La Tradition Orale

Lecture  dirigée  de  Jacques  le  fataliste   Analyse  littéraire  orale  (12,5%)   Extraits  et  pistes  de  lecture   Extrait  A   1  étudiant-­‐e   De  :  «  Jacques  se  frotta  les  yeux  […]  »  (haut  de  la  p.  49)   À  :  «  […]  m’étais  fait  à  sa  langue.  »  (haut  de  la  p.  50)     Pistes  d’analyse   -­‐ Analysez  la

provient déjà d'une longue tradition orale. Cette tradition est attestée par la fleur narcisse qui a donné son nom au chasseur grec et dont le nom existe bien avant les récits du héros homonyme à l'époque alexandrine. Ovide place le mythe de Narcisse dans un cycle épique autour de la cité de Thèbes aux côtés d'Œdipe dont la figure manque chez l'auteur latin. Certains chercheurs pensent qu'il s'agit d'un choix délibéré d'Ovide qui, au lieu de reprendre les traditions orales thébaines sur Œdipe

les élaborateurs du principe de l’enseignement différencié, chaque moyens communicatif (la parole orale, l’audition, la parole écrite et la lecture) doit avoir son propre système d’enseignement. Mais on sait bien que c’est impossible et même ce n’est pas nécessaire d’enseigner à l’école chaque moyen communicatif à part. On les enseigne parallèlement. Si notre but est d’enseigner surtout la parole orale et la lecture, l’enseignement parallèle de ces deux moyens communicatifs sera profitable pour l’un

grecs ayant décidés de partir vivre en Sicile, à Marseille voir même en Espagne sont soupçonnés d’être influencés par les errances d’Ulysse. Cependant ils se retrouvent dans une culture qui leur est commune à tous. Il s’agit bien entendu de la tradition épique d’Homère. Ce qui leur permet de trouver une langue, un mode de vie, des valeurs ainsi que des croyances religieuses. Par la suite des fête religieuse panhelléniques sont crées (jeux olympique VII) b) L’époque d’Homère : Le temps d’Homère

pour l'accompagner. Arrivés à Bostra, ils s'arrêtent à un monastère où ils se font remarquer par un moine nommé Bahira. D'après Ibn Ishaq, un chroniqueur, le moine reconnaît en l'enfant le futur prophète grâce à différents signes consignés par la tradition ecclésiastique, dont le sceau de la prophétie qu'il portait dans son dos. Il recommande alors fortement à Abu Talib de rebrousser chemin et de garder son neveu des yeux des chrétiens et des juifs d'orient. L'oncle obtempère et renonce par la suite

la tradition, qui se met en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique des forces de la nature, des aspects de la condition humaine. » Il présente aussi les autres acceptions de l’expression, dont certaines révèlent la nuance péjorative : « image simplifié souvent illusoire […] au sujet d’un individu ou d’un fait ». Certaines définitions côtoient celle de la légende « Représentation de faits ou de personnages souvent réels amplifiés par l’imagination collective, une longue tradition littéraire

Le vampire est une créature légendaire. Il se nourrit du sang des vivants afin d’en tirer sa force vitale, à l'instar des goules. La légende du vampire puise ses origines dans des traditions mythologiques anciennes et diverses, et se retrouve dans toutes sortes de cultures à travers le monde. Le personnage du vampire fut popularisé en Europe au début du XVIIIéme  siècle, à partir des légendes balkaniques des broucolaques. Selon ces légendes, les vampires sont dépeints comme des revenants en linceul qui

Bordeaux (France), Djibril Tamsir Niane est titulaire d’une licence et d’un DES (Diplôme d’Etude Supérieur). Son mémoire portant sur la recherche sur l’Empire du Mali, il collecte auprès des griots, notamment Mamadou Kouyaté, les récits de la tradition orale. C’est à partir de ces recherches qu’il publie en 1960 Soundjata, ou l’épopée mandingue, son ouvrage le plus connu. Il a participé à l’écriture de l’Histoire générale de l’Afrique sous les auspices de l’Unesco avec Joseph Ki-Zerbo.

magiques. Le lecteur et les personnages acceptent le surnaturel sans doute ni peur. Les notions de Bien et de Mal y sont clairement déterminées et les « mauvais » sont toujours punis. Origines du merveilleux Le merveilleux est issu de la tradition orale. On peut considérer qu’il s’agit davantage d’une caractéristique propre à certains récits tels que le conte et la légende, qu’un genre littéraire à proprement parler. Dans l’Antiquité, il est présent à la fois dans les récits religieux et

semestre de l’année civile de l’examen Avril mai juin (précédant l’examen) Durée préconisée Environ 2 heures Forme de l’épreuve Support écrit Remise d’un dossier comprenant : « A partir d’une commande de produits comprenant des pains (tradition française et/ou courants français), un pain de campagne ou complet ou de seigle, des croissants et des pains au lait » Le candidat doit : Présenter une fiche technique des commandes (S2.1) 8 points Exprimer des connaissances sur les Matières