La Vision Des Mercantilistes Sur Le Commerce International

Journal international de recherche syndicale 2011 Vol. 3 No 1 Crises: causes, perspectives et alternatives BUR EAU INTER NATIONAL DU TR AVAIL, GENÈVE Copyright © Organisation internationale du Travail 2011 Première édition 2011 Les publications du Bureau international du Travail jouissent de la protection du droit d’auteur en vertu du protocole no 2, annexe à la Convention universelle pour la protection du droit d’auteur. Toutefois, de courts passages pourront être reproduits sans autorisation

Pluriel: postule d'emblée que la science économique doit être élargie. L'élargissement ou pas, dépend de la vision de l'État. 2 visions de l'État dans l'économie: – vision normative: on considère ce que DEVRAIT faire l'état. Autrement dit; on est dans la prescription et on analyse ce que l'état devrait être. Ça veut dire que l'économiste dans ce cadre là est un mélioriste social. Cette vision de l'état est particulière au moment où on considère que l'état doit être un « despote bienveillant ». Cette

de l’époque, Dominique de Villepin, bien qu’on peut trouver des occurrences ultérieures, et notamment dans la presse française, dés les années 1990. Ce rapport constitue pour son auteur une «vision nouvelle» de la mondialisation qui prend en compte les jeux de puissance et d’influence sur le marché international et le contournement des règles de la vie de marché. Il ne faut pas confondre l’intelligence économique, qui est l’ensemble des activités coordonnées et légales de collecte, de traitement et

http://egsh.enst.fr/français Intro : les questions de l’économie internationale (EI) points de méthodes. Les questions de l’économie internationale : L’économie internationale : historiquement les analyses économiques internationales sont considérées par beaucoup d’économiste comme l’un des fondements de la science économique, pcq les 1ers écrits de science économiques traités de ces échanges internationaux. C’est notamment le cas des travaux d’HUME et de SMITH et de RICARDO. Ce sont les

obligés de vendre leur force de travail sur le marché c'est à dire travailler pour des agents « qui ne travaillent pas ». Ceux qui offrent leur travail ne sont pas libre. Aucune lois, n'obligent cependant à travailler. GALBRAITH dit qu'on a une vision ambigu à ce sujet : lorsqu'un pauvre ne travaille pas il dérange c'est un « glandeur » mais quelqu'un qui est riche et qui gagne l'argent grâce à ses rentes mais qui dans la forme ne travaille pas il n'est pas suspect voire même on chercher à être

marché (l’Etat n’a pas à intervenir). David Ricardo : Les avantages comparatifs relatifs. Contrairement à la théorie mercantiliste qui prévalait jusqu’au 17° siècle, Ricardo, reprend la théorie d’A. Smith sur les avantages absolus et la généralise en concluant que tout pays à intérêt à se tourner vers le commerce international. C’est le principal père fondateur du libre-échange international. Jean-Baptiste Say : sa loi des débouchés stipule que l’offre créée sa propre demande. Donc l’offre doit être privilégiée

et concernant le luxe cet étape est loin d’être anodine.. CHAP I Le Luxe : étymologie et définition de l’objet de luxe Il n’a pas de définition exacte et universelle du luxe car il fait appel aussi bien à des visions personnelles de satisfactions de certain désir que des visions rationnelles notion de prix , de rareté…. Cet état de confusion atteste néanmoins d’une réalité profonde: « le luxe n’est pas un simple vocable, une pure création sémantique mais un vrai concept sociologique

plutôt un point commun entre les auteurs qui les amène à considérer la monnaie comme voile et ne jouant pas de rôle sur le système productif. C’est un paradoxe car l’économie politique classique, tous courants confondus, intègre le marché dans sa vision, en fait même le régulateur suprême et l’harmonisateur universel des intérêts, et, de plus, elle fait de l’échange marchand l’acte fondateur de la société. En faisant du travail le fondement de la valeur, les classiques situent celui-ci dans l’acte

qu’il faut produire toujours plus pour les satisfaire, rareté) 2°) Celle des sociétés primitives (besoins limités, peu nombreux, pour les satisfaire les moyens techniques qu’ils connaissent sont largement suffisants). Comparaison de ces deux visions qui nous renvoie à la 1ère voie. Nous sommes toujours obligés de travailler plus pour acquérir plus de biens : sentiment de manque. Il n’y a pas d’obsession du manque dans la société primitive. Sahlins explique qu’il n’y a pas de notion de pauvreté

processus de passage de la situation initiale à la situation finale (dynamique). 4) Distinguer Microéconomie / Macroéconomie. La macroéconomie étudie le comportement économique d’un ensemble très vaste (une nation) sous forme d’agrégats (PIB, commerce extérieur de la France,…). La microéconomie s’intéresse, quant à elle, au comportement des unités plutôt individuelles (une entreprise, un secteur,…) sous forme de en agrégeant les comptes on obtient les agrégats : ߑܸ‫.ܤܫܲ = ܤܣ‬ comptes 5)