La Vision Des Mercantilistes Sur Le Commerce International

Introduction : La théorie du commerce international s’inscrit plus particulièrement dans le jeu des firmes internationales. Le commerce international s’accompagne d’une transformation de la nature des échanges mais également d’une évolution de rôle des différents acteurs intervenant dans le cadre de ces échanges. On commence à s’intéresser au commerce international vers le XIXème siècle dans la mouvance de la révolution industrielle stimulée par l’Angleterre. En 1800, le commerce extérieur des pays représentait

théorie de la production * Livre 2 traite de la croissance par le capital et par le travail * Livre 3 est consacré à la décadence dans l’agriculture et au rôle de l’activité urbaine * Livre 4 est constitué par un critique assez acide des mercantilistes et critique des physiocrates * Livre 5 est constitué de proposition sur les finances publiques, la main invisible et l’ordre spontanée. Il pose la question à savoir qu’est ce que l’économie politique ? Smith dit « l’économie politique est

J F Hochet Introduction……………………………………………………………………………………………………p2 -L’analyse néo- classique -La révolution marginaliste -Vision différentes des classiques -3 grandes écoles Chapitre 1. L’offre et la demande………………………………………………………………………p5 I. La fonction demande II. la fonction d’offre Chapitre 2. Les équilibres de marché et la théorie des prix en concurrence pure et parfaite.p9 I. Les hypothèses de la concurrence pure et parfaite II. Détermination du prix d’équilibre en concurrence

[pic] Introduction générale Le terme économie politique est chargé de sens multiples parfois contradictoire et flou il apparaît pour la première fois chez les mercantilistes pour distinguer l’économie au sens grec d’économie domestique de l’économie au niveau national outil de gestion du prince. Le premier visage du terme économie politique est ainsi attribué a Montchrestien dans son ouvrage traité de l’économie politique en 1615 avec les physiocrates le terme garde son sens de gestion publique

d'ailleurs semblable, puisqu'au nom patronymique est accolé celui du fief. « Les nobles voulaient la terre car aucun gentilhomme digne de ce nom n'aurait vendu de son plein gré la terre des ses ancêtres ». - Celui de l'argent ne date pas d'hier. Le commerce, en particulier lointain, a fait naître des activi­tés marchandes et bancaires où l'argent est conçu comme un capital. Investi ou placé, il fait naître un gain. Mais une telle attitude reste exceptionnelle, limitée à une sphère étroite de la société

l’intérêt privé de celui qui le fournit soit préservé ou Léon Walras3 (seconde moitié du 19ème) et sa prétention à élever l’économie au rang de science pure. David Ricardo4 (fin 18ème/début 19ème) consacra une part importante de son œuvre au commerce international. Il prétendait que celui-ci s’organisait en fonction des avantages comparatifs des nations concernées ; il formalisait son célèbre exemple du drap anglais et du vin portugais pour montrer que les deux pays avaient avantage à fabriquer, en

beaucoup d’encre au cours des dernières années (et qui semble capable d’en faire couler encore longtemps) c’est bien le concept de mondialisation. Dans le texte qui suit, nous nous intéresserons à l’analyse que deux spécialistes de réputation internationale font sur ce sujet. Le premier spécialiste est le politologue bien connu Riccardo Petrella, et le deuxième est nul autre que le sociologue Jean Ziegler. Notre problématique se structure autour des questions suivantes : à quoi au juste correspond

croissance est au environ de 0 pour la France. Le taux de croissance reflète le niveau de développement et de l’efficacité de la politique économique. Dans les pays développés on ne peut dépasser les 5% de croissance éco. 4- en matière d’équilibre du commerce extérieur (=échanges entre les pays.) Equilibre entre les exportations et les importations. Ici la situation éco est contrastée. L’Allemagne connait un important excédent extérieur contrairement à la France qui connait un déficit extérieur. Les allemands

moyen-âge que la physique était une science stagnante (tout était basé sur la relecture des œuvres d’Aristote). Puis à la renaissance, la méthode expérimentale a permit d’obtenir des résultats et s’est progressivement détaché de son histoire. Or cette vision est erronée, le moyen-âge a permit des avancées dans le domaine de la physique importante : o Buridan s’est intéressé à des questions relatives à la représentation du mouvement, les coordonnées cartésiennes… à partir des textes anciens

privatif 10 A- Evolution historique et sectorielle du secteur privé 10 B- Les spécificités de la production publique marchande 10 Chapitre 2 : Les fondements de la macroéconomie 12 Section 1 : L'émergence de l'approche macroéconomique 12 I- Les mercantilistes 12 II- Les économies du circuit 13 A- Du plaidoyer libéral de Boisguilbert... 13 B- ...au tableau économique des physiocrates 14 III- L'approche macroéconomique de Karl Marx 15 A- L’État substitut du marché défaillant 15 B- Aliénation marchande