La Voix du silence

le poème je le trouve très intéressant. Carina Díaz proposé par Camila Baratieri Le prix du silence Anne Hébert Le cri fait gicler la voix Comme la pierre l’eau Puis se noie Le cri est un couteau Pointu privé de manche Les mains le poursuivent comme L’onde l’illusion du rivage Et plongent On tue au fond de l’eau Le sang beau lac anonyme est le prix Du silence La Grenouille Lorsque la pluie en courtes aiguillettes rebondit aux près saturés une nain amphibie

m’avait frappé. J’étais une glace vivante qu’aucune poussière de ce monde n’avait encore ternie, et qui réverbérait l’œuvre de Dieu ! De là à chanter ce cantique intérieur qui s’élève en nous il n’y avait pas loin. Il –5– ne me manquait que la voix ; cette voix que je cherchais et qui balbutiait sur mes lèvres d’enfant, c’était la poésie. Voici les plus lointaines traces que je retrouve, au fond de mes souvenirs presque effacés, des premières révélations du sentiment poétique qui allait me saisir à

Fontaine :- Les deux pigeons * Poème n°3 : Jean Pierre Claris de Florian :- Le voyage * Poème n°4 : Baudelaire :- L’appel du large * Poème n°5 : Stéphane de Mallarmé : - Brise marine * Poème n°6 : Paul Eluard : - Voyage du silence recueil * Poème n°7 : Isaac Lerutan :- L’ombre des anges * Conclusion : Du Bellay : - Heureux qui comme Ulysse 31ème sonnet du recueil Les regrets 1558 16ème siècle Jean de La Fontaine :-Les deux pigeons, fables du livre IX édité

c'était mensonge». L'acte performatif, «juriez», perd tout effet, puisqu'il est incapable de restituer la vérité, et ne fait que reconduire l'argument ad hominem, qui révèle un blocage de la parole: «Et votre regard qui mentait lui-même / (… Et de votre voix vous ) disiez:«je t'aime». Dans le climat de la suspicion créé par le mensonge, l'aveu de l'amour est conçu comme une contre vérité. L'une des propriétés du mensonge est qu'il déborde et s'étend même en dehors du recueil! Dans ses Mémoires, Mathilde

terrestre. Lamour est semblable cette toile. Le temps dune simple vie ne peut lui imposer ses limites il existait avant, il vivra aprs, car ceux qui saiment gardent leurs doigts enlacs au-dessus des sicles. Jean-Paul Sermonte. Extrait de La Voix du Vent. Si tu cessais de maimer Si un jour mon amour tu cessais de maimer Tu verrais tout coup ma pauvre me descendre Dans ce gouffre sans nom o se sont abms Ces soleils si fiers qui ne sont plus que des cendres Ces gants ces astres ces hommes

de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur les gazons : des bouleaux agités par les brises et dispersés çà et là formaient des îles d'ombres flottantes sur cette mer immobile de lumière. Auprès, tout aurait été silence et repos, sans la chute de quelques feuilles, le passage d'un vent subit, le gémissement de la hulotte ; au loin, par intervalles, on entendait les sourds mugissements de la cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de

société) dans lequel elles vivent. La Communication non-verbale Les silences font autant partie de la communication interpersonnelle que les mots. En général, les silences ne se font pas au hasard; comme certains éléments de la communication verbale, ils peuvent être bien placés ou mal placés, bien interprétés ou mal interprétés. Nous communiquons non verbalement par les inflexions, le timbre ou le volume de notre voix, nos gestes, nos postures, nos expressions faciales, lesquelles communiquent

et « volonté », « j’obtins » ligne 9. La Marquise de Merteuil critique l’éducation des femmes au XVIII eme siècle et fait son autobiographie en expliquant son ressentit : « j’étais vouée par état au silence et à l’inaction » la voix passive montre qu’elle subi, certains termes négatifs comme « silence », « inaction » ligne 2 renvoient à la condition féminine. Ces termes péjoratifs forment une antithèse avec « observer » et « réfléchir » dans la phrase « j’ai su en profiter pour observer et réfléchir »

à haute voix, se chronométrer face à un miroir 2/ L’exposé lui-même Les gestes : Structurent le discours et appellent la participation de l’auditoire. Evitez les gestes de substitutions et d’autocontact Le visage : Traduit les émotions + les sentiments décodés par les auditeurs. Le regard : Il doit balayer tout l’espace de l’auditoire. La mobilité : elle permet de garder l’auditoire en éveil La respiration : Le contrôle de celle-ci règle le degré d’intensité de la voix. La voix : Une voix

5 voix DU VIEUX : Suivez-moi, s'il vous plaît. LE VIEUX, de dos : Je n'ai qu'un modeste emploi... Le Vieux et la Vieille se retournent en même temps et en s'écartant un peu pour laisser la place, entre eux, à l'invitée. Celle-ci est invisible. Le Vieux