La Tirade Des Reproches

une nouvelle loi qui ordonne qu’on ne pourra procéder contre les femmes que par la voie des prières et des remontrances. Un philosophe est associé aux deux gouverneurs, pour leur servir de conseil. Ce philosophe, qui s’appelle Hermocrate, leur reproche la faiblesse qu’ils ont pour un sexe dont ils doivent être les maîtres. Dans le nouveau Conseil qui s’assemble pour recevoir l’abdication et de Timagène et de Sorbin, Hermocrate est élu pour gouverner seul : il signale son avènement à l’empire

fait que les gens meurent malheureux, prouve le manque de vérité dans cet environnement. Le lecteur en général reproche aux écrivains d’insister sur le côté noir de la vie, ce qui semble surprenant car ils ne l’analysent de cette façon que parce qu’ils sont parfaitement conscients de leur tort. La vie réelle est tellement remplie de malheur qu’il n’est pas nécessaire

sont ? PERDICAN Adieu, Camille, retourne à ton couvent (…) créé par mon orgueil et mon ennui. “ CAMILLE Vous me faites peur ; la colère vous prend aussi. CAMILLE Ni pour moi, n’est-ce pas ? Tirades répliques Ici, Perdican parle tout seul : c’est une longue tirade, interrompue par deux répliques très courtes de Camille. Cela révèle que Perdican en a lourd sur le coeur. elles te les ont fait toucher # Vous me faites peur ; la colère vous prend aussi. Pronoms

faux dévot aux yeux d’Orgon. Elle a donc une vocation de « metteur en scène » (comme Dorine) et constitue de ce fait l’un des personnages essentiels de la pièce. On apprend donc qu'Elmire est la bru de Mme Pernelle « Laissez, ma bru » et qu'elle lui reproche d'être trop coquette « Que vous alliez vêtue ainsi qu'une princesse. » vers 30. Elmire, pour deux raisons : * l'amour que Tartuffe lui porte est le moteur d'une des intrigue majeure * c'est elle qui parvient à désabuser Orgon, dans

les enfants de Jason ne soient pas bannis, cependant, elle veut obtenir en échange la ravissante robe de Médée. Jason va de ce pas demander la robe par le biais de Nérine, mais malgré cette précaution, il tombe sur Médée qui en profite pour lui reprocher de la quitter malgré tout ce qu’elle a fait pour lui. L’amoureux lui avoue finalement sa flamme pour Créuse et tente en vain de lui expliquer que cela pourrait sauver ses enfants. La sorcière ne veut rien savoir elle gardera ses enfants. Une fois

débarrasser sur lui des explications qu’il doit à Done Elvire à l’acte I et n’hésite pas à l’acte II à prendre les vêtements de son valet pour fuir, l’échange se révélant évidemment dangereux pour celui-ci. Il le menace également de coups dès que les reproches faits par Sganarelle l’agacent. Cependant il lui propose de souper avec lui,  et lui accorde une certaine liberté de parole, voire l’interpelle alors qu’il se trouve avec d’autres personnages, ce qui crée une complicité moqueuse entre le maître et

On peut dire que toutes ces formules amplifient la force et la valeur de Matamore : il se désigne comme un grand héros, comme un chevalier sans peur et sans reproche, qui détruit tous ses ennemis fabuleux par leur nombre, leur puissance, leur exotisme. Il les affronte seul et sans armée. Mais la deuxième partie de la tirade, montre qu’il est aussi un grand séducteur : cette facette s’oppose à celle du guerrier. Cette opposition est perceptible avec le connecteur logique « toutefois », qui

étudierons ce moment-clé en faisant apparaître dans un premier temps les prémices de la situation amenant à l'aveu. Ensuite nous aborderons le moment de la réaction : l'innocence d'Hippolyte et sa rationalité. Enfin, nous montrerons les éléments de la tirade de Phèdre qui traduisent le sentiment honteux qu'elle éprouve et qui se retrouvent dans les caractéristiques de la tragédie. ------------------------------------------------- I. Une demande de service qui précède un aveu : l'adultère

dramaturge (l’auteur) peut s’exprimer indirectement à travers les propos de ses personnages : on parle de double énonciation . Les formes de paroles  : -répliques /dialogues- monologue- tirade- stichomythie- récit- apartéLes noms de métiers  : -dramaturge : l’auteur de la pièce-metteur en scène-acteurs(trices)/comédiens(iennes)-spectateurs(trices)-maquilleurs-couturiers-décorateurs, scénographes-régisseurs son-

subir son destin tragique et être tuée, mais elle en a pleinement conscience car elle est prévenue du sort qui l’attend si elle commet son acte, ce qu’elle fait néanmoins et récidive. Cette conscience est visible dans le Quatrième épisode dans la tirade d’Antigone : «  Ô tombeau, chambre nuptiale ! retraite souterraine ma prison à jamais !  », ou plus loin encore «  je descends, vivante, au séjour souterrain des morts ! » ce qui témoigne bien du tragique de sa situation et la conscience qu’elle en