sur un ton injonctif dominant : « Je veux », « C’en est trop », « Il faut », « pour la dernière fois », « Je le veux, je l’ordonne », la redondance, les répétitions insistent sur sa volonté d’imposer son pouvoir à tous. Les verbes à l’impératif

toutes  les  situations,  au  point  qu’il  déclare  préférer  s’exiler  dans  un  désert  que  de  continuer  à  côtoyer  l’être  humain.  Notre  extrait  est  une  partie  de  la  scène  d’exposition  qui  oppose  Alceste   à  Philinte.  Alceste  reproche ici à son ami d’accorder trop facilement son amitié. Nous verrons comment est mis en scène le  conflit  entre  les   deux  hommes.  Tout  d’abord  nous  analyserons  la  thèse  d’Alceste  avant  de  nous  intéresser à celle de Philinte pour fi

Beaumarchais en 1784 et le dernier texte est issu de la pièce Electre de Giraudoux écrite en 1938. Ces trois textes montrent tous des scènes de conflit, Elvire accuse Don Juan de l'avoir trahie, le comte croit que sa femme le trompe, et le jeune homme reproche à Agathe d'avoir un autre amant. Comment le dialogue théâtral et les didascalies expriment-ils le conflit entre les personnages dans ces trois scènes ? Nous verrons comment le dialogue est-il crée pour réaliser une véritable scène de conflit et en

présentée comme « romaine«. Bérénice qui s’était déclarée prête à rester comme concubine, retrouve sa fierté et sort en annonçant sa mort prochaine, seul issue. (6) Titus se compare à Néron et s’égare dans la douleur. (7) Antiochus lui fait du reproche et l’encourage à aller voir la reine. (8) Les corps constitués de Rome arrivent au palais. Titus choisit sans hésiter de les recevoir plutôt que de rejoindre Bérénice. Acte V (1) Le dernier acte s’ouvre sur un Arsace heureux en quête de son

crée un effet dramatique et comique en confrontant le personnage à l’image et celui que Sganarelle nous a décrit. Une explication se déroule avec Sganarelle qui lui reproche son libertinage comme il cite a la ligne 38 « trouve fort vilain d’aimer de tous côtés «  et qu’il est le plus grand scélérat .Dom juan réplique dans une longue tirade et lui expose sa philosophie de l’amour. En faisant un éloge de l’adultère. Nous pouvons donc nous demander en quoi cette scène dépeint le portrait du libertin de