La Tradition Est Elle Un Obstacle à La Modernité

Idées et pratiques politiques à l'époque moderne (Cour thématique) S. Gal (GALLICA) Introduction XVI° au XVII° siècle. Le gouvernement du prince, on ne parle pas de chef ni d'homme d'état, on parle du prince, de ses conseillers qui renvoient aux arts de gouverner. Avec l'idée que le pouvoir est inée mais de plus en plus, on va voir que ça s'apprend les pratiques et une théorie qui s'acquiert. Une période où de nombreuses notions apparaissent et s'affirment au niveau politiques

Grèce antique et modernité : politique, rhétorique, éthique. (Paul Demont) Introduction La période étudiée : 6ème s av notre ère= période de la Grèce dite archaïque jusqu’à la période dite classique 5ème s-4ème s, enfin la période hellénistique cad 4- 3 ème s av notre ère. * La période archaïque c’est celle de la fondation de la démocratie athénienne * La période classique= l’âge d’or de la démocratie athénienne, la domination de Périclès par ex * La période hellénistique, après la

réconciliation n’est pas à faire, elle est faite. Cependant on feint de croire que la société humaine est bien loin d’être un fait ; la France, l’Angleterre, l’Allemagne, voilà des faits. Occupez déjà cette position ; fortifiez là. Si vous rencontrez quelque colonel de pensée, demandez lui s’il est d’usage d’adorer ou seulement de respecter les faits. Non. Les faits, il faut en tenir compte ; il faut même y faire grande attention. Et, au contraire, le respect et le culte vont, comme d’eux-mêmes, à des idées qui

réduit de façon caricaturale à un seul modèle, hégémonique et maléfique. La seconde approche est de type « populiste » : à un populisme « idéologique », qui exalte systématiquement les savoirs et les pratiques populaires se mêle parfois un populisme « méthodologique », qui entend explorer les ressources cognitives et pragmatiques des acteurs, aussi apparemment démunis soient-ils. La troisième approche, ici défendue, s’intéresse à « l’enchevêtrement des logiques sociales », et à l’hétérogénéité des acteurs

L’Europe de 1815 à 1914 Introduction : En 1815, où se déroulait le congrès de Vienne (1er novembre 1814- 9 Juin 1815) dans lequel les souverains vainqueurs de la France voulaient restaurer un ordre européen fondé sur la légitimité, l’équilibre des puissances et l’autorité des monarchies conservatrices. Cependant à la suite de ce congrès, les états conservateurs vont devoir affronter deux grands mouvements. D’une part les libéraux qui souhaitent promouvoir des institutions représentatives, et d’autre

longtemps que c'est le langage qui est en cause. Il suffit de rappeler l'adoption par les sciences d'un langage formel, sans équivoque. C'est donc peut-être l'outil linguistique qui est en cause. Pourtant n'est-ce pas faire un peu vite la part belle à la pensée ? Quel est donc le lien entre le langage et la pensée ? Le langage n'est-il qu'un outil pour la pensée ? I. Le langage, un outil de la pensée ? 1) Le langage, un moyen de communication ? Peu de choses nous sont aussi familères que

«  Dix volumes ne suffiraient pas à dire toute l’injustice faite aux femmes algériennes, cent volumes ne suffiraient pas à expliquer, comment, malgré tout, elles arrivent à conserver de la dignité à la vie, de l’espérance à leurs enfants, de la poésie à leurs œuvres, de l’amour dans leurs cœurs. » Saïda RAHAL-SIDHAIM [1] INTRODUCTION L’islam, troisième religion monothéiste du monde, représente aujourd'hui plus d’un milliard deux cents millions de fidèles

leur destin L'esprit des Lumières A) Un projet humaniste. *Autonomie “Aie le courage de te servir de ton propre entendement” -> Kant nous dit que l'homme est lui même responsable de sa propre minorité. Il ne tient pas un discours de victime. Il de la responsabilité de chacun de devenir autonome. Chacun est responsable de son accès à l'autonomie, à la majorité qui s'acquière. Kant s'attache ainsi à montrer que les hommes peuvent être responsables de leur minorité

est certainement la plus féconde. Il est un moteur de création et de réalisation qui ouvre un passage de l’univers mental à l’espace concret, allant de visions irréelles à des visions susceptibles de prendre forme. Dans sa nature utopique et indomptable, il donne naissance à un élan, à des envies de rendre concrètes des chimères, de matérialiser la psyché grâce à l’action et à la mise en œuvre de projet. Le rêve en tant qu’image et langage est souvent considéré comme le lieu même de l’intériorité

la plus vieille certitude humaine c’est que la nature dissimule plus de choses qu’elle n’en laisse apparaître. L’humain a donc un désir immémorial de voir ce qu’il y a derrière. Le visible de la nature voile de l’invisible. C’est cet invisible que tentent de montrer les images, de Lascaux à Yves Klein. De ce point de vue, toute image est l’expression de notre condition d’Homme, à savoir un être-pour-l’autre. Si l’Homme croît se voir physiquement dans un miroir, il se regarde toujours métaphysiquement