La vie est un songe

physiques qu’intellectuelles. La vieillesse, c’est l’impression ne plus servir à grand-chose à part à être suivis par de multiples spécialistes de santé, c’est la dépendance par rapport aux autres et surtout elle représente la dernière étape de la vie. Évidemment, cette image négative est bien renforcée par les médias aux stéréotypes bien conservés dans des bouteilles bouchonnées ! Avant l’ancien représentait un trésor de savoir et d’affection, on aimait être en sa compagnie, discuter de longues

également des passages empruntés à la chanson de Roland. Les trois principaux ouvrages auraient peut-être été réunis en un seul, soigneusement conservé par les chanoines de Chartres. Pour terminer cette présentation, je vais brièvement retracer la vie de Charlemagne. Il est né en 742 et est mort en 814. Il était le petit-fils de Charles Martel et le fils de Pépin le Bref. Il hérita un royaume étendu jusqu’à la Germanie, qu’il agrandit encore grâce à de nombreuses campagnes militaires et à ses forces

passion qu'elle éprouve pour le duc de Nemours. Passion destructrice puisqu'elle causera la mort de sa mère puis celle du Prince. Enfin, elle prouvera sa vertu lorsqu'après la mort de son mari, elle refusera les avances de Nemours et s'éloignera de la vie de cour afin de ne plus souffrir de sa passion. On peut également voir cela comme une émancipation : elle se refuse à être victime de sa passion, à être soumise à ses sentiments. Analyse rapide : Ce roman est considéré comme le premier roman d'analyse

(v.3) ainsi que l’objectif « vivre ensemble […] Aimer à loisir,/ Aimer à mourir » (v.3-5) femme, enfant et égal du poète : « Mon enfant, ma sœur » (v.1) -> « douceur »=relation fusionnelle * Les verbes : les deux 1ère strophes 1er verbe « songe » (v.2)IMP, imaginaire ; COND « décoreraient » (v.17), « parlerait » champs des possibles 3ème strophe : « vois », « viennent », « revêtent » IND,pst * Forme du poème : -3 longues strophes de 2 sizains, construction en triptyque, rimes régulières

Violences verbales et physiques sur Séverine (l.24) pour se calmer (l.5-6) 2) Envisage de la tuer (« tuée » l.11, « étranglée » l.13) MAIS affection et lâcheté (« sa lâcheté » (l.12), « c’était lâche » (l.12)) 3) Il songe à éloigner Séverine (l.14) 4) Il songe à poursuivre sa vie comme si de rien était (l.17-18) 5) Il envisage le meurtre suivi du suicide (l.19) La jalousie finalement l’emporte et il doit tuer quelqu’un (l amant de sa femme) La mort est liée au désir (l.44-45) III. Roubaud, une

relation entre poète et la femme, à travers l'évocation du paysage. « tes traîtres yeux », « qui te ressemble »: 2 eme personne pronoms .. te, ton - Le poète invite la femme à entrer avec lui dans le rêve et à contempler les lieux qu'il lui décrit. »songe », »vois » - Idée de couple « notre chambre « évoque un lieu privé et intime, réservé à l’amour.« nous » :le poète et la femme fusionnent dans ce « nous ». 2) La relation entre la femme et le paysage: - V6 , ANALOGIE entre la femme et les lieux

du bourgeois que tout oppose au poète, mal vêtu, mal coiffé, à la tenue négligée. Il accentue encore le caractère ironique du portrait en faisant apparaitre une contradiction, alors qu’au premier vers il qualifie le personnage de « grave » car il songe à marier sa fille ainsi apparaît le caractère calculateur et matérialiste du personnage.   il lui donne ensuite, au vers trois, un caractère insoucieux et rêveur, d’ailleurs la diérèse sur insou/cieux accentue le comique. Verlaine met encore en avant

d’une âme ». Introduction [Amorce : poésie et lyrisme - Présentation brève du recueil] En titrant son recueil Les Contemplations et en le qualifiant dans la préface de « mémoires d’une âme », Hugo suggère qu’il porte un regard rétrospectif sur sa vie. C’est une forme possible de « contemplation », mais   une   forme   seulement.   «   Contempler   »   signifie   plus   largement   «   regarder   avec   une   certaine intensité » ; la contemplation peut ainsi aller jusqu’à la vision ou la voyance

« Le Rêve est une seconde vie » dit Gérard de Nerval au début de l’Aurélia. Mais la première vie, celle que nous menons lorsque nous sommes éveillés, est-elle bien différente de la seconde ?L’opposition semble bien évidente. En effet, le rêve dans sa définition même semble dissocié de la réalité. Lorsque nous disons de quelque chose que c’est un rêve, nous entendons naturellement que cette chosen’a rien de réel. Le rêve a cependant plusieurs sens à ne pas confondre, il peut être le rêve au sens d’activité

technique ? De tout temps l’homme à chercher à se faciliter la vie en imaginant des outils et surtout des moyens lui permettant de répondre à ces besoins. Ces besoins sontsouvent appelés « techniques » et reposent principalement sur un savoir-faire ainsi que sur une envie d’évolution de l’ancienne méthode. Mais faut-il pour autant avoir peur de ce progrès technique ?Pour certains ces innovations sont perçues comme néfastes à la vie de l’homme. C’est pourquoi dans une première partie nous verrons