La Vrai Morale Se Moque T Elle De La Morale

ses « historiettes » (suffixe dépréciatif – petites histoires sans intérêt). ==> Arrias ne respecte pas les bienséances contredit le code de l'honnête homme, de la mondanité. La Bruyère se moque de ce « mondain » qui ment par pure vanité. Ce portrait constitue un blâme qui vise un défaut moral et social. II. La satire d'un vaniteux Un vaniteux piégé - Outre l'irrespect des bienséances, Arrias est un menteur. Il se laisse emporté par le désir de briller dans la conversation

car il a déjà signé l’acte d’héritage. - La pièce est interdite par l’église car se qui est caché derrière Tartuffe c’est qu’un vrai dévot et un faux dévot sont très semblants. En se moquant de ce personnage, Molière se moque lui-même des dévots. Derrière la critique du faux dévot, il y a la critique du vrai dévot. Derrière la critique du vrai dévot, il y a la critique de l’église (Au début du XVIIème on peut être brûlés si on critique la religion) -> Raison de l’interdiction

premiers numéros de mon roman ont déjà fait sensation parmi la gent des lettres ». Décembre 1856 = Du Camp demande à F de retirer la scène du fiacre car elle peut provoquer des réactions hostiles du pouvoir et une information judiciaire pour outrage à la morale publique. Le libéralisme de la Revue de Paris en effet déplaisait fortement au pouvoir et elle avait déjà était avertie 2 fois. La scène du fiacre est alors supprimée mais quand Pichat (directeur de la revue) publie le dernier numéro, il a supprimé

-lutte des romantiques contres les classes sociales -lyrisme de la description : ascension de la montagne => ascension sociale ∕ \ / symbole difficulté de la force brute -Stendhal crée une nouveauté dans le roman romanesque : il se moque de son personnage donc de lui même (avec l'ironie) : « presque sensible un moment » -« loin du regard des hommes » : Julien hypocrite , avec les autres : joue un rôle. Mise en // avec Mme Rénal , lors de la rencontre ♥ avec Julien. -(méditation :

Histoire des Oracles : I/ La structure du texte a) Entrée en la matière Premier mot à l'impératif "assurons-nous" --> ton autoritaire Opposition (these/antithese) entre "il est vrai que" (l.2) et "mais enfin" (l.5) Utilisation de la 1er personne --> il s'inclut dans cette critique de la précipitation, il donne son avis. "ridicule" (l.6) --> conclusion de qu'il critique. b) Utilisation de l'ironie afin de raconter l'anecdote Introduit l'anecdote en parlant des Savants allemands pour pouvoir

que l’argent et un bien fondamental qui passe avant tout et surtout avant la religion. - De plus, le libertinage de DJ est marqué par la critique de la religion : « Voilà qui est étrange, et tu es bien mal reconnu de tes soins.. » ainsi DJ se moque du pauvre et veut montrer l’inexistence de Dieu par ses paroles. - La citation : « Tu te moques : un homme qui prie le Ciel tout le jour ne peut pas manquer d’être bien dans ses affaires. » insiste sur la vision de Dom juan et donne à voir l’inutilité

Maupassant commence par les descriptions des couples selon un ordre précis de hierachie sociale et termine par celle de Boule de Suif et Cornudet comme si ces deux personnages étaient opposés au autres, comme si Boule de suif et Cornudet était opposé à la morale que représente les couples. Maupassant a choisie des personnages qui représente parfaitement les classes sociales présente dans la société du XIX eme siècle. Le couple Monsieur et Madame Loiseau : ce sont deux bourgeois commercent de vins

n’est pas. 2. Comédie de moeurs (= satire) Ex. le titre Le Bourgeois gentilhomme - un bourgeois veut devenir aristocrate. Molière se moque des bourgeois dans la société française du XVIIe siècle qui veulent passer pour aristocrates. Nota. On ne peut dire que Molière « se moque de M. Jourdain » ! En créant le personnage de M. Jourdain, l'auteur se moque de gens (réels) qui n'acceptent pas leur place dans l'ordre social, notamment les bourgeois qui veulent passer pour des nobles. L'idéologie

pas capable de donner raison à un innocent et elle s’en remet à l’idée d’un « bouffon »(l.20). Dans la fable de Jean de la Fontaine (texte 2), une autre image de le justice est donnée : le juge, ici représenté par « Perrin Dandin » (l.16) se moque des plaignants et il ne donne raison ni à l’un ni à l’autre en prenant l’objet du dilemme pour lui : « Perrin[…]ouvre l’huître et la gruge »(v.17). Seul le texte 3,extrait de Zadig ,propose une vraie justice qui va dans l’intérêt des plaignants

(dieux, demi-dieux, héros, éléments naturels, des animaux qui parlent) dans une façon allégorique. Un exemple de mythes est Genesis dans le Bible. Les mythes ne sont pas n’importe quel récit fantastique, mais un récit qu’il est un récit tenu pour vrai, dans un système de croyances déterminées. Ces types de littérature ne sont pas basés sur la réalité, mais dans certaine religion ils sont interprétés comme la réalité du passé dans le temps de dieux. Le fantastique est un type de littérature