La Vanité Tableau

dans le miroir, la réalité réapparait et accentue la description de l’agonie : « elle demanda son miroir, et elle resta penchée dessus quelque temps jusqu'au moment où de grosses larmes lui découlèrent des yeux.  » La description est faite comme un tableau, tout s’immobilise, tout semble posé et Flaubert laisse apparaître par là des traces d’humour noire : « A mesure que le râle devenait plus fort, l'ecclésiastique précipitait ses oraisons : elles se mêlaient aux sanglots étouffés de Bovary  » En contraste

force de vie qui l'animait v.11. Elle a perdu les plaisirs de la vie et surtout la célébration d'une cour d’admirateurs. A la place elle fait l'admiration d'une servante (v. v.5 v. 8) Conclusion partielle : c'est une représentation appelée une vanité. La jeune femme attend la mort et a quitté les plaisirs de la vie mais la leçon n'est pas un appel à la conversion. II. Une déclaration d'amour particulière A) La stratégie argumentative du sonnet Procédés : l'aveu respectueux de l'amour de Ronsard (

semble double.   Troisième journée Clamence continue sa confession. Ce rire sur le pont lui a ouvert les yeux sur sa vanité. Cette prise de conscience de son orgueil a été confirmée une autre fois, lorsqu’il s’en est pris violemment à un automobiliste. Il s’est rendu compte par la même occasion que ses relations avec les femmes étaient elles aussi régies par cette vanité. Puis cette remise en cause lui a permis de se rappeler que deux ou trois ans auparavant, il avait vu, un soir, une jeune

Le tableau étudié est Les Ambassadeurs qui est un portrait de groupe peint par Hans Holbein le Jeune. Hans Holbein le Jeune est un peintre et graveur allemand, né à Augsbourg en 1497 et décédé à Londres de la peste le 29 novembre 1543. Hans Holbein à également crée d'autres oeuvres telles que le portrait de sir Richard Southwell ou encore la Vierge et l'Enfant avec la famille du Bourgmestre Meyer. Le tableau a été peint en 1533 vers la fin de la vie du peintre décédé 10 ans plus tard. Ce tableau

œuvres, elle refuse cependant, mais de manière toute à fait factice, de laisser le pianiste protégé de jouer les pièces pour piano de Wagner ou de Vinteuil, de peur d’être victime de malaises. Ce personnage artificiel n’est que la représentation de la vanité de toute une classe sociale et d’une société en général. Personnages secondaires : * Comte de Forcheville * Mr Verdurin * Le docteur Cotard et sa femme * Palamède de Charlus * Vinteuil : même s’il n’est pas présent dans le récit

Henry. Ces théories sur la jeunesse ne laissent pas Dorian indifférents. Dorian commence alors à éprouver de la jalousie pour le portrait qui, contrairement à lui, restera toujours tel qu'au moment où il a été peint. Dorian souhaite alors que le tableau vieillisse à sa place, allant jusqu’à lui donner son âme pour qu'il garde toujours sa beauté. Dorian tombe quelques temps plus tard amoureux de Sybil Vane, une jeune comédienne. Son jeu fascine le jeune homme, et il lui promet le mariage. Mais l’amour

accompagné la moquerie et la morale ---> le fait qu’on doit éviter la vanité, se comporter en homme sage, qui ne se laisse pas duper ou séduire. Car les sots qui se laissent berner deviennent un jour ou l’autre la risée publique et alors il est trop tard. Cette morale s’adresse non seulement aux courtisans (dénonçant leurs actions et leurs faussetés) mais aussi aux courtisés ( qui se laissent flatter pour combler leur vanité(orgueil). En effet la position initiale du corbeau, bien en vue sur un

Conseils de lecture préparatoire à l’étude des œuvres et du thème La Justice. C. Malbranque 1- Les Raisins de la colère, J. Steinbeck.  Résumez chapitre par chapitre, allez à l’essentiel et en fin de lecture, faites une fiche/tableau récapitulative. Vous noterez la construction particulière qui fait alterner le récit (l’épopée particulière des Joad) et une généralisation, un universel de la condition d’hommes devenus main d’œuvre, face à la toute-puissance des propriétaires et des banques.

temps qui passe et faire de l’objet observé le miroir de cette femme destinée, comme tout être, à mourir. Ainsi, le propos semble le même : la femme aimée doit voir sa propre image future dans la décomposition de la nature : c’est le principe de la Vanité (le spectacle du monde n’est montré que pour mieux faire apparaître le néant à l’œuvre, la mort qui vient inévitablement (cf. portrait de Mme de Restaud dans Gobseck). > On peut diviser le texte en différentes parties : - v.1- 4 : adresse à la femme

qui marquent les limites de la raison ainsi que « se perde ». La première démonstration conduit au questionnement exprimé dans les lignes 11 à 14. 2. Dans la deuxième démonstration  Un raisonnement d’une implacable progression démontre la vanité de l’homme et met en déroute toutes les capacités de la raison dans ses efforts de compréhension de l’univers . En emportant le lecteur dans un mouvement vertigineux il le désoriente et le force à s’interroger sur sa condition. II – Un mouvement