La Vanité Un Défaut

conscience de ses défauts. Le diagnostic paraît juste puisque « cette peinture » lui paraît fidèle ». -Dans un même temps, Trivelin soigne aussi Cléanthis; il lui permet de se libérer de sa rancœur qu'elle a accumulé. -Avant, Cléanthis ne pouvait pas parler, en lui donnant la parole , elle perd son ressentiment, et ce jeu de portait est destiné à révéler la vérité semblable à celui auquel on jouait dans les salons depuis le XVIIe siècle. Il permettait aux moralistes de dénoncer les défauts et les ridicules

ridicule. En opposition avec cet animal imposant par son physique et par sa condition, nous retrouvons le Rat. En effet, nous savons que l’auteur considère le rat comme un être fabuleux, rusé et observateur. Cependant cette critique révèle également un défaut du rat. En effet, il nous apparaît jaloux comme l’indiquent les vers 26 et 27 « Nous ne prisons pas […] d’un grain moins que les Eléphants »Il le déconsidère. C’est donc une vision interne du personnage qui créée une nouvelle vivacité. Dans cette

est constitué de trois extraits: -le misanthrope, moliére, 1666 ( comedie ) -fables, la fontaine, 1668 ( fables ) -les caracteres, la bruyére, 1688 ( recueil ) Quel défaut dénoncent ces trois textes ? Quel sont les moyens utilisés par les auteurs pour en faire la critique ? 1ere partie : Ces trois textes dénoncent la vanité de la société. Dans l extrait du misanthrope, on observe dans le personnage d'Acaste cette prétention : il se dit "jeune", riche et n avoir " fort peu d'emplois" dont

qu’ils se doivent et de l’importance de celui-ci pour le bonheur de tous. Dans la scène 3, Trivelin, responsable de l’île demande à la servante Cléanthis de brosser le portrait de son ancienne maîtresse Euphrosine afin de mettre en évidence ses défauts pour qu’elle s’en corrige. Représentée en 1725 (1ère moitié du XVIIIe, émergence des Lumières). Auteur : Marivaux, initiateur d’un théâtre singulier qui met l’accent sur la psychologie des sentiments, le langage, les jeux de rôles sociaux et sentimentaux

Corpus de texte Pour commencer ; le corpus que nous allons étudier dans quelques instants porte sur la critique de la vanité humaine et cela à des époques différentes. Le premier texte qui s’intitule « la grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf » a été écrit par le poète français Jean de La Fontaine au XVII e siècle. Cette fable est publiée dans un recueil appelé Fables en 1668. Jean de La Fontaine est un auteur représentatif du classicisme, le mouvement dominant de l’époque

suit les démêlés de la famille afin de savoir qui des deux prétendants fera d’Henriette son épouse. Par la lecture attentive de la scène troisième du troisième acte, il est possible de d’observer que les «beaux esprits» sont des êtres avec pleins de défauts, ce qui est perceptible chez Vadius (acolyte de Trissotin) et Trissotin. Vadius est un personnage qui expose le côté excessif des «beaux esprits» de par leur langage sans cesse exagéré. Trissotin, quant à lui, expose le mauvais caractère de ceux-ci

d’un enfant sur le paravent + sang (?) = expression du sacrifice humain à la vanité, donc Chou=symbole de MORT. * La femme se ferme à l’idée de donner la vie (//paravent) ; elle préfère vivre recluse dans son monde où seul le souci de son apparence existe (chou= « amulette protectrice ») * Chou//crâne. MORT * Chou * Bleu morbide du corps (corps sans sang), couleur des veines. * Sang * VANITE. Disparition totale du visage. * PAPILLONS : symbole de grâce, de beauté

relève-t-elle de la vanité ou constitue-t-elle une forme de la politesse que l’on doit à autrui ? » On entend dire parfois que l’élégance vestimentaire relève de la simple vanité ou qu’au contraire elle est une forme de politesse. Nous allons donc, face à ces deux opinions, essayer de trouver où est pour nous la vérité. Dans un premier temps nous tenterons de définir ce qu’est l’élégance vestimentaire puis nous verrons en quoi on peut considérer qu’elle est une marque de vanité. Enfin nous nous

7, 1668 Composition : -29 vers - alexandrins et octosyllabes Dates de publication : 1668, 1678-1679, 1693 Genre : fable (apologue) Mouvement : classicisme Résumé : Jupiter convoque les animaux et leur propose de corriger leurs défauts. Mais tous sont satisfait de leurs apparences et critiquent les autres animaux. 1. Un récit dynamique · La structure de la fable l.1 à l.8 : convocation des animaux l.9 à l.13 : parole du singe l.14 à l.18 : critique de l’ours

animaux. Ce thème a en effet, et de tout temps inspiré de nombreux poètes. C’est un thème intéressant, car on peut observer comment les poètes utilisent les animaux, voire le symbolisme animalier en général dans le but de dénoncer les vices et les défauts des hommes, d'évoquer les amours perdues sur fond de guerre, les femmes.. Notre anthologie s'ouvrira sur une fable de Jean de la Fontaine intitulé « La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf » , Livre I - Fable 3 , parue en 1668