La Tromperie Dans La Fable

Gringoire. 1.6- LA FABLE Une fable est un court récit en vers ou occasionnellement en prose qui vise à donner de façon plaisante une leçon de vie. Elle se caractérise souvent par la mise en scène d’animaux qui parlent mais peut également mettre en scène d’autres entités ou des êtres humains. Une morale est généralement exprimée à la fin ou au début de la fable quand elle n’est pas implicite, le lecteur devant la dégager lui-même. Pour Phèdre, le fabuliste latin, « Le mérite de la fable est double :

L’autobiographie L’ArgumentAtion p. 38 p. 44 p. 50 p. 54 p. 59 chapitre 11 – Démontrer, convaincre et persuader chapitre 12 – Le genre épidictique : l'éloge et le blâme chapitre 13 – L’argumentation indirecte : le conte philosophique et la fable Production et récePtion des textes p. 60 p. 66 p. 72 p. 77 chapitre 14 – L’écrivain au travail chapitre 15 – Les différents procédés de réécriture Le guide PrAtique p. 78 p. 84 p. 91 les mouvements littéraires L’essentieL du cours

vidame : titre de noblesse. 3. galanterie : pris ici dans le sens péjoratif de « jeu de séduction », de « liaison amoureuse illicite ». Devoir 4 – FR10-13 43 apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques4 où plongent les engagements5, et elle lui faisait voir, d’un autre côté, quelle tranquillité suivait la vie d’une honnête femme, et combien la vertu donnait d’éclat et d’élévation à une personne qui

vidame : titre de noblesse. 3. galanterie : pris ici dans le sens péjoratif de « jeu de séduction », de « liaison amoureuse illicite ». Devoir 4 – FR10-13 43 apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques4 où plongent les engagements5, et elle lui faisait voir, d’un autre côté, quelle tranquillité suivait la vie d’une honnête femme, et combien la vertu donnait d’éclat et d’élévation à une personne qui

Pistes de réflexion : - Commentez p. 245 «Choelcher avait employé les mots « femme » et « assassinée » au lieu de «parumaine » et « réformée ». Et bizarrement, il ne trouvait rien à y redire.» - Que pensez-vous de l�expression «petit maître en tromperie» à propos d�Arouet p. 248 ? Chapitre 29 pp. 252 à 258 Pour vous aider : p. 254 abattus sans sommation Tirer sur quelqu�un pour le tuer sans même qu�on le prévienne, sans lui demander d�arrêter sa fuite par exemple. p. 257 manquement

« d’abus » signifie : « usage mauvais, injuste ou excessif qu’on fait d’une chose ou d’un droit ». Ses synonymes se rangent dans trois catégories : - excès, démesure, exagération, outrance ; - injustice, inégalité, arbitraire, persécution ; - tromperie, escroquerie, arnaque. Le mot « abus » contient la nuance de l’intention, l’abus serait donc intentionnel tandis que le dérapage serait plutôt perçu comme une action non intentionnelle, comme une conséquence mécanique de la force centrifuge qui

Pistes de réflexion : - Commentez p. 245 «Choelcher avait employé les mots « femme » et « assassinée » au lieu de «parumaine » et « réformée ». Et bizarrement, il ne trouvait rien à y redire.» - Que pensez-vous de l’expression «petit maître en tromperie» à propos d’Arouet p. 248 ? Chapitre 29 pp. 252 à 258 Pour vous aider : p. 254 abattus sans sommation p. 257 manquement à l’étiquette Tirer sur quelqu’un pour le tuer sans même qu’on le prévienne, sans lui demander d’arrêter sa fuite par exemple

« Mais ce lien du sang qui nous joignait tous les deux » Il y a un obstacle « mais », elle est la nièce de Claude. Il y en a deux en fait : moral et légal, celui-ci est vite écarté « le sénat fut séduit ». « Séduire » veut dire détourner, par tromperie souvent. « Mit Claude dans mon lit, et Rome à mes genoux. » Le premier hémistiche est concret : le mariage et le deuxième est abstrait : Claude n’ a été qu’ un instrument. C’ est un premier bilan. « C’ était beaucoup pour moi, ce n’ était

quitter l’arène où ils se complaisent ! C’est plus que le nom qui les inspire, une supposée bourgeoise de votre ville d’origine, qu’ils détestent, synonyme pour eux d’une aristocratie, d’une classe honnie ! Peut-être une réminiscence de l’agneau de la fable dont ils veulent bien être, les loups ! Ou simplement parce qu’une idée, parmi tout le fatras de huit pages, (qui vous aura couté votre temps et vos yeux), détachées de son contexte, est discutable et qu’elle les aurait exaspérés ! Mal émise ou

« Mais ce lien du sang qui nous joignait tous les deux » Il y a un obstacle « mais », elle est la nièce de Claude. Il y en a deux en fait : moral et légal, celui-ci est vite écarté « le sénat fut séduit ». « Séduire » veut dire détourner, par tromperie souvent. « Mit Claude dans mon lit, et Rome à mes genoux. » Le premier hémistiche est concret : le mariage et le deuxième est abstrait : Claude n’ a été qu’ un instrument. C’ est un premier bilan. « C’ était beaucoup pour moi, ce n’ était rien