La Valeur Chez Smith Et Ricardo

et le global. On peut caractériser cette phase par le mot interdépendance. Interdépendance entre les états et les firmes. Mais aussi une interdépendance entre les économies. Les états doivent tenir compte que ce qui se passe chez eux va dépendre de ce qui se passe chez les autres. Cette phase de transition va ébranler la configuration internationale. Configuration globale Se manifeste à partir des années 80. Le terme multinational disparaît. Une économie globale semble apparaître

scientifiques” . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.3 L’´ conomie est-elle une science ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 5 5 8 9 I 2 La pens´ e economique jusqu’en 1870 e ´ La pens´ e economique avant Adam Smith e ´ ˆ 2.1 De l’Antiquit´ au Moyen-Age : r´ flexion essentiellement morale e e 2.1.1 La Gr` ce Antique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e A. Platon (428-348) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Aristote (384-322) . . . . . . . . . . .

la fin des années 1990 environ un quart du produit intérieur brut mondial (UNCTAD, 2000). Les seules ventes à l’étranger des filiales de ces firmes multinationales (c’est-à-dire les ventes sur place de leurs filiales) représentent le double de la valeur du commerce mondial de biens et services. La production à l’étranger de ces filiales représente la moitié du commerce mondial. Le poids de ces filiales dans la production mondiale a doublé entre le début des années 1980 et la fin des années 1990.

l’enrichir. Le mercantilisme  Il faut enrichir les nations et les Etats. Objectif : avoir le plus d’or possible (et plus généralement des métaux précieux). Pourquoi des métaux précieux ? * Ils se conservent et se stockent facilement sans perdre de valeur. Comment réussir ces objectifs ? Il y a trois sortes de mercantilisme plus l’augmentation de la population (main d’œuvre et puissance militaire). Le mercantilisme espagnol : Ortiz, en 1558, découverte de nouveaux mondes et donc rapatriement des

ne puisse pas les confondre. Le Parthénon d'Athènes est un temple classique, le Panthéon de Paris est de style " néoclassique ", parce que ses colonnes évoquent la Grèce antique mais pas au point qu'on puisse s'y tromper. De la même façon, Smith, Say ou Ricardo sont des auteurs économiques qu'on appelle " classiques " et Alfred Marshall, le héros de la période que nous allons envisager, caractérise une tendance dite " néoclassique ". Une présentation d'ensemble Voyons d'abord les grandes lignes

 LES ECHANGES Il ne s’est jamais vu d’animaux disposés à échanger leur proie disait A. Smith. Echanger, c’est-à-dire se rendre mutuellement service ou acquérir un bien contre un autre implique en effet une opération réfléchie et concertée. L’échange par nature s’oppose à la violence, mais aussi au don (la sympathie peut accompagner l’échange, mais le vrai fondement de l’échange est la recherche de l’intérêt mutuel.) I ] QU’EST-CE QUE L’ECHANGE ? A – UNE NOTION LARGE 1)

(ressources) domestiques. Plus tard, la pensée de Xénophon est reprise par Aristote. A la renaissance : 1ère réelle pensée éco avec : * Naissance de minis états (états féodaux) dirigés par des seigneurs * Apparition de la pensée éco par Adam Smith en 1776 avec son ouvrage Etude de la nature et les causes de la richesse des Nations. Au 19ème siècle, l’économie devient la science de richesses des nations. Elle est basée sur les échanges marchands. Mais elle devient peu à peu la science des

à la fin du Moyen-Âge Chez les Romains, on trouve essentiellement des éléments de gestion agricole. Après ce morcellement de cet Empire, on assiste à une régression de la civilisation urbaine et de la culture écrite. On va assister à l'émergence de la féodalité et c'est l'Église qui va maintenir la tradition de l'écriture et qui va monopoliser l'espace culturel. L'insertion de l'Église dans le société féodale est facilitée par l'œuvre de SaintAugustin (354 – 430). On a chez lui le rejet de l'organisation

structures de commercialisation. Cette transformation productive est d’abord l’investissement direct étranger, et qui tiens compte de la segmentation de la production. A partir de cela nous avons une nouvelle DIT (division international du travail) de Ricardo. Cette transformation productive au niveau mondial devient un commerce global. L’acteur principal est les firmes internationales. Nous passons donc d’un commerce international à un commerce intra-firme. Aujourd’hui ce commerce extérieur est utilisé

Théorie du commerce international : Adam Smith, Ricardo : Théorie des avantages comparatif : le pays qui a le plus de talent pour un produit le vend à l’autre pays qui a moins de talent et vice-versa. Même si le pays n’a pas de talent c’est plus avantageux pour lui d’acheter chez un pays qui a du talent. La spécialisation est donc profitable pour tous, mais cette théorie est moins vraie aujourd’hui qu’auparavant dû à l’assimilation rapide des technologies chez chaque pays CI et la paix : I-Le désordre