La Vraie Doctrine De Blaise Pascal

« Profil Textes philosophiques » Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Pascal Pensées (sur la religion) Introduction et commentaire par Bernard Sève, agrégé de philosophie (1ère édition : 1992) PhiloSophie Texte soumis à copyright © octobre 2008 Table des matières Avertissement ........................................................................... 3 Introduction : Pascal ou l’apologétique contre la philosophie . 5 L’apologétique d’un converti ........................

même si certaines de ses fréquentations féminines firent en leur temps jaser... Son christianisme militant et son double idéal de lutte contre la nature et de passion pour la culture le destinaient tout naturellement à s'inscrire en faux contre la doctrine d'EPICURE. Quelques années avant 378 il produisit une notice sur LUCRÈCE : "Titus Lucrétius, le poète qui, rendu fou par un philtre amoureux, rédigea dans les intervalles de sa maladie quelques livres, corrigés ensuite par CICÉRON, et se donna

du grec « pleias », « constellation de 7 étoiles ». En 1556, c’est le nom donné au groupe de sept grands poètes français de la Renaissance (Baïf, Ronsard, Du Bellay, Peletier, Belleau, Jodelle, Pontus de Tyard). Le genre dominant est la poésie. La doctrine de la Pléiade est résumée dans le manifeste Défense et illustration de la langue française, écrit par Du Bellay. Ecrivains représentatifs : Ronsard Les Amours, Du Bellay Les Regrets Contexte historique : le mécénat amène de nombreux écrivains à

tous mais remet surtout en question l'autorité religieuse. Un moine allemand, Martin Luther s'attaque ouvertement à Rome, en dénonçant le luxe et la débauche des évêques et les pouvoirs divins du pape. Jean Calvin propose dans la même période une doctrine dans laquelle seule la Bible fait autorité (prêtres, évêques et pape sont inutiles). Il est à l'origine de L'Affaire des placards (texte injurieux affiché a la porte de la chambre de François 1er) qui marque le début d'une violente répression. L’œuvre

HISTOIRE DES IDEES POLITIQUES I) Doctrine absolutiste et réalité politique au XVIIième Siècle. Introduction Le XVIIième siècle est appelé le siècle de Louis XIV, qui n’a cependant régné que lors de la deuxième partie du siècle, à la mort de Mazarin en 1661. Le XVIIième siècle est aussi appelé le Grand Siècle, un siècle de majesté, mais aussi de crises à différents niveaux. Economique: Les famines et les révoltes paysannes entraînent une crise de subsistance. Politique: C’est

Pensées de Pascal sur la religion Pensées Blaise Pascal 1 Pensées de Pascal sur la religion PRESENTATION Ayant été, par hasard, mis en possession d'une édition ancienne de Pascal -- «Pensées de M. Pascal sur la Religion et sur quelques autres sujets, qui ont été trouvées après sa mort parmi ses papiers. Troisième Edition. A Paris, Chez Guillaume Desprez, rue Saint Jacques, à Saint Prosper. M. DC. LXXI. Avec Privilège & Approbation» -- j'ai jugé bon de donner accès à ce texte. On pourra

qu’il dit. Montaigne évoque deux peuples : Les Barbares : Ces barbares sont différents à nos usages (l.3). Ce sont des étrangers. Les Sauvages : Les sauvages viennent de la nature et restent tels quel (l.8) Montaigne veut nous amener à une vraie réflexion, une remise en question de nos idées personnelles et il s’adresse à tout ceux qui auraient tendance à classer les indigènes dans la catégorie des sauvages, c'est-à-dire ceux qui ont des préjugés (l.4 : Il semble que … à l.7 : en toutes choses)

non-grecs pour les grecs ne sont pas des hommes. Descartes : « Le discours de la méthode » (1637) donne une définition aussi de l’homme. Il se définit par le cogito : « Je pense donc je suis ». La capacité de l’homme à réfléchir, penser. Blaise Pascal : « Je peux bien concevoir un homme sans main, sans pied, sans tête mais je ne peux concevoir l’homme sans penser : car ce serait soit une pire, soit une brute ». Ce qui définit l’essence de l’homme c’est la pensée. Et ce qui définit le plus essentiellement

tout homme, en tant qu'être moral, possède en lui, originairement, une telle conscience. » Kant, Doctrine de la vertu, 1797. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 494 Citation 496 « La conscience morale est la raison pratique représentant à l'être humain son devoir dans chaque cas où intervient une loi, que ce soit pour l'acquitter ou pour le condamner. » Kant, Doctrine de la vertu, 1797. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 496 Citation

philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche