La Vie parisienne

fin de XIXème siècle. A ses débuts dans la vie parisienne, les Galeries Lafayette n’étaient qu’une mercerie. Devant le succès grandissant de cette dernière, le tout premier grand magasin « Galeries Lafayette » ouvrit en 1912 en plein cœur de la capitale, boulevard Hausmann. Au fil du temps, l’enseigne a su diversifier ses biens de consommation, passant des vêtements aux biens d’équipements. Les Galeries Lafayette ont su répondre aux besoins des parisiens en mettant tout à leur disposition dans

Le Père Goriot est un roman d’Honoré de Balzac, écrit en 1834, dont la publication commence dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. Le Père Goriot aborde le thème de Paris sous la Restauration , à savoir • L'égoisme

poèmes a été publié le 25 juin 1857 à Paris . Ces poèmes sont répartis en 5 sections, la section " tableaux parisiens " de 35 poèmes n'apparaîtra qu'en 1861. Ils sont précédés d'une dédicace à Gautier et du poème au lecteur. Le poète divise son recueil en six parties : Spleen et idéal, Tableaux parisiens, Le Vin, Fleurs du mal, Révolte et La Mort. Cette construction reflète un peu sa vie. Spleen et idéal : c'est le monde réel tel que le perçoit l'écrivain. Les trois sections suivantes en découlent

nements historiques et sociaux qui transforment la vision du monde de l’époque. La Révolution française bouleverse la société en remplaçant la stratification en ordres (noblesse, clergé, tiers état) par la stratification en classes3. Le mode de vie, propre à chacun de ces trois ordres et accepté par un « tacite consentement des peuples »4, est bousculé par l’établissement de la société de classes qui place le travail au centre des rapports humains. La révolution industrielle, qui commence au

(regard étranger) - critique de la société 1 axe : Vision surprenante de Paris. -Etonnement se manifeste par la surprise. Il utilise un lexique propre à l'étonnement. Dans chaque paragraphe : -ponctuation exclamative.-description de Paris, des Parisiens.-l'architecture caractériser par l'exagération les adverbes, les hyperboles.Accumulation, énumération, gradation des verbes d'actions.Il emploi un vocabulaire de la magie.Il utilise le même vocabulaire pour le Pape, le roi et les parisiens.Cet étonnement

de son vrai nom Jean-Joachim Goriot, ne vit que pour et par ses filles, au point de tout sacrifier pour elles. Pour elles, il a perdu tout l’argent qu’il avait accumulé pendant la Révolution et elles n’en sont même pas reconnaissantes. Son train de vie diminue peu à peu. Sa déclin social est marqué par la place qu’il occupe dans la Pension Vauquer : à son arrivée à la pension, en 1813, il logeait au 1er étage, puis est passé au 2e et se trouve désormais au 3e, où il vit dans une mansarde (= petite

LE METROPOLITAIN Rames de métro à St Lazare, à gauche en 1900 et à droite en 2010 Le métropolitain irrigue la ville, en même temps, il façonne & articule la vie des Parisiens. Le métro est inséparable de la capitale de la France. Prenons une heure ou deux, & descendons quelques marches dans le sous-sol. Une visite s’impose ! Un peu plus de 200 km de voies et 301 stations réparties sur 16 lignes. Le métro est parcouru par plus de 700 rames, dont la vitesse maximale est de 70 km/h. À l’heure

la lecture intégrale de l’œuvre, je distinguerai trois parties qui diffèrent les unes des autres et qui structurent l'œuvre. La 1ère partie : André Breton s'interroge sur lui-même. Je trouve cette réflexion très intéressante puisqu'elle évoque une vie d'illusion dans laquelle on croit avancer « condamné à revenir sur ses pas tout en croyant que j'explore » p10. Puis il évoque ce qui le différencie des autres êtres humains. Je trouve que cela représente bien ce que tout le monde pense intérieurement

parvenu au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses et à la collusion entre la finance, la presse et la politique. Sur fond de politique coloniale, Maupassant décrit les liens étroits entre le capitalisme, la politique, la presse mais aussi l’influence des femmes, privées de vie politique depuis le code Napoléon et qui œuvrent dans l’ombre pour éduquer et conseiller. L’œuvre se présente comme une petite monographie de la presse parisienne dans la mesure où Maupassant fait implicitement

une étrange beauté. 2. Les protagonistes jettent un certain regard sur le peuple parisien. Lucien porte une regard admiratif sur les parisiens, il éprouve du « plaisir » (ligne 1). Il est intéressé par les « jolies Parisiennes » (ligne 5) qu’il trouve à son goût. Son regard est neuf, il découvre un nouveau monde qu’il lui plaît (ligne 4-5) et abandonne d’un coup les préjugés qu’il portait sur la vie parisienne. Balzac le montre par la phrase « cette soirée […] province » (ligne 2-3). Quant à Madame