La Vengeance dans la peau

une robe de mérinos, couleur raisin de Corinthe, […] une collerette brodée qui pouvait valoir trois francs, un chapeau de paille cousue à coques de satin bleu bordées de paille comme on en voit aux revendeuses de la Halle. A l'aspect de souliers en peau de chèvre dont la façon annonçait un cordonnier du dernier ordre, un étranger aurait hésité à saluer la cousine Bette comme une parente de la maison, car elle ressemblait tout à fait à une couturière en journée » et « maigre, brune, les cheveux d'un

1844 Biographie de l'auteur : A vingt ans, il abandonne le droit pour la littérature. Son œuvre est composé de contes, de pièces de théâtre et de 95 romans dont certains personnages reviennent d'un livre à l'autre. Ses principaux romans sont : La peau du chagrin ; Eugénie Grandet ; Le Père Goriot ; Le lys dans la vallée ; Illusions perdues ; Splendeurs et Misères des courtisanes ; La cousine Bette ... Genre littéraire : Étude de mœurs Trois thèmes principaux du roman : L'amour, la justice

vient d’un désir de vengeance, une vraie volonté de tuer : « Œil pour œil, dent pour dent ». Les soldats veulent accomplir leur devoir patriotique et accéder à la victoire pour sauver le pays. La guerre a réveillé la violence et la brutalité chez le combattant. Il s’agit de tuer l’ennemi pour survivre : « (…) j’ai tué. Comme celui qui veut vivre ». Les combattants se livrent à des actes inhumains pour sauver leur peau : « un coup terrible

autour du ku klux klan : les membres portent une cagoule blanche pointue sur leur tête et une grande robe assortie sur le corps ; même leurs chevaux sont déguisés de cette façon Les clansmen multiplient les expéditions punitives, les pillages et les vengeances privées au nom de la supériorité de la race blanche. En quelques années, le Ku Klux Klan rassemble près de 500 000 membres. Ce clan est pour dieu, la race (blanche) et la nation. Il affirme que c’est dieu qui a choisi la race blanche et éprouve

Les auteurs Bien que disparus, Pierre Boileau et Thomas Narcejac ont écrit et légué une œuvre qui fait date dans l'histoire du roman policier. Ils ont mis en scène toute la gamme des plus mauvais sentiments humains : vengeance, jalousie, envie, orgueil, soit l'éventail des péchés capitaux. Ils ont ainsi promené le lecteur dans l'angoisse de pièges diaboliques, et abusé des victimes par les diverses et ingénieuses constructions de leurs romans. Auteurs de contes, nouvelles, romans pour la jeunesse

pourrait être un bon exemple de repentir et d’envie de faire le bien pour toutes les victimes de la Merteuil. Mais on peut aussi penser qu’il ne puisse s’agir que d’une vengeance. Ce doute nous montre bien que n’importe quel scélérat même pavé des meilleures intentions ne sera jamais pris au sérieux, sa réputation lui collera à la peau. Encore un autre exemple : les nombreuses lettres de la présidente à Valmont où elle dit qu’elle ne croit pas en sa bonne foie ni en son amour. Comme nous l’avons vu

créature…et quelle créature ! « De la beauté ! Grand Dieu ! Sa peau jaunâtre dissimulait à peine le lacis sous-jacent de muscles et de vaisseaux sanguins. Sa chevelure était longue et soyeuse, ses dents d’une blancheur nacrée, mais cela ne faisait que mieux ressortir l’horreur des yeux vitreux, dont la couleur semblait se rapprocher de celle des orbites blafardes dans laquelle ils étaient profondément enfoncés. Cela contrastait aussi avec la peau ratatinée du visage et de la bouche rectilignes aux lèvres

le réel. - Victime des éléments et déresponsabilisé par leur influence négative. - Si la chaleur engendre chez lui la douleur « le front surtout me faisait mal et toutes les veines battaient ensemble sous la peau », les déterminants « paupières », « front », « peau » suggèrent que son corps ne lui appartient plus. - Pistolet semble avoir agi seul : « la gâchette a cédé » ( la responsabilité ne lui appartient pas. - « j’ai touché le ventre poli de la crosse » : « ventre »

partout où pourraient exister des inégalités raciales. Citations : - "Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouches. Ma voix la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir." - "Ne faites pas attention à ma peau noire : c'est le soleil qui l'a brûlée." - « Et nous sommes debout maintenant, mon pays et moi, les cheveux dans le vent, ma main petite maintenant dans son poing énorme et la force n'est pas en nous, mais au-dessus de nous, dans une voix qui vrille

ici représente Gervaise. C’est elle qui est dévorée comme le montre la gradation hyperbolique :’’Ils auraient englouti le plat, la table, la boutique afin de ruiner la banban du coup’’ L18-19 On ne se nourrit plus par plaisir mais par désir de vengeance : manger est un véritable acte destructeur -le chiasme ’’toutes les dames avaient voulu de la carcasse, la carcasse c’est le morceau des dames’’ l20/21 suggère l’idée d’encerclement : Aucune échappatoire pour l’oie symbolisant dont il ne reste plus