La Ville Tentaculaire

Sujet : "la cité où l'on erre est devenue le décor où l'homme inscrit sa démarche questionnante. La rue, les parcs et les circuits que la ville propose à la conscience en quête, sont le lieu privilégié de cette quête. Erreur, perdition ou trouvaille ". Pensez-vous, que l'atmosphère et le paysage urbain ont apporté une dimension nouvelle aux récits ou aux poésies ? Que faut-il aux poètes et aux romanciers pour écrire leurs ouvrages ? un paysage naturel ou un paysage urbain ? Préfèreraient-ils

Issu du courant anti-urbain américain, le modèle natu­raliste est un compromis entre les théories culturalistes et progressistes, qui vise avant tout à éliminer la "mégapole tentaculaire". En dispersant les fonctions urbaines et en les isolant sous forme d'unités réduites, le modèle naturaliste isole les différentes fonctions urbaines dans de petits noyaux reliés par des routes terrestres et aériennes. Ce système excentrique composé d'éléments ponctuels insérés dans un riche réseau circulatoire

plusieurs lapsus au cours du roman, comme avec le commissaire de police: « Mon grand problème, Mr l'angoisse, c'est le commissaire ». Cousin annonce l'individualisme qui a gagné la société, et Romain Gary utilise l'humour contre l'angoisse de la ville tentaculaire et le vide des relations humaines dont souffre son personnage. Comme son propriétaire, le python Gros-Câlin est marginalisé et tombe dans la catégorie des mal-aimés. Cet anti-héros voudrait s'identifier à des héros de la Résistance, Jean Moulin

Poème liminaire des Villes tentaculaires de Verhaeren publié en 1895, « La plaine » donne le ton du recueil et revient sur ce moment crucial qu’est le passage d’un monde agricole à un monde industriel. Ce poème d’ouverture, qui par son titre, contraste avec celui du recueil et semble s’en écarter, est conçu par Verhaeren pour nous plonger au cœur des prémisses, des premiers moments de l’industrialisation des campagnes. Poète de la ville par excellence, il revient ici vers cet

campagne pour la ville en raison du nombre d’emplois dans les nouvelles industries. Ainsi la population augmentant rapidement, les villes et surtout les capitales comme Paris, ont dû réajuster au plus vite leur urbanisation afin de répondre aux besoins. Paris organise alors une nouvelle architecture et construit des banlieues. C’est ce nouveau décor dérangeant certains artistes qui les pousse à blâmer ce nouveau Paris, comme le fait Verhaeren dans son recueil Les villes tentaculaires publié en 1895

pays que Verlaine eut l’occasion de visiter lors de son échappée de 1872 avec son jeune compagnon. Charleroi, en particulier, traduit les impressions d’un voyageur placé dans un train lancé à grande vitesse, passant sans s’arrêter, de nuit, dans une ville aux banlieues fantastiques. Même si l’on retrouve dans ce texte le mot « fétiche » de Verlaine, le verbe « pleurer », le ton et les sonorités employées ne peuvent être rapprochés des poèmes en demi-teintes dont le poète s’est fait le chantre. Charleroi

de la fin du XIXème siècle. Le poème "La Plaine" est extrait du recueil Les villes tentaculaires, publié en 1895. Dans ce recueil, il fait un blâme des villes qui s’agrandissent et vident les campagnes. Il veut démontrer que le monde moderne peut devenir une matière poétique. On y trouve aussi de superbes formules d'espérance et de confiance dans l'avenir. Mais c’est également une étude de la vie dans une grande ville moderne. LE PLAN Ce poème peut se diviser en plusieurs parties : 1- Introduction

70% ( pourcentage d’habitants vivant en ville 1900 → 2010 (150m → 3,5M (pop urbaine) • Transition urbaine mondiale Certains pays : urbanisation < 15% / d’autres : urbanisation > 95% Pays dvpés → urbanisation ancienne + taux d’urbanisation ≈ 75% + pop des villes stagne • Urbanisation massive pops → phénomène récent Puis urbanisation propagée dans pays du Sud car important exode rural Dvpt mégapoles tentaculaires • Croissance urbaine → émergence

presque achevé dans les pays industrialisés se poursuit dans les PED, il s'accompagne d'une extension spatiale des espaces urbanisés bouleversant les paysages. Ce débordement de la ville, qui s'effectue au détriment des campagnes avoisinantes, se nomment peri-urbanisation... Les périphéries tentaculaires de la ville regroupe des quartiers résidentiels, y compris des bidons-villes dans les PED, des espaces de loisirs et de hautes technologies. Cette évolution conduit aussi à augmenter la ségrégation

prend de plus en plus forme d'un village mondial A- Idée de village comprend strates : certains terriens n'ont pas Internet, vagabonds du village : PMA que l'on aide financièrement. B- Censure du village. C- Grande ville planétaire plutôt que village. Mégapole tentaculaire. Intro : Washington : architecture hippodamique de L'Enfant qui reflète égalité ≠ Marshall McLuhan : village : proximité, et en même temps inégalités. Village : petit. Pour européen qui voyage : ok mais pour africain