La Volonté de puissance

dans cet état de nature la liberté des hommes n limite sinon celle qui réside dans leurs capacités de faire ou de ne pas faire, ils sont ainsi dans un guerre permanent où chacun est potentiellement un ennemi pour chacun. En effet, là où il n’y a p puissance pour faire régner l’ordre et la justice, il n’y a pas de crainte d’une sanction. Aussi, chaq peut bien porter préjudice à un autre sans souffrir de se voir infliger en retour une sanction. Hobb alors que dans une telle situation, les hommes sont

liberté de fait consiste dans la puissance de faire ce que l’on veut... Généralement, celui qui a le plus de moyens est plus libre de faire ce qu’il veut... C’est ainsi qu'un prisonnier n'est point libre, et qu’un paralytique n’a point l’usage libre de ses membres. » ■ Ce premier sens est celui auquel nous pensons tout d'abord et auquel nous réduisons souvent la notion de liberté. Il correspond à la mesure de ce que nous pouvons faire, soit en raison de notre puissance physique (la capacité corporelle

Mais ce contrat va etre un contrat avec eux meme , ou ils décident d'abdiquer leur volonté individuel pour se soumettre a la volonté générale. Il a une impulsion quasi sociologique , et va naitre un corps moral et collectif ou chacun n'obéit qu'a lui même. Le contrat n'est pas formalisé. Ces differentes théorie A RETENIR : C'est un moment de rupture par rapport aux autre Etat , car l'etat n'est plus une volonté divine mais le produit d'un contrat entre les hommes , l'Etat de nature est abstrait

(2 von 108) [03.02.2000 15:12:12] ATHENA: ROUSSEAU, Du Contrat Social; Pierre Perroud q q CHAPITRE IX: Du domaine réel CHAPITRE I: Que la souveraineté est inaliénable CHAPITRE II: Que la souveraineté est indivisible CHAPITRE III: Si la volonté générale peut errer CHAPITRE IV: Des bornes du pouvoir souverain CHAPITRE V: Du droit de vie et de mort CHAPITRE VI: De la loi CHAPITRE VII: Du législateur CHAPITRE VIII: Du peuple CHAPITRE IX: Suite CHAPITRE X: Suite CHAPITRE XI: Des divers systèmes

guerre froide, ordre bipolaire, non alignement, Puissance / hyperpuissance. I. Deux modèles de société diamétralement opposés mais concurrents: A. Deux systèmes avec des bases idéologiques opposées : B. Deux modèles politiques et sociaux différents : C. Mais une même volonté hégémonique : I. La vision idéologique des deux mondes et le déclenchement de la guerre froide : A. Deux modèles de société diamétralement opposés: B. Mais une même volonté hégémonique : C. Qui conduit au déclenchement

ce naturalisme, c'est le rejet de toutes les formes de « surnaturalisme » (moral ou religieux) qui placent l’esprit au-dessus de la nature et font de lui un principe explicatif des phénomènes humains par une causalité spirituelle (par exemple la volonté). Or, pour Nietzsche, l’esprit n’explique rien, et ce n’est qu’à partir des sciences empiriques que la philosophie peut spéculer sur la nature humaine et fournir des explications de tout ce qui est humain : « Replonger l’homme dans la nature

naturalisme, c'est le rejet de toutes les formes de « surnaturalisme » (moral ou religieux) qui placent l’esprit au-dessus de la nature et qui font de lui un principe explicatif des phénomènes humains par une causalité spirituelle (comme l’âme ou la volonté qui serait au principe de nos actions). Or, pour Nietzsche, l’esprit n’explique rien, et ce n’est qu’à partir des sciences empiriques que la philosophie peut spéculer sur la nature humaine et fournir des explications de tout ce qui est humain : «

contrepartie d’y retrouver un sens. Comme il le dit si bien: “ un pourquoi de la souffrance”. Il suggère que cette souffrance a donné naissance à des idéaux moraux tels que la pitié et la sympathie, qui sont en réalité des expressions de la volonté de puissance. Selon Nietzsche, la pitié et la sympathie sont des formes de pouvoir qui permettent à ceux qui les pratiquent de dominer les autres en les rendant dépendants de leur aide. Il soutient que ces idéaux moraux sont en réalité des manifestations

l’Empire qu’il proclame en 1871. On parlera d’Allemagne moderne dès lors que celle ci devient une puissance européenne, dû à son union et ses influences grandissantes. La politique de Bismarck est-elle aux fondements de la puissance de l’Allemagne moderne ? Nous verrons d’abord que Bismarck peut-être considéré comme père de l’unité allemande, ce qui est une première raison fondamentale de la puissance de cet empire, puis nous verrons que les « systèmes » bismarckiens font de l’Allemagne le centre

et éthique, conséquences néfastes que ces découvertes pourraient avoir sur l’humanité. Jacques Testart, biologiste ayant crée le premier « bébé éprouvette », c’est tout de même inquiété du devenir de ces embryons surnuméraires, êtres humains en puissance, qui n’ont pu être implantés dans le ventre de la future mère et qui risquent d’être détruis. Le progrès de la science n’excusant pas tout, il a tenté de créer une science « citoyenne ». Le fait qu’il se sente obligé de fournir une justification