La Tranchée

conditions de vie ainsi que les sentiments des soldats : *Les conditions de vie dans les tranchées étaient elle bonne ? Les conditions de vie dans les trancher étaientt très difficiles. Tout d’abord, les soldats ne pouvaient pas s’y reposer tranquillement à cause des bombardements. De plus ils ne mangeaient pas à leur faim. S’ajoute à cela les problèmes de salubrité (rats et boue omniprésente dans les tranchées). *Quelles étaient les sensations et les sentiments des soldats : Les sensations et les

la pluie quotidienne, l’humidité qui règne en permanence dans les tranchées, la boue qui colle aux chaussures (formant une gangue) et la fumée des bombardements qui recouvre tout comme une chape de plomb. L’Homme ne ressemble plus à un homme. L’Humanité touche le fond. Présentation Henry Les années 1915 et 1916 ont marqué, pour Henri Barbusse, des dates décisives. C’est en 1915 qu’il a vécu Le Feu dans les tranchées du Soissonnais, de l’Argonne et de l’Artois, comme soldat d’escouade

Guerre mondiale, Paul Baumer raconte comment le groupe qu'il conduit, formé de jeunes engagés volontaires, parmi lesquels il a retrouvé des amis d'enfance, survit depuis plusieurs mois déjà sur le front de l'Ouest. Les conditions de vie dans les tranchées sont rudes, les ennemis sont forts et la bataille est ardente. Mais le moral ne baisse pas car la solidarité entre soldats est toujours présente. La guerre devient de jour en jour plus meurtrière : les civils sont touchés puis des bâtiments s'écroulent

vos peurs, vos doutes et vos appréantions mais vous y êtes parvenu . Vous avez vécu et survis dans des conditions déplorables étant certaine fois privés de nourriture mais encore une fois vous avez continuer à combattre. Sur le front, dans les tranchées, les conditions de vie des soldats étaient éprouvantes. Entre les rats qui se multipliaient jour après jour et les poux qui obligaient les soldats à avoir le crâne rasé, la situation était rude. Vous viviez dans la boue et dans le sang. Vous avez

lance le gouvernement français en 1916. Chaque artiste qui y participe doit réaliser au moins une œuvre sur la guerre, pour constituer une collection qui représentera le conflit en cours. Vallotton se porte volontaire en juin 1917. Il visite les tranchées et les première ligne du front de l’ouest. A son retour à Paris, il travaille sur une série de 14 toiles qu’il nomme « Verdun », faisant référence à ce lieu symbolique de la première guerre mondiale où périrent plus de 600 000 soldats des deux camps

 La bataille de Verdun faisait rage , rien ne pouvait arrêter les français qui acharner, continuais à débarquer dans les tranchées adverse malgré les trous d'obus qui les empêchait de marcher droit . Le bruit des obus qui atterrissait à quelques mettre de lui ne le déstabilisa pas un seul instant . François n'était pourtant le plus courageux de tous les soldats comme lui répétait sans cesse le chef de son régiment "si tous les soldats était comme cette fillette de François vl a qu'on serais mal

LA VIE DANS LES TRANCHEES DURANT LA 1ére GUERRE MONDIAL Introduction : La première guerre mondial commença en Août 1914 et se termina le 11 Novembre 1918. Elle opposera la triple entente (France, Russie, Royaume-Uni) et la triple alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie). Il y aura 60 millions de soldats qui auront pris part à cette guerre, dont environ 9millions qui seront décédés et 20millions de blessées. Les tranchées : Ce sont des fossés permettant au combat la circulation et le tir

temps de guerre ? Oui, Les raisons sont la même 2) Quand les soldats ne livraient pas bataille, comment passaient-ils le temps ? D’après des passages du récit, décrivez une « journée typique » d’un soldat canadien dans les tranchées. Les Soldats attendent dans les tranchées pour les attaques des Allemandes. Ils peuvent nettoyés leurs vêtements et leur lit dans la tranche. Ils mangent la nourriture dégoutant et ils peuvent boire leur thé ou l’alcool. 3) Énumérez quelques-unes des préoccupations

(1914-1918) qui a compté plusieurs milliers de soldats morts pour la France. A l’origine, les conditions de vie de soldats dans les tranchées étaient épouvantables. Tout d’abord, pour les soldats combattant dans les tranchées, l’hygiène était inexistante. En effet les soldats étaient exposés au froid et à la pluie. Il n’y avait aucun moyen d’empêcher les tranchées de s’envahir de boue. Les soldats français également appelés « les poilus » étaient habillés avec un pantalon rouge, un képi rouge

La vie des poilus sur le front Introduction: Sur le front, dans les tranchées, les conditions de vie des soldats sont éprouvantes. Ils vivent dans la boue et dans le sang. Les combats sont meurtriers : près de 23 % des fantassins français y sont tués. Comment ces « poilus » , qui n'ont ni l'eau ni le temps pour se raser, ont-ils pu résister si longtemps à l'enfer du front ? I. La vie du poilu 1. Le poilu, nerf de la guerre • Près de 66 millions d'hommes (dont 8,5 millions en France) ont été