La Vanité Un Défaut

révèle sa conception de l’homme et du monde, marquée par l’absurdité que les événements de la première moitié du xxe siècle ont concrètement soulignée dans la réalité. 1. La vanité de tout enseignement et de la logique ? Par cette parodie de leçon, Ionesco tourne en dérision toute tentative d’enseignement et montre la vanité de tout apprentissage, immanquablement voué à l’échec. Même la logique, pourtant considérée comme un gage de certitude rassurant, devient absurde. Pour en montrer l’inanité

reprises3 vient insister sur la source des richesses : la vanité des sujets. On remarque la construction en chiasme : « Il n’a point de mines d’or ; plus inépuisable que les mines ». La figure de style vient renforcer le sens de « inépuisable », ce qui renchérit sur le sarcasme. D’autre part, on remarque une opposition entre le terme « richesses » employé au pluriel et le terme « vanité » employé au singulier, ce qui souligne l’étendue de ce défaut. De plus, la tournure exceptive4 : « n’ayant d’autres

le fait qu’elle ne peut pas concevoir les choses que le coeur permet de sentir: “Le coeur a ses raisons, que la raison ne connait pas”). Scéance 2 Etude de la liasse II “Vanité” I- Observations générales: 1- Présentation des différents fragments: Une laisse ( 15 pages 38 frag dansla liasse “ Vanité” (( Longueurs diff: - Fragments trés courts: s’expliquepar le fait que P se contentait la plupart du tps à jeter qqles notes pour lui même sur un papier, sans penser à être

beau nœud, Vous montrer un sonnet que j' ai fait depuis peu, Et savoir s' il est bon qu' au public je l'expose10. Alceste Monsieur, je suis mal propre11 à décider la chose ; Veuillez m'en dispenser. Oronte Pourquoi ? Alceste J'ai le défaut 300 D'être un peu plus sincère en cela qu'il ne faut. Oronte C'est ce que je demande, et j'aurais lieu de plainte, Si, m'exposant à vous pour me parler sans feinte12, Vous alliez me trahir, et me déguiser rien13. Alceste Puisqu' il vous

vicissitudes de la vie ou corriger les défauts de celui qui les aurait déjà subies. Il est nécessaire de se convaincre qu'il faut absolument créer cet état d'esprit qui permettra à l'élève de se poser continuellement des questions sur lui-même et d'y répondre. Il sera forcé de réfléchir, non pas d'une façon irrégulière, mais constante, à ses actes, à ses pensées, pour autant qu'ils aient ou puissent avoir une influence sur la qualité qu'il désire atteindre ou sur le défaut dont il voudrait se guérir. L'analyse

l’amour ? En 1822, Stendhal écrit De l’amour, il analyse socialement et psychologiquement l’amour sous tous ses aspects. Il écrit son oeuvre après avoir eu à subir un chagrin d’amour aprés cette éprisd’une jeune femme. C’est alors qu’il décidât par défaut d’ écrire ce que l’amour lui avait appris et de tirer de son expérience personnelle des règles universelles. Avec son roman, est ce que Stendhal à su expliquer rationnellement l’amour? Pour y répondre en premier ont parlé des amours théoriques puis

montrer ses chaussures) et du comique de caractère, les deux personnages étant particulièrement superficiels. Enfin, la brièveté des récits renforce l’effet de chute comique. 10. La Bruyère épingle dans ses portraits plusieurs défauts de ses contemporains : la vanité, le gout immodéré du paraitre et l’absence de véritable piété (il n’était venu à la messe que « pour s’y montrer »). IMAGE 3 : Coiffure à l'échelle, XVIIIe siècle. 1. Cette caricature pourrait illustrer le texte de Montesquieu

procédés comme le comique de caractère qui grossit et caricature les vices et les défauts des hommes. Ainsi, Molière dans son premier placet sur Tartuffe reprend et cite la devise latine « Castigat ridendo mores » (châtier les mœurs en riant) et définit le nouveau but de la comédie. Il fait également dire à un de ces personnages dans « l’Impromptu de Versailles » : « l’affaire de la comédie est de représenter tous les défauts des hommes, et principalement des hommes de notre siècle. » On peut se demander

leurs tombeaux sortira cette voix qui foudroie toutes les grandeurs: Vous voilà blessé comme nous; vous êtes devenu semblable à nous. Que la fortune ne tente donc pas de nous tirer du néant, ni de forcer la bassesse de notre nature. Mais peut-être au défaut de la fortune les qualités de l'esprit, les grands desseins, les vastes pensées pourront nous distinguer du reste des hommes. Gardez-vous bien de le croire, parce que toutes nos pensées qui n'ont pas Dieu pour objet sont du domaine de la mort. Ils

se met à écrire des pièces un peu moins vulgaire. Il se retrouve donc à Paris pour jouer devant le roi, et compose donc des pièces comiques au propos plus profond. (s'éloigne de la farce) ex: Avare → avarice = défaut ridicule / → dimension plus tragique, faiblesse humaine de la vanité, l'amour de l'argent = amour de soi → tourne le dos à Dieu, conduit à la perte et au malheur. (enfermement tragique ) Molière compose des pièces à double niveau, qui font rire avec discours moralistes → Grande comédie