La Valette

scène 1 Bérénice S4 : Un dénouement tragique : Phèdre Le comique Les ressorts et formes du comique Texte support : Tartuffe Acte I scène 4 L’Avare, Molière Acte 1, scène 3, 1668 Harpagon, vieil avare, soupçonne son valet la Flèche de vol. HARPAGON .- Attends, ne m’emportes-tu rien ? LA FLECHE .- Que vous emporterais-je ? HARPAGON. - Viens çà, que je voie. Montre-moi tes mains. LA FLECHE. - Les voilà. HARPAGON. - Les autres. LA FLECHE. – Les autres ? HARPAGON

tous les familiers du Louvre, en particulier Mancini et le Maréchal d’Albret, Ménage et Sarasin. Écrivain de théâtre, il publie des comédies, le plus souvent imitées de modèles espagnols, Tirso de Molina ou Francisco de Rojas : Jodelet ou le Maître valet (1645), Don Japhet d'Arménie (1653), L'Écolier de Salamanque (1654), Le Marquis ridicule ou la comtesse faite à la hâte (1655), La Fausse Apparence (1657), Le Prince corsaire (1658). Dans le même temps, il rédige le Roman comique : La première partie

vie contre la liberté : conscience qui ne vit pas pour elle-même (qui n’est pas autonome puisque, d’après la première expérience, être autonome c’est dominer l’autre). La première conscience est celle du maître, la seconde, celle de l’esclave ou du valet. Cette opposition va redistribuer la différence initiale entre la conscience et la chose. Conscience du maître = conscience face à une conscience qui a la valeur d’une chose, d’un être (de quelque chose d’immédiat : vie naturelle, quelque chose qui

qui finit par le rendre paralysé des jambes. Il commence donc à écrire ses premières œuvres à partir de 1643. Scarron représente le genre burlesque dans la comédie du XVIIème siècle. Tout en écrivant ses meilleures comédies (Jodelet ou le Maître valet, 1645, L'Héritier Ridicule, 1650, et Don Japhet d'Arménie, 1653), Scarron rédige également un roman, Le Roman comique, écrit dans un style satirique, direct et simple, à l'opposé des romans sentimentaux et littéraires qui étaient à la mode. Il est

Chapter 1 Sets scene, the Cobb, in Lyme Bay, with the three main characters, Charles Smithson, Ernestine, his fiancee and Sarah Woodruff. Note satirical tone, Fowles as observer, almost a voyeur, patronising in tone. Chapter 2 Light, brittle tone between lovers, flirtatious and typically Victorian (what is typically Victorian?). Ernestine's revulsion at Sarah because of her reputation as a "fallen woman" is not untypical, nor insincere. Tragedy is apparent in SW ; note her appearance contrasted

EBAUCHES DE PLANS DU CHAPITRE 4 : INTEGRATION ET SOLIDARITES LA COHESION SOCIALE ET LES INSTANCES D’INTEGRATION GENERALITES 1. Comment peut-on expliquer l'exclusion sociale aujourd'hui ? Quels sont les facteurs économiques et sociaux du processus qui conduisent à la rupture des liens qui unissent une personne ou un groupe aux autres membres de la société ? I Le développement du travail atypique est un II l’exclusion s’explique aussi par … facteur important d’exclusion A ⇒↑du chômage, de la précarité

6La relation maître-valet dans la trilogieLe théâtre européen est traversé, depuis l' Antiquité , par la thématique du maître et du serviteur. Ce rapport entre le puissant et le faible reflète la réalité historique de la domesticité dont la figure centrale est le valet. D'après le Littré, le valet se définit comme "celui qui est au service d'une personne" ; le maître, quant à lui, est "la personne qui commande, soit de droit, soit de fait". La relation maître-valet est donc une relation de pouvoir

• Les appellations mutuelles : « Sganarelle » / « mon maître » ; « Monsieur ». • Sganarelle a peu de vocabulaire : il réutilise les mêmes mots alors que Don Juan fait des périphrases. • Relation de domination/peur : changement de propos à l’arrivée du maître + mise en scène de Mesguich. Sganarelle est le contraire maladroit et naïf de Don Juan. Il défend généralement une vision du monde conservatrice et traditionnelle, où la religion tient la place centrale. En voici quelques idées essentielles

, Euphrosine / Cléanthis et Pozzo / Lucky. La relation maître-valet est une convention du théâtre de comédie, le valet est un personnage indispensable (idée d'infériorité sociale). Tandis que dans la tragédie, les valets sont appelés des confidents. On cherchera alors à comprendre les relations très spéciales qu’entretiennent les maîtres et leurs valets dans ces trois extraits étudiés. En premier lieu on remarque que les valets ne quittent pas leurs maîtres quelque soit les circonstances et

représenté pour les premières fois à Milan et Venise au cours de la saison 1745-1746. Première représentation le 25 mars 1745. Chaque pays pouvait décider de l’année, et l’Italie est une succesion de cité-états : on divague sur le choix de l’année. Le valet de deux maîtres, soit le titre choisi par Goldoni. Pourquoi Arlequin ? Lors de la traduction, les francais ont gardé Arlequin. C’est un texte plurilingue, Sméraldine et le docteur s’expriment en italien, Pantalone parle en vénitien, les serviteurs