La Violence Est Elle Naturelle

1. la violence, c'est quoi? ● la violence: force déréglée portant atteinte à l'intégrité physique/psychique son but: domination ou destruction d'un individu ou d'un groupe ● caractère protéiforme: de la petite délinquance à la grande criminalité violence physique, sexuelle, verbale, psychologique / maltraitance violence interindividuelle, familiale, collective criminalité de rue, violence à l'école, au travail, violence politique ● omniprésente: ▪ aujourd'hui il est impossible

hierarchie naturelle. On va alors expliquer cette nouvelle hierarchie par le schéma de la femme victime de ses liquides. “Dans ce schéma, la femme, prisonnière d’une nature froide et humide, ne fait que subir, dans une passivité totale, ses écoulements incontrôlés de sang et de lait, tandis que l’homme, qui possède une nature chaude et sèche, est l’être qui engendre dans un autre, grâce au principe générateur et moteur contenu dans le sperme” (p.70) “ C’est donc la hiérarchie naturelle des fluides

Rabelais.Lettre à Grandgousier LAdoc 1 Rabelais, Gargantua, Lettre à Grandgousier Devant la violence déchaînée et l’entêtement de Picrochole, Grandgousier est obligé de se résoudre à entrer en guerre. Il écrit ici à son fils pour le rappeler auprès de lui. Ce n’est pas la première fois que Rabelais emprunte au genre épistolaire : en effet dans Pantagruel, son ouvrage précédent, Gargantua écrit à son fils une lettre sur l’éducation dans laquelle il l’encourage à suivre une éducation

[n.s.] ». Cette expression saisissante rappelle la périlleuse ambivalence travaillant l’ordre civil et politique : l’espace séparant la loi juridique - comme incarnation de principes de justice destinés à substituer au déchaînement anomique de la violence subjective et à l’empire de la crainte issu du heurt des désirs égoïstes une communauté fondée sur un système d’obligations rationnelles garantissant des relations de paix et de réciprocité entre ses membres - et les hommes investis du pouvoir d’en

rapport au bonheur, et ce enquoi il doit consister. Il se définit en fonction de mon idéal de l'immagination et de mon expérience. Le calcul des plaisirs Ceux qui ont le plus besoin de l'opulence sont ceux qui s'y sont habitués. Or, un désir naturel est plus facile à satisfaire que les désirs vains. Le plaisir que l'on ressent lorsqu'on supprime un manque. Il faut donc faire un calcul des plaisirs : satisfaction immédiate ou non. La liberté morale contre le penchant III] Le bonheur dans

de « liberté » qui le caractérise. L’animal n’a pas cette faculté de résister et sortir du cadre naturel car il n’a justement pas la liberté d’aller à l’encontre de son « instinct ». L’instinct est un savoir inné, spécialisé, dépourvu de conscience et peu susceptible de progrès. De plus, on peut ajouter que la vie animale n’est faite que de nécessité alors que l’homme a des nécessités d’ordre naturel (comme vivre en société) et aussi a une liberté, par la « formation des idées », son imagination

est inné ou acquise, essentielle ou accidentelle, en s’interrogeant, par exemple sur les raisons d’être de la guerre. Un marchand d’armes aime son enfant. Comment concilier un comportement « circonstanciel » d’un autre conforme aux dispositions naturelles ? Ce qui semble manichéen ici, c’est le caractère très tranché de l’alternative. L’homme n’est –il pas susceptible d’évoluer ? Y- aurait-il un bien ou un mal absolu ? Notre jugement doit se méfier des représentations séduisantes ou répugnantes que

permettent de l’identifier et qui circule le mieux d’une culture à une autre, à savoir les arts. D’où le Ministère de la Culture. Bilan : la culture concerne donc à la fois au niveau des individus la façon dont ont été développées leurs dispositions naturelles par l’éducation et au niveau d’une société, d’une groupe ou d’un peuple sa façon de vivre et d’agir. I) Pourquoi la culture ? Pourquoi les hommes ont-ils inventé la culture, c’est-à-dire des langues, des techniques, des arts, des connaissances

imaginaire ou symbolique. Il faut distinguer les deux aspects que sont l'expression pulsionnelle et la mobilisation en vue d'une intention. Notion biologique : pour les biologistes, et principalement Konrad Lorenz, l'agressivité est un instinct naturel lié à tous les autres besoins vitaux, que ce soit pour la prise de nourriture, la fuite devant un danger ou le comportement sexuel. Mais il n'y a pas de véritable agressivité entre des individus d'espèces différentes: le lion n'est pas agressif envers

progressivement, les rois de France vont centraliser la fiscalité. 2) Dès lors que les caisses sont pleines, l’Etat peut faire la guerre. Il a le monopole des armes et de leurs usages. On retrouve la théorie de Weber avec l’Etat qui a le monopole de la violence légitime. Ces 2 monopoles, fiscal et militaire, Elias fait le pari de l’analyser dans la société de cour. Et cette émergence de l’Etat se trouve/à cause de la société de cour. Cette société, c’est 4000 personnes rassemblées à Versailles qui ne vont