La Vanité Un Défaut

l’Émile et reproduite à la question 20. 2. Dans la fable 2, définissez les traits de caractère dominants du Corbeau puis du Renard. Le trait de caractère essentiel du Corbeau est indiscutablement la vanité ; il se plait à faire l’important et à entendre des compliments. Conséquence de ce premier défaut, il se montre naïf jusqu’à la sottise : il faut être dépourvu de bon sens pour ne pas deviner ce qu’il va arriver à son fromage dès que le bec sera ouvert. Face à lui, le Renard affiche les traits que

point de vue. La cour du lion, dans cette fable, représente en réalité la cour de Versailles. 3)Une critique des défauts de l’être humain au travers des animaux qu'il met en scène -Une mise en scène théâtrale qui montre l'ironie de l'auteur et qui dénonce les faiblesses de l’être humain -Ces faiblesses s'apparentent à des défauts comme par exemple la naïveté, la vanité, la vantardise, la fainéantise et surtout l’orgueil. Il veut ainsi montrer que les être humain sont loin d’être parfait

agissements de ses contemporains avides de toujours plus de pouvoir et d’argent mais aussi le monde du paraître auquel ils s’abandonnent afin de parvenir à leur fins. Cependant il sous-entend que La Bruyère ne fait pas que constater ces défauts mais qu’il les condamne. Cela se voit notamment à travers le titre de son livre : La Bruyère ou le style cruel. Ainsi, comment La Bruyère dépeint-il les rouages d’une société remplie d’acteurs hypocrites ? I- Une observation minutieuse

un désir d’orgueil et de vanité. En réalité si l’homme reste si proche si proche du diable c’est qu’il espère ainsi parvenir à la gloire. Il est mu par l’orgueil « la sottise, l’erreur le péché la lésine » (baudelaire) et ne fait que se repentir lâchement lorsqu’il s’aperçoit de son échec. Mais son rapprochement avec le diable vient de la volonté de ne pas se soumettre à Dieu. La volonté en réalité d’atteindre une gloire qui lui permettra d’être son semblable. La vanité de l’homme fait qu’il souhaite

joie parce-qu'elle est folle" la Comtesse voit en lui l'élément indispensable pour rappeler le Comte à l'ordre "... lui seul peut nous [...] aider... il a tant d'assurance." ( II,1) En revanche, le regard des personnages masculins ne voit que ses défauts. Pour Bartholo, Figaro est un personnage de la parole débridée, " Un bavard enragé" et " le plus fier insolent" (I,3).        Le Comte considère son valet comme un menteur (II,20), toujours intéressé par l'argent et sournois "Cent fois je t'ai

reprend alors le projet de césar avant sa mort c'est à dire une grande expédition contre les parthes. Pour cela il convoque les souverains des royaumes client de Tarse en Cicilie y compris la reine d'Egypte. Celle-ci connait au moins un des défauts de l'officier sa vanité et son amour du faste, aussi arrive t-elle dans un navire à la poupe dorée et aux voiles pourpre, siégeant sous un dais dor entourée d'un équipage déguisé en nymphes, Néreides et Amours. Puis elle invite Marc-Antoine à son bord pour un

blâmant tout écrit, Croit qu'en lui l'ignorance est un titre d'esprit : Que c'est des gens de cour le plus beau privilège, Et renvoie un savant dans le fond d'un collège. Un bigot orgueilleux, qui, dans sa vanité, Croit duper jusqu'à Dieu par son zèle affecté, Couvrant tous ses défauts d'une sainte apparence, Damne tous les humains, de sa pleine puissance. Un libertin d'ailleurs, qui, sans âme et sans foi, Se fait de son plaisir une suprême loi, Tient que ces vieux propos de démons et de

l'envie et la vanité sont leurs principales caractéristiques: tels d'infects parasites, elles s'insinuent dans l'esprit de leur soeur afin de profiter de ses richesses et lui ôter tout bonheur. Chez La Fontaine Les deux soeurs tiennent plus de place, mais toutes deux représentent, avec seulement des nuances, l'envie. Elles étaient sensibles, bienveillantes. Dès qu'elles voient le bonheur de Psyché, l'envie s'empare de leur coeur et avec l'envie voici tout un cortège de défauts: la dissimulation

Un regard éloigné : Montesquieu, Les Lettres persanesExemple de sujet de dissertation D’après votre lecture des Lettres persanes et des autres textes du parcours, en quoi la mise en jeu d’un regard éloigné permet-elle le retour sur soi ? Proposition d’introduction Au XVIIIème siècle, Rousseau, dans le Discours sur l’origine de l’inégalité, s’interroge sur les sociétés qu’il appelle « sauvages » :

le Prince, inquiet de l'évolution de la situation, Trivelin, qui est obligé de faire un compte rendu négatif de son intervention auprès de Silvia et Flaminia, qui se fait fort de séparer Silvia d'Arlequin en jouant sur sa vanité (« elle a un coeur et par conséquent de la vanité »). On apprend au cours de cette scène que Silvia, qui a offert à boire au Prince, ne connaît pas son identité. Dans la scène 3, Flaminia charge Lisette de séduire Arlequin et de le séparer de Silvia. La scène 4 fait apparaître