La Triade Domine L économie

l’économie mondiale *montrer que malgré l’émergence du sud , le nord reste dominants L’espace mondiale : centre d’impulsion et flux *les trois pôles dominants (triade) - Amérique du nord - Europe occidentale - japon *les principales places financières : - les bourses sont placés (Wall Street ;…) - les échanges des capitaux se font entre la triade - un bloc qui reste à l’écart (Australie) - la chine, l’Afrique du sud, Mexique, brésil (NNPI) - Arabie saoudite, russie riche en pétrole - flux de produits

ECONOMIE INTERNATIONALE Traite toutes les questions liées a l’ouverture des économies. Commerce, économie internationale (échanges réels (servies, biens, personnes)) Finance internationale (Flux financiers, taux de changes …) Pourquoi les pays commercent et se spécialisent dans certains biens (exportations et importations) ? Le libre échange sert il le développement économique ? Les importations venant des pays à bas salaires sont elles responsable du chômage en occident ? Et la

exorbitant » selon les termes de Barry Eichengreen. Le contexte actuel n’est toutefois pas celui qui prévalait à un temps que les moins de quarante ans ne peuvent pas connaître puisque les grandes puissances dites traditionnelles, les pôles de la Triade sont désormais concurrencées par des pays émergents ou ré-émergents, qu’il s’agisse des BRICK, des Dragons ou d’autres appellations plus ou moins pittoresques. Le relatif recul de la toute puissance économique des États-Unis, accentué par des difficultés

trente ans est exponentielle et leur pouvoir ne cesse de croitre influençant la plupart des décisions prises dans le monde. La stratégie de ces multinationales est planétaire. Au début des années 80, à leur début elles étaient surtout centrées sur la triade et quelques pays en voie de développement. Par la suite, elles ont commencées à investir dans les pays en voie de développement. On parle ici, d’IDE (investissements directs à l’étranger). À leur début, elles étaient axées sur l’industrie au fil

culturelles restent fortes : certains tentent de rassurer ceux qui craignent l'uniformisation culturelle en précisant que l'histoire des peuples n'est faite que d'emprunts réciproques. Les relations entre cultures, loin d’être à sens unique (« l’une domine l’autre») sont réciproques. Certains anthropologues parlent plutôt de « réinterprétation » pour montrer que l'acculturation n'a jamais lieu à sens unique. Le métissage culturel, à l'instar de la musique afro-cubaine ou aujourd'hui de la « world music

l’Etat). Face aux tensions mondiales, il y a résurgence de la légitimité des Etats. I] Un affaiblissement incontestable par rapport à l’internationalisation : A) Le développement d’un monde d’échanges a consacré l’ouverture des économies : En 1970, l’ensemble des importations et des exportations mondiales représentaient 11% du PIB mondial. Ajd, l’ensemble représente 25 % du PIB mondial. Du coup, la conjoncture économique d’un pays (croissance, monnaie, chômage …) dépend de + en

L'AFRIQUE UN CONTINENT EN MARGE ? L'Afrique, ce vaste continent de 26 millions de km2, semble aujourd'hui exclu du système-monde, dominé par la Triade. Il abrite la majorité des PMA, et cumule les difficultés économiques, démographiques, voire politiques. Pourtant, il s’agit aussi d’un continent disposant de ressources naturelles et d’un dynamisme démographique propres à relever le défi du développement. Alors qu'en est-il aujourd'hui de ce continent ? Comment peut-on expliquer cette marginalité

depuis toujours. La démocratie et l’Etat de droit ont été établis avec une rapidité exceptionnelle et leur respect a fait l’objet, depuis l’indépendance de ces pays, d’une politique volontaire et réussie. La réalité de la reconversion de leurs économies depuis 1991 est spectaculaire. Grâce à « l’antichambre démocratique » efficace qu’a représenté le Conseil de l’Europe, cette organisation de l’Europe du droit qui rassemble aujourd’hui 45 pays, ils ont mis en oeuvre, dès l’adoption de leurs nouvelles

voir si les recettes d’export couvrent les dépenses d’import. -Taux d’ouverture : [(X+M) /2/PIB] *100 => Mesure les degrés d’insertion d’une économie dans les échanges. * L’influence des échanges sur une économie dépend de son degré d’ouverture, de sa dépendance à des produits d’importation, et de l’importance de son marché intérieur : - Plus une économie est ouverte plus elle est sensible a l’évolution internationale - Plus la propension à exporter est élever plus sa croissance dépendra des

nation réduit le bien-être dans les autres. On assiste aussi au travers de la politique commerciale stratégique à une reformulation de l'argument de la protection des industries naissantes énoncé par F. List au XIXème siècle. F. Teulon, La Nouvelle Economie mondiale, 3e éd., coll. Major, PUF, 1997. Document 4 La libéralisation des échanges sous la conduite du GATT puis de l'OMC ne s'est pas traduite par une convergence entre chacun des acteurs de l'économie mondiale. L'intégration s'est en général