La Vanité Tableau

toutes ce qui pourrait constituer un uniforme : les mêmes vêtements bleus, ainsi que les mêmes bottines noires. Leurs visages, aux contours imprécis, ne permettent pas non plus de les différencier. Cette confusion des traits est présente dans tout le tableau : les formes ne se distinguent que par leurs couleurs, disposées comme dans une mosaïque en touches distinctes sur un fond blanc lumineux. Cet isolement des couleurs donne une impression d'indécision ; les figures s'empiètent et il est impossible

qui ferait aux hommes le don de la vie. Quel cadeau !
3° IA : Familiarité d'ailleurs du tutoiement, étonnant pour l'époque. II° PARTIE Voltaire nous donne dans cette "prière" une représentation de l'homme très pessimiste. 1° § Il brosse un tableau de la misère de la condition humaine.
1° IA : Disproportion entre la grandeur divine et la faiblesse des "créatures" "perdue dans l'immensité" (l. 2) ; le terme "disproportionnés" figure à la ligne 9.
 Voltaire reprend ici le thème des deux infinis

qui ferait aux hommes le don de la vie. Quel cadeau ! 3° IA : Familiarité d'ailleurs du tutoiement, étonnant pour l'époque. II° PARTIE Voltaire nous donne dans cette "prière" une représentation de l'homme très pessimiste. 1° § Il brosse un tableau de la misère de la condition humaine. 1° IA : Disproportion entre la grandeur divine et la faiblesse des "créatures" "perdue dans l'immensité" (l. 2) ; le terme "disproportionnés" figure à la ligne 9. Voltaire reprend ici le thème des deux infinis

Vénus (au milieu en haut du tableau) les lignes principales du tableau se rejoignent. De même, on observe un premier plan avec les personnages, puis un deuxième plan, le décor. En effet, la Renaissance artistique est un mouvement à la recherche du réalisme. Grâce au point de fuite et aux divers plans, les artistes de la Renaissance peuvent créer une impression de profondeur et ainsi poursuivre une quête du réalisme. Ensuite, Sandro Botticelli peint les personnages de ce tableau en faisant en sorte que

derrière chaque tableau et rend ainsi les images transparentes, les transforme en textes. La toile rappelle certes ses sources textuelles, et en cela, il est légitime de la considérer comme une lecture, une recomposition d'un sujet connu. Aussi n'est-il guère étonnant qu'encore à la fin du XIXe siècle, des écrivains se focalisent sur son aspect de variation rhétorique sur un modèle, mais cela révèle également la participation des oeuvres picturales au réseau de l'intertextualité. Si un tableau peut être

7 - Contraste comique, optimisme exagéré: “sort inhumain”/”Empereur Romain” à dérision du malheur - “Empereur Romain” : puissance de l’imagination pr forger des chimères è Tableau réaliste et description de bonheur impossible: dichotomie, alternance de l’humeur (“autre..premier”, “l’un…l’autre”) B. Ennui/Vanité Baroque - Chute: “fumée”/”vent” associé à “tabac”/”espérance”: L’espérance, notion abstraite, est ds réseau métaphorique que débute “pipe” - Comparaison à “Tabac” et “cendre”:

Yeux, qui versez en l'ame, ainsi que deux Planettes XXIV — Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle l’inspiration antique la fuite du temps (carpe diem) Lecture cursive, le genre du blason Lecture cursive, construction d’un tableau de confrontation, rédaction d’une réponse à une question d’observation XX Lecture analytique la fuite du temps (carpe diem) le poète et l’immortalité lecture analytique XVI Au milieu de la guerre XXX — Le soir qu'Amour vous fist en la salle

Intérieur d'église 1623 Hendrick Van Steinwick le jeune Huile sur toile H. 1,13 ; L. 1,75 m Musée eucharistique du Hiéron – Paray-le-Monial Né vers 1580 à Francfort ou Amsterdam, jeune meurt à Londres en 1649. Hendrick Van Steinwick le Dans le tableau Intérieur d'église, la lumière guide entièrement le regard, du maître autel éclairé par des cierges à gauche de la scène représentée, aux flambeaux de procession présents tout au fond de l'église. Le contour incisé par un trait de lumière qui souligne

siècle) « Narcisse » de Léonard de Vinci et une caricature du XIXe siècle, Le Narcisse (mondain) d’Honoré Daumier. Si la figure centrale est identique, la visée de ces documents est différente. Ovide raconte un épisode mythologique qu’illustre le tableau de Vinci. Rousseau et Daumier parodient le mythe de Narcisse alors que les essais traitent de la notion de narcissisme. 2 c. Présentation détaillée de chaque œuvre 1. le récit mythologique d’Ovide et le Narcisse de Vinci. Cette histoire

- Contraste comique, optimisme exagéré: “sort inhumain”/”Empereur Romain” à dérision du malheur - “Empereur Romain” : puissance de l’imagination pour forger des chimères è Tableau réaliste et description de bonheur impossible: dichotomie, alternance de l’humeur (“autre..premier”, “l’un…l’autre”) B. Ennui/Vanité Baroque - Chute: “fumée”/”vent” associé à “tabac”/”espérance”: L’espérance, notion abstraite, est dans réseau métaphorique que débute “pipe” - Comparaison à “Tabac” et “cendre”: