La Vrai Morale Se Moque T Elle De La Morale

Divers marqueurs axiologiques, habituellement connotés de manière méliorative, vont être utilisés par antiphrase dès lors qu’ils s’appliquent à l’homme sans Dieu ou à ses valeurs. Les occurrences de raisonnable qui concernent toute autre personne que le vrai chrétien sont toujours ironiques 4 : ainsi, au fragment 611, la « pénitence raisonnable » des casuistes ne l’est que dans un ordre humain ; de même, au fragment 134, d’avoir choisi le divertissement, la différenciation des hommes par la noblesse ou

Sganarelle monopolise la parole, il est tellement sûr de lui qu'il se lance dans une longue tirade argumentative. Il multiplie les questions pour savoir si Dom Juan croit en Dieu et tente de le convaincre de l'existence de ce dernier. "Il n'y a rien de plus vrai" superlatif = argument indiscutable. "Il y avait un homme" nous fait penser à conte. La parabole = exemple argumentatif Mais ses arguments et son raisonnement sont douteux : Il fait en quelque sorte l'éloge de l'ignorance. 2. Dom Juan reste le

trouve le mythe des 5 âges du monde : Âge d'or : bonheur, ni souffrance, ni maladie.Âge d'argent : prospérité gâtée par les sacrilèges.Âge de bronze : guerres et luttes privées.Âge des Héros : combats, grandeur et courage.Âge de fer : labeur : morale du travail, de l'effort pour échapper au malheur : culte du travail du champ.Sappho (VII-VIè siècles ACN)Première auteur féminine.Pindare (518-438 ACN)Eschyle (525-456 ACN) : tragédie grecque.Auteur de 90 tragédies ; nous en avons conservé 7. Elles

que les différents objectifs propres au comique. La comédie, du fait qu'elle fonctionne comme une sorte de mécanique (comique de situation, de caractères, de mots et de gestes), offre divertissement et rire aux spectateurs. Il n'en reste pas moins vrai que Molière instruit et dénonce les mœurs de l'humanité , avec d'ailleurs la reprise de la devise latine «Castigat riendo mores», qui traduit «Corrige les mœurs par le rire». De manière générale, le comique correspond à un artifice, à une mécanique

son maître. I. Le portrait du maître par son valet Pour expliquer la conduite scandaleuse de son maître, Sganarelle décrit Dom Juan où il apparaît sous trois aspects essentiels. Il est débauché, impie et scélérat. a. Le débauché Dom Juan se moque de toutes les règles sociales. Fermé " à toutes les remontrances qu'on peut lui faire", il n'écoute que son plaisir. Sacrifiant tout à ses appétits sensuels, il s'empare de toutes les "Dames, demoiselles, bourgeoises, paysannes", ... Il bafoue sans

longue tirade. Dans une scène d'expo, l'auteur présente au spectateur tous les éléments pour comprendre la suite de la pièce (lieu, personnages, action,...) Plan détaillé pour y répondre : I - Le portrait de Dom Juan par Sganarelle 1) Portrait moral. Portrait négatif. Sga insiste sur les aspects sombres de DJ. Énumération de termes qui sont perçus négativement => difficultés de faire un portrait précis de DJ. Vocabulaire religieux, animaux, personnages caractérisés par leur débauche. Comportement

par lui-même. I) Le portrait de Don Juan par Sganarelle Un portrait moral -Sg fait un portrait négatif de son maître, il va insister sur ses défauts. On trouve une énumération de termes péjoratifs. « Le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale, qui ferme l’oreille à toutes les remontrances qu’on lui

on tente de justifier la thèse par la similitude de cas qui, après examen, ne sont pas suffisamment semblables. 2. Il est coupable, car on n’a pas prouvé le contraire. - L’appel à l’ignorance. On constate qu’on soutient que le jugement est vrai uniquement parce qu’il n’a pas été prouvé qu’il est faux, sans autre argument à l’appui. 3. Supposons que vous nous persuadez tous, mais que le gosse a vraiment tué son père. - La pente fatale. Si l’architecte fait le choix de continuer de

le visage de la mort, la réalité cru de la guillotine. On va ainsi jouer avec le pathos du lecteur. Un lecteur qui va s'identifier au personnage dans le texte 1 grâce à l'utilisation du point de vue interne .Il va ressentir toutes les tortures morales de la mise à mort « l'agonie de six semaines », « échelle de torture qui aboutit à l'échafaud » , le sentiment de tourmente et la répétition du verbe souffrir apporte une insistance supplémentaire.Puis après la torture vient l'acte, le champ lexical

scène 5 de l'acte 1, lorsque Argan et Angélique ne parlent pas du même homme pour le mariage de celle-ci. Ou encore dans le renversement de situation, quand Béline fait tomber son masque et révèle son veritable dessein et montre a tout le monde son vrai visage, le visage d'une femme hypocrite et vénale. On retrouve eglement le comique de mot que l'on peut identifier grâce aux jeux de mots, grossièretés, répetitions. Dans la pièce ce comique est présent nottamment avec de nombreuses insultes comme