La Tradition Germanique

retrouve ses frontières de 1791. Il n'existe pas d'Etat Allemand: elle est alors divisée en 39 Etats souverains: Royaume de Prusse, des principautés, des villes libres (Lubeck, Hambourg, Brême). Une confédération germanique est pourtant proclamée (Napoléon avait dissout l'Empire romain Germanique), avec un Parlement (aucun pouvoir politique). L'Italie est divisée en 8 Etats souverains, dont le domaine de Saint-Pierre (?), les Etats Pontificaux (qui divisent l'Italie en deux). Constat: il n'est pas possible

médiévales §1 Le haut moyen-âge ou l’époque Franque (5ème au 10ème siècle) : Le trait marquant est la présence barbare en occident. Rencontre de la tradition romaine, et côté barbare la tradition germanique. Au départ la France était le territoire des premiers francs installés en Gaulle. C’était des envahisseurs étrangers de tradition germanique. Ils vont mettre en place un royaume. Dans la période franque, 2 dynasties qui se suivent : * Mérovingiens (481 à 751) : 2 caractéristiques. On

volontaristes et jusnaturalistes. Il défend ainsi une théorie originale de la loi : au lieu d'en faire un commandement à suivre, il en fait un rapport à observer et à ajuster entre des variables. Parmi ces variables, il distingue des causes culturelles (traditions, religion, etc.) et des causes naturelles (climat, géographie, etc.). Il livre à partir de là une étude sociologique des mœurs politiques, la censurede l'Eglise romaine s'est rapidement abattu sur son oeuvre, en effet son traité était inscris sur

familles de droit dont la première : => la famille ROMANO GERMANIQUE, on la retrouve principalement en Europe et en Amérique latine. Cette famille groupe les pays dans lesquels la science du droit s’est formé sur la base du droit romano. Les règles du droit s’imposent dans ces pays comme étant des règles de conduite étroitement liée à des préoccupations de justice et de morale. On constate dans ces pays de la famille ROMANO GERMANIQUE qu’un rôle prépondérant a été attribué à la loi. On retrouve

franchir un cap difficile. Les uns et les autres ont des ennemis communs, les Burgondes et les Wisigoths, mais d’un autre coté, l’Eglise et les barbares ont une conception du pouvoir complètement différente. Les Francs restent attachés à la conception germanique du pouvoir, un pouvoir personnalisé, et les évêques espèrent parvenir à restaurer un pouvoir institutionnalisé, le modèle de l’Etat romain, mais cela sera un échec assez considérable. ● L’expérience de gestionnaire des évêques :

akademischen Gebrauche, Leipzig, Veit & comp, 1898). Les Francs sont un peuple germanique, sous la forme d'une confédération de tribus au moment des grandes invasions. Certains d’entre eux jouent un rôle important et central dans l'histoire de France, des Pays-Bas, de Belgique et d'Allemagne à compter de leur implantation en Gaule romaine. Les Francs étaient à l'époque romaine l'un des nombreux peuples germaniques installés sur la rive droite du Rhin, à l'extérieur des frontières de l'Empire

multiples, on a des législations sont très varié, chaque droit a son propre concept, vocabulaire, technique de raisonnement. On a quand même pu les ressembler en famille. On retrouve plusieurs familles : - La première, c’est la famille romano-germanique ( France, Italie, Espagne, Allemagne, Benelux) qui est fondé sur le droit romain et dans laquelle la loi a une place prépondérante. - La seconde, la famille de la Common law qui est constitué par le droit anglais et les droits qu’il a pris pour

Europe au XXème siècle. La période de l’après communiste en Europe centrale et orientale en est une illustration parfaite. En effet, l’instauration de procédures démocratiques s’est heurtée, dans beaucoup d’anciens pays communistes, à l’absence de traditions et de forces politiques organisées. La démocratie a eu d’autant plus de difficultés à s’imposer qu’elle se trouvait en même temps contestée par des organisations ultranationalistes et par des leaders populistes dont le poids électoral est loin aujourd’hui

poème ? I. La tradition légendaire II. Le portrait d’une femme mythique I. La tradition légendaire A. Un conte - formule initiale: Il y avait - emploi de l’imparfait - personnages + désignation imprécise par articles indéfinis: un évêque - schéma narratif (élément perturbateur, péripéties) - chiffre 3 + sorcière - Multiplicité des énonciateurs , discours direct B. L’inspiration de la légende - éléments repris à Brentano + Heine - lieu = Bacharach = plonge dans amosphère germanique (sonorité + lieu

d’alliance politique bilingue en langue française primitive (« lingua romana ») et en vieux-haut allemand (« lingua teudisca »), prononcés à Strasbourg le 14 février 842 par deux des trois fils de l’empereur Louis le Pieux. Il s’agit de Louis dit « le Germanique », qui prêta serment dans la langue de son frère Charles en « lingua romana », puis, par Charles II dit « le Chauve », qui prêta serment dans la langue de son frère Louis en «lingua teudisca» ; ces serments furent prononcés contre leur frère