La Tradition Orale

EXPOSE DU ROMAN SOUS L’ORAGE ECRIT PAR SEYDOU BADIAN THEME :TRADITION,MARIAGE FORCE ;COLONISATION REALISE PAR LE GROUPE D’EXPOSE N°1 COMPOSE DE 1-ABBEY BOEMIGAN MELE ROANA 2-AGNON-BACOU YEMI DEBORAH 3-AGNINDOUH CEDRIC 4-AGUIAR ANNE NATHALIE 5-AMOUZOU SOSSOU MARINA 6-BADAKOU SIKA 7-DONKOH ERIKA 8-IDDI ABDOULAYE ABDOUL DJALIL 9-KAO KEZIE HERMANN 10-N’BOUKE JEAN-BRICE 11-PABALI PIRENAM PLAN DE LEXPOSE I-INTRODUCTION

1 En anthropologie 1.2 En économie 1.3 En gestion 1.4 En philosophie 2 Différents types de connaissance 2.1 Connaissances tacites et explicites 2.2 Connaissances exclusives et non-exclusives 3 La transmission de la connaissance 3.1 La transmission orale 3.2 L'écrit 3.3 L'école 4 Notes et références 5 Voir aussi La notion de connaissance La connaissance est, d'une part, l'état de celui qui connaît ou sait quelque chose, et d'autre part, les choses qui sont sues ou connues. Par extension, on appelle

l’exposition de contribution des philosophes, enfin, la récapitulation de notre démarche s’imposent. 3- En effet, le mythe nous apparait comme un récit, un héritage culturel qui forme et explique une pratique sociale. Caractérisé par une tradition orale, il offre une explication divine de la réalité, des faits et des événements incompréhensibles et hors contrôle des hommes. Ainsi, Pandore, la femme qui a débouché le vase que Zeus lui a confié va être tenue responsable de tous les malheurs et

également un héritage juridique (code théodosien et le brévier d’Alaric qui influence la loi salique). La conception du pouvoir merovingien est donc composée des traditions germaniques mais il comporte également une influence romaine et chrétienne (influence de l’Eglise)I/ Les rois merovingiens et la conception du pvr :A. Les traditions franques de patrimonialité et de liens personnels2 Prérogatives royales : pvr de ban et le mundium (pvr oral)Le pvr de ban : pvr de commandement du chef, pvr d’ordonner

curieux, qui ont pris la plume pour nous faire exister dans la | |littérature. Puis, de génération en génération, des auteurs d'ici ont peu à | |peu donné naissance à des créations, souvent de façon plus orale qu'écrite. | |Enfin, depuis une trentaine d'années, nous pouvons découvrir parallèlement | |deux vagues littéraires qui se mêlent : d'une part, une nouvelle génération | |d'auteurs, qui grâce

d'abord écrit en vers assonantiques au XIIe siècle avant de l'être en prose au début du XIIIe siècle, se définit aussi par sa destination à la lecture individuelle, à la différence du conte ou de l'épopée qui relèvent à l'origine de la transmission orale. Le ressort fondamental du roman est alors la curiosité du lecteur pour les personnages et pour les péripéties, à quoi s'ajoutera plus tard l'intérêt pour un art de peindre. Au fil des derniers siècles, le roman est devenu le genre littéraire dominant

ici l'usage a la coutume, certain parlent même de tradition. La coutume répond a du droit on a conscience de sa contrainte, de son obligation (exemple les droit de filiation et la transmission du droit patronymique, la femme marié prend le nom de son mari, c'est un usage et non une obligation). La coutume est très difficile a identifié car la coutume est une tradition orale, donc de père en fils de tribu en tribu ou de roi en roi. Si elle est orale elle comporte une part d'obscurité car aucuns écrits

responsabilités des uns et des autres Produit des organigrammes qui tiennent compte de la fonction de responsable sécurité Met en place un service interne d'audit Etc ???? ???? ???? Exploitation La culture de l'exploitation est essentiellement de tradition orale. La sécurité est essentiellement assurée par la conscience professionnelle des exploitants 5 / 31 Copyright Hervé Schauer Consultants 2000-2005 - Reproduction Interdite Deux populations En simplifiant, on identifie dans l'entreprise deux

fable quand elle n’est pas implicite, le lecteur devant la dégager lui-même. La fable puise ses racines dans la nuit des temps et se retrouve dans toutes les cultures. Elle a fait partie de la tradition orale bien avant l'invention de l'écriture. Elle est toujours active dans les pays où la culture orale demeure vivace et proche de la nature, comme c'est le cas notamment en Afrique ou dans les sociétés rurales. L'apologue est un discours narratif démonstratif et allégorique, à visée argumentative

était d'un usage très restreint, d'élite, limité à la couche dirigeante, essentiellement intellectuelle. D'autre part, l'usage de l'italien était presque complètement réservé à V écrit même parmi les classes dominantes, qui, pour l'interaction orale, utilisaient selon Ls situations ou une grande langue étrangère de culture (comme le français ou l'espagnol), ou le dialecte urbain du lieu de résidence. De MAURO estime qu'à l'époque de l'unité l'italien n'était pas parlé par plus de 2,5 % de la