La Voix du Lézard

ouvriers organisent des marches de la faim pour en manifester. La petite et la moyenne bourgeoisie voient dans les années 30 la faim de leur ascension sociale. Conclusion : Le parti radical qui stabilisait la vie politique se lézarde. Les travailleurs immigrés sont les boucs émissaires de la crise. De 1932 à 1938, 800000 travailleurs immigrés sont renvoyés. Les français perdent confiance en leur gouvernement. Les hommes politiques sont devenus pour eux des

dites voyelles parce qu’elles expriment les voix ; et en consonnes, ainsi appelées consonnes parce qu’elles sonnent avec les voyelles, et ne font que marquer les diverses articulations des voix. Il y a cinq voyelles ou voix : A, E, I, O, U. Monsieur Jourdain : J’entends  (1)  tout cela. Maître de philosophie : La voix A se forme en ouvrant fort la bouche : A.Monsieur Jourdain : A, A. Oui.Maître de philosophie : La voix E se forme en rapprochant la mâchoire d’en

cueillir les pâquerettes, lorsque, brusquement, un Lapin Blanc aux yeux roses passa en courant tout près d’elle. Ceci n’avait rien de particulièrement remarquable ; et Alice ne trouva pas non plus tellement bizarre d’entendre le Lapin se dire à mi-voix : « Oh, mon Dieu ! Oh, mon Dieu ! Je vais être en retard ! » (Lorsqu’elle y réfléchit par la suite, il lui vint à l’esprit qu’elle aurait dû s’en étonner, mais, sur le moment, cela lui sembla tout naturel) ; cependant, lorsque le Lapin tira bel et

les pâquerettes, lorsque, brusquement, un Lapin Blanc aux yeux roses passa en courant tout près d’elle. Ceci n’avait rien de particulièrement remarquable ; et Alice ne trouva pas non plus tellement bizarre d’entendre le Lapin se dire à mi-voix : « Oh, mon Dieu ! Oh, mon Dieu ! Je vais être en retard ! » (Lorsqu’elle y réfléchit par la suite, il lui vint à l’esprit qu’elle aurait dû s’en étonner, mais, sur le moment, cela lui sembla tout naturel) ; cependant, lorsque le Lapin tira bel

me battais bel et bien pour ma survie. Quand on y pense, le combat était extrêmement inéquitable. En effet, « l’ennemi » qui me faisait face, un humanoïde aux bras peu luisants, couvert d’écailles vert foncé, en plus d'une tête et une queue de lézard, n'était ni humain, ni même vivant. C’était une masse de chiffres que le système remplacerait, peu importe le nombre de fois qu’on le tuait. … Non. Durant chaque seconde qui passait, l’intelligence artificielle qui contrôlait l’hommelézard étudiait

l'intérieur et la description est ainsi prise en charge par la parole du personnage qu'il la partage avec son récepteur. Elle évolue donc sous le mode de lieux complètement disqualifiés. Tout l'espace est un espace du discours."Car c'est bien d'une voix qu'il s'agit, et particulière. A lire et relire (ce roman), on devient de plus en plus attentifs à une tonalité, à un thème répétitif, celui de l'affirmation d'une déchirure, la constatation d'un exil, l'aspiration à une réconciliation harmonieuse

de froid au milieu de la vie hostile, de la nature ennemie. Au flanc des collines, éclatait le rouge industriel des tuiles neuves, mais d'instinct, son regard cherchait le rose terni par la pluie des vieilles tuiles rondes. Tout près de lui, des lézardes déshonoraient le chevet de l'église ; un vitrail était crevé. Il savait que "le Bon Dieu n'y était pas", que monsieur le curé ne voulait pas y laisser le Bon Dieu par crainte des sacrilèges. Le Bon Dieu n'était pas non plus dans la chapelle du château

fulgurations,—ouragan des cieux qui tombe sur la vie . . . et emporte à l’abîme le cœur entier. Elle ne savait pas que, sur la terrasse des maisons, la pluie fait des lacs quand les gouttières sont bouchées . . . lorsqu’elle découvrit subitement une lézarde dans le mur”(103). Peu après, quand elle apprend qu’elle aime Léon avec qui elle est tentée de s’enfuir bien loin “pour essayer une destinée nouvelle,” le narrateur ajoute, “mais aussitôt il s’ouvrait dans son âme un gouffre vague, plein d’obscurité

INTRODUCTION Le cycle III, dans la poursuite et l’approfondissement des apprentissages déjà développés aux cycles I et II, renforcera la constitution d’une culture littéraire commune au travers : - de rencontres avec les œuvres, - de lectures à haute voix, de mémorisations, de mises en scène, - d’ateliers de lecture, - de stratégies de compréhension des textes, - de lectures et d’interprétations d’images, - de débats autour des œuvres, - de mises en réseaux, - de lectures personnelles, - de la mise

de repos et de lumière (v.35 à 37), soumis aux cadences du « ronflement […] rythmique », réduits aux automatismes imposés par « l’énorme engrenage », contraints de soumettre « leur corps entier » aux machines. Ces êtres sans visage, sans nom et sans voix sont déshumanisés : l’anaphore du mot « morceaux » prépare leur réduction à l’état animal. Tel est donc le témoignage de Verhaeren : le vécu quotidien des ouvriers est cet enfer où les usines, par un phénomène de transfert impitoyable, se mettent