La Vie Est Un Songe Calderon Personnages

: l'affirmation progressive de l'absolutisme, c'est-à-dire de la concentration du pouvoir monarchique entre les mains du seul roi, et de l'esthétique classique, qui consacre le triomphe de l'ordre et de la raison. Pour plus d'informations sur la vie de Corneille et les repères historiques, se référer aux pages suivantes dans le livre L'Illusion comique (édition Hatier, Classiques & Cie Lycée) : repères 1-2-3 (pages 150-157) --> objectif : situer l'œuvre. II - PRESENTATION DE L'OEUVRE : A) Résumé

1DOSSIER PEDAGOGIQUE Sommaire L’auteur / Alfred de Musset Biographie L’oeuvre Contexte personnel au moment de l’écriture L’oeuvre / On ne badine pas avec l’amour l’argument le drame romantique la rupture des règles du classicisme les personnages romantiques Doubles, mise en abyme et intertextualité : Une pièce en jeu de miroir La mise en abyme (présence du choeur, jeu d’observation, mensonge L’intertextualité (titre, référence, lettre de George Sand) Les pistes pédagogiques En

l'anamorphose : Une anamorphose est un objet représenté de telle sorte qu'en fonction du point de vue que l'on adopte sur lui, il prend tel ou tel aspect. Ainsi, le célèbre tableau d'Holbein, Les Ambassadeurs (1533), présente au pied des deux personnages un objet étrange, qui, vu sous un certain angle, se révèle être une tête de mort, qui transforme donc le tableau en « vanité ». Or La Bruyère affectionne particulièrement de nous montrer que les choses et les gens diffèrent suivant le point de vue

l’autel et improvise seul. Il devient le coryphée, chef du chœur. Tous s’immobilisent pour l’écouter, puis lui répondent. Ce dialogue entre le chœur et le coryphée est la première ébauche de la tragédie : tragoedia en grec signifie « chant du bouc ». Au VIe siècle, on fait appel aux rhapsodes pour être coryphées. Ce sont des conteurs professionnels qui se produisent au coin des rues avant de faire la quête. A la même époque, on invente le masque en chiffons collés et la fonction d’acteur. Sont alors

le mari, en tant que seigneur de Château-Thierry, était le suzerain du poète. L'auteur fit imprimer à la suite de ce nouvel ouvrage une version remaniée de son Adonis. Cette réunion ne semble pas simplement occasionnelle : le poète a sans doute songé que l'Adone du « Cavalier » Marino, qui avait paru en 1623, contait dans son quatrième chant l'histoire de Psyché (R. Derche, Quatre mythes poétiques, Paris, 1962). De qui s'inspira La Fontaine ? Ainsi qu'il le confesse dans sa préface, La Fontaine

Festin de pierre) en France ; Shakespeare (Roméo et Juliette) en Angleterre ; Tirso de Molina (Marthe la dévote, comédie ; L'abuseur de Séville, drame historique) et Lope de Vega (l’Étoile de Séville, Aimer sans savoir qui, comédies) ou Calderón (La vie est un songe) en Espagne. Le théâtre baroque peut se définir, dans un premier temps, comme le négatif du théâtre classique. À l’analyse intellectuelle, le baroque préfère l’émotion, la perception ; face à la recherche de la vraisemblance, le baroque

littéraire ou poétique, des données oniriques. Sans même remonter au romantisme allemand du début du XIXème siècle et à son exaltation de la nuit, du côté ténébreux de l’univers, on pourrait songer à Gérard de Nerval pour qui « le rêve est une seconde vie »[3], ou bien, plus proches de Proust, ses contemporains presque, aux Surréalistes, qui puisèrent dans l’univers des rêves une partie de leur inspiration même. Mais, chez Proust, dans la Recherche du Temps perdu, cette évocation du sommeil – et cette

l’irrégularité dans ses tableaux et sculptures. Les contrastes de lumière et un décor souvent très riche et chargé sont présents, rendant les œuvres grandioses et parfois exagérées. La grandeur et le désordre se retrouvent également en littérature où les personnages sont en évolution constante et se métamorphosent. Le baroque fut surtout utilisé en tant qu’art religieux, pour promouvoir la puissance de l’Église catholique. C’est grâce à l’implantation de l’Église catholique que l’art baroque se propage en

suis moi-même la matière de mon livre » -> la peinture de moi devient l’essence même des livres -> les difficultés -> l’écriture de soi n’a pas d’objet fixe « Je ne peins pas l’être, je peins le passage » -> s’intéresser à tous les accidents de la vie -> les essais contiendront des affirmations contraires -> la cohérence ne passe plus par la non contradiction ici -> le fait de se contredire n’est pas en contradiction avec la vérité -> pour Montaigne -> s’il n’y avait pas de contradiction -> pas

jeunesse présente. Topos de la jeunesse représenté par le printemps et la viellesse par l'hiver, le froid et la neige représentent la mort renvoyant aux cheveux blanc. Renvoie aux sonnet de ronsard aussi. Le dernier tercet insiste sur la fugacité de la vie , attristement sur le carpe diem. Il reprend les thématique précedent (rose ; vent) sous un jour redoutable: glacé; fragile,flétrie.Contraste de la rose f. avec la permanance des élément (vent) 2/ le lyrisme religieux La réforme engagé par le cardinal