La Tristesse Du Roi

des caricatures dans lesquelles chacun se reconnaissait. Le public entrait dans le jeu et s'identifiait aux acteurs qui exprimaient la joie, la tristesse, l'amour de la vie et la peur de la mort. Le rayonnement de la commedia dell'arte influença toute l'Europe. En octobre 1658, la troupe s'installa à Paris sous le patronage de Monsieur, frère du roi. Le roi installa la troupe dans la salle du Petit-Bourbon. Les trois troupes permanentes à Paris et rivales de celle de Molière étaient la troupe du Marais

Luxembourg. Sujet: La Lionne vient de mourir, le roi son époux et toute la cour à l’exception du cerf pleure son décès. Un flatteur va dire au Roi qu’il a vu le cerf rire pendant l’enterrement. Le Roi convoque donc ce-dernier et veut le mettre à mort pour outrage. Le cerf, pour éviter une mort certaine, le flatte en lui tenant un discours habile et mensonger sur la Reine et sauve ainsi sa vie par cette ruse. C'est une critique de la cour et du Roi. L'auteur intervient uniquement pour décrire la

chose incompréhensible. Et c'est enfin le plus grand sujet de félicité de la condition des rois de ce qu'on essaie sans cesse à les divertir et à leur procurer toutes sortes de plaisirs. - Le roi est environné de gens qui ne pensent qu'à divertir le roi et à l'empêcher de penser à lui. Car il est malheureux, tout roi qu'il est, s'il y pense. A [...] B. Ainsi l'homme est si malheureux qu'il s'ennuierait même sans aucune cause d'ennui par l'état de sa complexion. Et il est si vain qu'étant de mille causes

n’est autre que la princesse égyptienne Amaside. Nous allons étudier un extrait de ce conte où la princesse demande l’aide d’un « beau serpent » pour qu’il lui conte l’histoire de trois prophètes qui voulaient être rois, afin que celle-ci apaise sa tristesse et « se forme le cœur et l’esprit ». En effet Amaside se lamente de ne pouvoir retrouver son amant Nabuchodonosor transformé en taureau blanc. Nous allons analyser dans une première partie, la façon dont le récit du « beau serpent » peut parvenir

Vendredi 5 novembre 2010 1ère S3 Commentaire Littéraire du DST N°1 de français Jean de la Fontaine est un auteur classique du XVII siècle, surtout connu pour ses fables. Grâce à ses apologues, il peut écrire librement tout en évitant la censure du roi Louis XIV. « Les obsèques de la lionne » est une fable abordant le thème de la satire sociale à trvaers des obsèques d’une lionne. Nous sommes donc amener à nous interroger par quels moyens la Fontaine arrive-t-il à faire une critique de la cour

tragédie d’Hamlet, œuvre de Shakespeare écrite en 1600. La pièce se déroule au royaume du Danemark. Son roi, père d’Hamlet, est mort et est remplacé par son frère Claudius, celui ci épouse sa veuve, Gertrude. Une nuit, le spectre du roi apparaît à Hamlet et l’informe que sa mort n’est nullement due à un accident mais que ce fut un meurtre orchestré par Claudius pour s’emparer du trône. Le spectre du roi défunt demande donc à son fils de le venger. Pour mener à bien son projet de violence Hamlet feindra

une danseuse voluptueuse, modèle d'une femme fatale. Par sa danse, elle hypnotise le roi et obtient ainsi une faveur. Elle semble tout d'abord être une femme cruelle car elle use de son charme pour venger sa mère. De plus, elle incarne la beauté et la féminité car elle se compare aux séraphins « je danserais mieux que les séraphins » se qui montre une grande assurance de sa part. Enfin, si elle danse devant le roi on peut supposer qu'il s'agit d'une très belle femme. Cependant, l'image forte qu'elle

concernant quatre textes. Le premier texte est un extrait de théâtre écrit par l'écrivain Alfred JARRY, en 1888. L'extrait choisi est l'acte III, scènes 3 et 4, tiré de la pièce de théâtre Ubu Roi. À travers cette extrait, nous avons le Père Ubu, un amoureux de l'argent, couronné roi, après avoir tué le roi Venceslas, qui a décidé de faire régner la terreur, en doublant les impôts. Dans la scène IV, le Père Ubu, vient réclamer sa fortune à des paysans qui n'ont plus d'argent pour payer le reste des

Comment te faire ressentir a quel point ma tristesse est grande ? Comment te faire souffrir autant que je souffre ? Comment te faire payer… Cette chose me parait impossible, je suis seul face à tous, face à un homme aux pouvoirs illimités, face à un fou. Suis-je le seul à penser du mal de toi ? Il est l’empereur le plus cruel qu’on a jamais vu depuis le début de l’empire romain, lui qui était si bon avant. Ces 3 jours l’ont totalement changés, ce roi élogieux autrefois s’est transformé en un être

met en scène le conquérant Alexandre Le Grand, roi de Macédoine face à l’imminence de sa mort. En effet, terrassé par la fièvre, il s’adresse à la Mort au court d’un long monologue. Une question se pose alors : de quelles manières le personnage se confie-t-il à la Mort ? Nous nous attacherons tout d’abord à la dimension tragique et épique de la mort d’Alexandre Le Grand puis nous verrons qu’il dresse le bilan de sa vie entre rêve et profonde tristesse. Alexandre sait qu’il va mourir, il se montre