La Vraie Doctrine De Blaise Pascal

définir l’épistémologie comme, en première approximation, l’étude de la constitution des connaissances valables. On peut noter la modestie du propos. Il ne s’agit plus de définir l’épistémologie comme l’étude des moyens d’arriver à une connaissance vraie. Le terme « valable » a un sens très flou qui peut signifier autant « qui a une valeur » que « qui a un intérêt », que « qui est utile ou utilisable », voire « qui est compréhensible ». Il y a ici un double aspect : normatif dans le sens où on voudrait

déculpabilisant, le névrosé serait apte à guérir. La guérison psychanalytique passe ainsi par une conscientisation des élèments refoulés dans l’inconscient. Freud ne s’est pas cantonné dans son rôle de médecin mais il a aussi développé une authentique doctrine philosophique basée sur l’idée de l’inconscient à travers des livres comme Totem et Tabou ou Malaise dans la culture. 6) L’inconscient chez Carl Gustav Jung Carl Gustav Jung (1875-1961) un psychiatre suisse a découvert l’inconsient un peu

expérience vécue. C’est ce qui va conduire (paradoxalement, en un sens) à reconnaître qu’il faut se tourner, revanche, vers un sens plus « étroit », plus déterminé, de la connaissance : la connaissance comme connaissance de la vérité, connaissance vraie (d’un haut degré de vérité et d’objectivité). Ce qui pose un problème intéressant et réellement difficile (pas une simple question dont la réponse soit évidente), c’est de se demander si toutes nos connaissances objectives, sont susceptibles de nous

que c’est par le biais de l’imagination que les tyrans asservissent les peuples : théâtres, jeux et spectacles sont les « appâts de la servitude » qui permettent aux despotes d’endormir leurs sujets en adoucissant leur joug (texte 13). Le philosophe Pascal a défini l’imagination dans un passage fameux des Pensées comme « une partie dominante de l’homme » dont il faut d’autant plus se méfier qu’elle est notre guide le plus constant dans la conduite de notre existence. Ce n’est pas la raison en effet

etc. Ces textes étaient réalistes, mais ils exagèrent ce réalisme. Ces auteurs aient une idée naturaliste, que c’est qu’à partir de la description réaliste, ils peuvent arriver à la nouvelle écriture. Naturalisme Le naturalisme est une doctrine qui prend la nature en elle-même. Les philosophes naturalistes étaient Epicure, Lucrèce, etc. Ils ne croyaient pas en Dieu. Le naturaliste ne croit pas en la religion. Un naturaliste est matériel et athée mais ne forcement est athée. Les naturalistes

« micromégas », eux aussi ! · Mais l’éloge devient blâme  : immense confusion sur le thème de l’âme = ridicules ! Satire des différentes écoles philosophiques en simplifiant de façon caricaturale leurs doctrines (entéléchies d’Aristote, idées innées de Descartes, Vision en Dieu de Malebranche, harmonie préétablie de Leibniz, idées de Locke) > hommes = marionnettes philosophiques. · Livre blanc  : Il est vain

niveau du langage. CULTURE Philosophe sceptique, Montaigneveut déranger la raison de ses certitudes dogmatiques. L’humanité : se décline en différences, en versions. Il ne fait pas comme Aristote de la raison le critère de l’humanité. BLAISE PASCAL (1623-1662) LA CULTURE Formule le premier l’idée d’un progrès continu de la connaissance humaine dans la préface du Traité du vide, (( immutabilité de l’instinct animal) caractère cumulatif de la raison humaine. « il n’en est pas de même de

Universel/général/particulier/singulier 3. Auteurs L’étude d’œuvres des auteurs majeurs est un élément constitutif de toute culture philosophique. Il ne s’agit pas, au travers d’un survol historique, de recueillir une information factuelle sur des doctrines ou des courants d’idées, mais bien d’enrichir la réflexion de l’élève sur les problèmes philosophiques par une connaissance directe de leurs formulations et de leurs développements les plus authentiques. C’est pourquoi le professeur ne dissociera

transformée. Ce qui me réjouissait auparavant devint pour moi un objet de dégoût. Vivre avec Dieu et lui plaire était mon plus ardent, mon unique désir. Ainsi Tetzel préparait lui-même la reformation. par de criants abus il frayait la voie a une doctrine plus pure et l'indignation qu'il excitait devait éclater un jour avec puissance. On en peut juger par l'anecdote suivante. Un gentilhomme saxon, qui avait entendu Tetzel a Leipzig, avait été indigné de ses mensonges. Il s'approche du moine et,

expérience vécue. C’est ce qui va conduire (paradoxalement, en un sens) à reconnaître qu’il faut se tourner, revanche, vers un sens plus « étroit », plus déterminé, de la connaissance : la connaissance comme connaissance de la vérité, connaissance vraie (d’un haut degré de vérité et d’objectivité). Ce qui pose un problème intéressant et réellement difficile (pas une simple question dont la réponse soit évidente), c’est de se demander si toutes nos connaissances objectives, sont susceptibles de nous